"Baby namer" : Elle est payée à 28 000 euros pour un prénom

“Baby namer” : Elle est payée à 28 000 euros pour donner un prénom aux nouveaux nés ! 

by Emma

Etre “nommeuse professionnelle” est bel et bien un travail rentable aux États-Unis. Cette technique insolite permet aux futurs parents de trouver le prénom idéal pour leur bébé, à un prix… salé.

Après des mois de grossesse, les parents cumulent des stress. D’autant plus, lorsqu’ils doivent trouver le prénom de leur futur bébé. Cette phase fait tourner la tête à plusieurs parents car ils tiennent surtout à ce que le prénom soit original. Désormais, il est possible de solliciter l’aide d’un professionnel pour trouver le prénom de votre enfant.

Des personnes appelées “nommeuses professionnelles” gagnent leur vie à trouver le prénom le plus adapté à un bébé. Ces professionnelles facturent leur service à un prix d’or. À l’origine, ce sont des créatrices de contenus pour le Web, dont les réseaux sociaux. Elles se sont données le titre de spécialistes en la matière.

Gagner sa vie en étant “nomeuses professionnelles”

Appelées “baby namers” en anglais, les “nomeuses professionnelles” visent à démarquer le bébé grâce à leur prénom. Ainsi, elles partagent des anecdotes liées aux prénoms et diffusent des vidéos sur les prénoms à la mode.

Autant dire que ces créatrices de contenus se sont muées en véritable businesswomen. De plus, elles proposent leur consultation à un prix astronomique. Selon leur manière de procéder, les parents à un questionnaire.

Taylor Humphrey est l’une d’entre ces “nommeuses professionnelles”. L’influenceuse suivie par plus de 31 000 abonnés sur son compte Instagram, propose d’établir une liste de 15 prénoms pour 330 euros. Elle propose également d’autres services comme la conception d’un livre ou bien d’une vidéo qui tourne autour du prénom du bébé. Au delà, Taylor suggère même de réaliser des recherches généalogiques liées au prénom attribué à l’enfant. Les parents payent même la somme modique de 1 400 à 28 000 euros pour obtenir l’intervention de ces “nommeuses professionnelles”.

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