À partir du débarquement du Sars-Cov 2, le nouveau coronavirus, pas moins de 300 000 vies périssent au fait des conséquences néfastes du coronavirus. C’est d’ailleurs le sujet avec lequel les scientifiques se focalisent dès que la pandémie commence à ravager, cependant le virus recèle pour l’heure des facettes méconnues. Alors que les enfants semblaient quittes des cas graves, mais aujourd’hui ils sont considérés parmi les personnes qui risquent de frôler un trouble relatif à l’inflammation, voire au coronavirus. Relayé par The Guardian, près de 100 enfants résidant aux États-Unis extériorise cette pathologies et qui, par la suite a fait 3 décès parmi ces enfants.
Il y a quelques semaines, un trouble inflammatoire hypothétiquement relative au covid-19 affole les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, National Health Service a lancé en premier, un avertissement qui s’adresse aux spécialistes de la santé. Il s’agit d’une alerte d’alourdissement du nombre d’enfants ayant contracté ce symptôme. Le NHS invoque à cet effet : « Les cas ont en commun des caractéristiques de choc toxique et de la maladie de Kawasaki, qui attaque le cœur et le sang ». À partir de ce temps, ces cas de trouble inflammatoire qui attaquent des enfants et peu connu ont éparpillé dans divers autres pays.
Le syndrome de Kawasaki fait trois décès d’enfants en moins d’une semaine
Vue que les États-Unis sont les touchés par l’épidémie, ce territoire est dans une condition comminatoire. On constate une recrudescence su nombre d’enfants touchés par le symptôme inflammatoire rarissime et risqué, probablement relatif au covid-19. Dans ce sens, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a confirmé que près de 100 cas d’enfants ont été attestés de ce symptôme inflammatoire, dont trois d’entre eux ont péri la vie. Cuomo accentue que : « C’est une situation vraiment inquiétante et je sais que les parents de l’État de New York et du pays sont très préoccupés par cela, et ils devraient l’être. D’après les autorités sanitaires, cette nouvelle pathologie se lierait au syndrome de Kawasaki.
Le syndrome de Kawasaki est à l’origine d’une inflammation dans la paroi des vaisseaux sanguins, particulièrement au niveau du muscle du cœur. Tous les ans, 3000 enfants aux Etats-Unis font l’objet d’un diagnostic du syndrome de Kawasaki. Alors que le cas d’enfants qui contracte ce syndrome augmente considérablement, New York est à l’heure l’épicentre de l’épidémie. Mercredi, durant une interview avec le maire de la ville Bill de Blasio, il a averti les médecins sur ce fait et les a implorés d’être vigilent.
En début du mois de mai, un avis alertant du département de la santé de New York avait signalé à propos des « quinze patients âgés de 2 à 15 ans ont été hospitalisés entre le 29 avril et le 3 mai pour des maladies compatibles avec ce syndrome ». Sur certains des symptômes les plus habituels des cas admis aux hôpitaux, les personnels de santé apercevaient une fièvre, des migraines mais également des troubles au niveau de la peau, des maux du ventre, des vomissements ainsi qu’une diarrhée. En outre, le gouverneur e New York, Andrew Cuomo a avancé que les enfants qui contractaient ces signes étaient portent le virus de Wuhan.
Dans l’Hexagone, un premier décès de la maladie
A Marseille, un enfant âgé de 9 ans présentait des signes similaires à ceux de la maladie de Kawasaki, est décédé à Marseille. Le professeur Fabrice Michel, chef du service de réanimation pédiatrique de La Timone à Marseille affirme : « Il présentait un tableau clinique comparable à celui d’une scarlatine ». Aux premières consultations aux urgences, il a été pris en charge par le Professeur Fabrice Michel. Suite à un malaise chez lui, l’enfant a été acquis au service de réanimation à l’hôpital de Marseille.
L’enfant a reçu des traitements adéquats et malheureusement, il a fini par rendre l’âme quelques jours de son admission aux urgences. Ceci est donc le premier mort découlant de ce symptôme inflammatoire contracté par les enfants en France. Lors d’une interview avec BFMTV, le Pr Michel a affirmé que cet enfant a perdu la vie à cause d’une « atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque » et que la sérologie lui atteste positif au covid-19.
Quid de la corrélation du syndrome inflammatoire au nouveau coronavirus ?
En ce moment, le nombre d’enfants exposant ces signes symptomatique augmente au fur et à mesure, ainsi, l’Organisation Mondiale de la Santé envisage d’étudier la relation éventuelle entre la pathologie inflammatoire et l’épidémie du coronavirus. Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus affirme : « Nous appelons tous les cliniciens dans le monde à travailler avec leurs autorités nationales et l’OMS pour être en alerte et mieux comprendre ce syndrome chez les enfants ». D’innombrables questions sans réponses affolent encore les personnels de santé à part le fait que les cas de cette maladie inflammatoire sont peu nombreux. Le directeur de l’OMS invoque : « Il est crucial de caractériser précisément et urgemment ce syndrome clinique, pour comprendre sa causalité et décrire des protocoles de traitement ».
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