Depuis l’apparition du virus à Wuhan, la population mondiale est soumise à une confusion totale. La raison ? Le nombre de personnes qui ont péri la vie ne cesse d’accroître et atteint actuellement 108 192 à compter de la date du 31 décembre 2019. Parmi eux, 71 664 sont dans les pays européens. En outre, cette épidémie n’épargne aucune tranche d’âge spécifique, même les enfants. Et la communauté scientifique ne cesse de dévoiler des nouveaux symptômes de coronavirus allant d’une forme bénigne aux cas les plus aggravés. Cette femme de 22 ans faisait partie des patients qui ont contracté le virus mortel. Son témoignage est relayé par ABC News.
De manière générale, le coronavirus affecte les personnes âgées et les personnes vulnérables, sans épargner celles qui présentent des pathologies chroniques. Cependant, les plus jeunes sont aussi en péril face à la propagation de la maladie même en bonne état de santé.
L’expérience d’une jeune femme de 22 ans
Amy Shircel, âgée de 22 ans et résidente aux Etats-Unis a contracté le virus du Sars-CoV-2. À partir de ses symptômes face à cette maladie horrifique, elle a décidé de publier son expérience de tous les jours via son profil Twitter.
Au tout début, elle déploie qu’elle avait ressenti des signes symptomatiques similaires à celles décrites par l’OMS. Ses symptômes englobent une toux légère, des tremblotements, des céphalées et le nez coulant.
Au troisième jour de sa maladie, Amy avait commencé à avoir des vomissements et des essoufflements. Elle décrit : « C’est effrayant, on ressent une oppression des poumons et une difficulté à respirer correctement. J’étais faible et j’avais une grande fièvre », avant de poursuivre : « le cinquième jour, j’avais vraiment peur de mourir ».
Ensuite, au bout du sixième jour, sa vie infernale avait redoublé. « J’étais si faible que je ne pouvais même pas marcher. J’ai rampé jusqu’à la salle de bain pour vomir. Je suis devenue si déshydratée que j’ai appelé les urgences. J’y suis restée une journée, on m’a hydraté et on m’a administré des médicaments contre la nausée » peut-on lire dans son témoignage.
Et du septième au onzième jour, elle se sentait totalement faible et fatiguée. En plus, elle avait une aura fiévreuse accompagnée de frissons et de transpiration excessive.
Au bout du douzième jour, elle a pu manger normalement de nouveau mais les autres signes ne disparaissaient pas encore.
Si Amy a publié ses expériences sur le réseau social à l’oiseau bleu, c’est dans le but de sensibiliser les autres du danger de ce virus même pour ceux aux jeunes âges. A cet effet elle annonce : « Vous n’êtes pas invincibles juste parce que vous avez la vingtaine ». Par la suite, elle ajoute que nombreux de ses amis ne prennent pas en considération les barrières sanitaires, dont la mesure de distanciation sociale et le confinement, des règles qui consistent à protéger les autres. Par la même occasion, cette jeune femme invoque également que tout le monde doit faire preuve de patience et surtout d’être conscient que la maladie est loin d’être un canular.
Pourquoi le confinement ?
Afin de lutter contre le virus ayant déjà emporté des millions de vies, le confinement n’est pas à prendre à la légère. Pourtant, cette mesure ne sera réalisable sans la contribution de chacun. Actuellement, chaque personne atteinte par le virus transmet en moyenne à 2 ou 3 autres qui la fréquentent. Ce qui revient à dire que le nombre de patient $ double tous les 3 jours. En effet, le but du confinement est d’établir facilement une distanciation sociale qui permet de restreindre au maximum le taux de contamination et aussi de réduire l’impact du pic épidémique sur le système de santé.
En outre, selon un article paru dans Le Parisien, l’Elysée a formulé que la France a établi une mesure de confinement vers mi-mars et qui sera prolongé au-delà du 15 avril. Comme le Premier ministre Edouard Philipe l’a aussi annoncé au sujet de ce prolongement de confinement.
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