Une femme jugée la plus poilue du monde et lassée de l’ironie envers elle, décide de se raser - Recettes en Famille

Une femme jugée la plus poilue du monde et lassée de l’ironie envers elle, décide de se raser

by Emma

Une ado nommée Supatra Susuphan vit en Thaïlande et elle est victime d’une maladie très rare baptisée syndrome d’Ambras. Cette pathologie se détermine par de l’hypertrichose, donc d’une déstabilisation hormonale qui entraîne de la chevelure exorbitante qui envahit sur une partie ou même le corps tout entier. Sachez que ce syndrome s’extériorise dès la naissance de son sujet. Malgré le fait que la maladie d’Ambras se soit pas menaçante pour l’état de la personne atteinte, pour la personne atteinte, cela devient sûrement une source d’agacement. Lors d’un évènement spécial, Supatra, dénommée la femme la plus poilue du monde, est déterminé de se raser ses poils en profusion. C’est ahurissant en voyant l’image qui illustre cette victime. Les confrères du journal britannique reprennent les informations relatives à ce sujet.

Dans sa ville originaire de Bangkok, Supatra se prépare pour célébrer un évènement spécial. Si elle est surnommée sur les réseaux sociaux comme « la femme la plus poilue du monde », Supatra est pour l’heure résolue de se débarrasser de ses poils et de porter un nouveau look. L’aboutissement est pour le moins stupéfiant.

Au nom de l’amour

Supatra endure une maladie dénommée : syndrome d’Ambras. Malgré que sa vie ne soit pas mise au hasard, cette pathologie lui entraîne de l’hypertrichose. Il s’agit d’un trouble  hormonal qui se manifeste dès naissance et qui se définisse par une chevelure qui pousse abondamment. La pilosité peut couvrir une seule partie du corps mais peut également se manifester sur le corps tout entier. Il n’évite que ce syndrome puisse être ardu à endurer pour son sujet à cause des changements physiques qu’elle génère.

En outre, Supatra témoigne qu’elle a subi des tas de railleries à ce sujet. Néanmoins, la maladie d’Ambras n’a pas laissé cette adolescente de vivre sa part de bonheur. Effectivement, c’est sur les réseaux sociaux qu’elle rend publique la grande et heureuse nouvelle qu’elle allait se marier. Via un poste, accompagnée d’une photo d’elle avec son partenaire, elle annonce : « Tu n’es pas seulement mon premier amour mais aussi l’amour de ma vie ». A cette occasion, Supatra décide de se débarrasser de ses poils et de se soigner pour son amoureux et qui va devenir son époux.

Une vie de bonheur

Le père de la future épouse a annoncé que même avec une thérapie à laser, la croissance des poils n’a pas pu être freinée, d’après le journal Daily Mail. Il est à savoir que Supatra endure d’une pilosité abusive qui couvre son visage, ses bras, ses oreilles et ses jambes. Pour la date de son mariage qui approche, Supatra prend l’initiative de se raser afin de ne pas avoir ses polis et le résultat est assez surprenant.

Même si elle a pris cette initiative, elle invoque que sa pilosité n’est pas gênant pour elle. Effectivement, lors d’une conversation qu’elle a entretenue en 2010, elle déclare qu’elle est accoutumée à sa condition physique. Aussi, la femme déploie que certains collègues de classe la désignaient avec tous les noms au collège mais qu’elle n’en est pas susceptible. Sa famille et ses amis ont toujours été là pour la soutenir et cela l’a rendu forte.

Toutefois, Supatra confie qu’à un moment donné, ses visions sont troublées en raison de sa pilosité et qu’elle souhaitait qu’un jour sa maladie sera remédiée.

Définition du syndrome d’Ambras

La maladie est rare en se référant aux notes inscrites quant aux patients qui l’endurent. Le premier d’entre les personnes qui l’endurent était nommé Petrus Gonsalvus, et était né en 1537 à Tenerife. Lorsqu’il était encore un enfant, Petrus est détaché de sa famille pour être mis en vente à des espagnols de classe noble. Il a atterri dans le château d’Henri II qui a commencé à apprécier le jeune garçon et prend la décision de l’enseigner.

A cause de la rareté de phénomène, les aspects connus de cette la maladie est encore très peu et elle recèle jusqu’à aujourd’hui d’innombrables secrets. Gardez à l’esprit que ce syndrome est origine congénital et un autre facteur demeure dans certains médicaments. En général, les signes de la maladie prennent fin quelques mois après avoir stoppé les traitements nécessaires.

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