Plusieurs maladies chroniques mettent à mal la vie de plusieurs personnes tel est le cas du diabète. Ce dernier est la manifestation d’une complication en ce qui concerne l’ingurgitation et le stockage de sucre dans le corps. Il existe bien des soins quotidiens pour cette condition même si l’immunisation pour le battre à bras le corps n’est pas encore d’actualité. Une recherche menée par des groupes de scientifiques semble prometteuse et est dans la bonne voie pour trouver la guérison. Lors d’un test au diabète avec des cellules souches ayant assujetti des souris, les ressortissants de Washington University School of Medicine annonce la bonne nouvelle qui aurait comme résultat de guérir les rongeurs en question. Santé Magazine et New York Post relayent le déroulé de cette information.
La cellule souche est avérée comme étant l’avenir de la guérison. Et pour cause, le journal Nature Biotechnology accentue le 24 février que les cellules souches présentent une efficience potentielle après avoir constaté d’un test in vivo. Jeffrey R. Millman, professeur adjoint de médecine et de génie biomédical à l’Université de Washington et les équipe de la recherche constatent que les souris atteintes de diabète sont bel et bien guéris.
Des cellules souches opérantes aux rongeurs
A l’initiative des chercheurs, les cellules souches humaines ont été converties en cellules bêta-pancréatiques, des cellules qui contribuent à sécréter de l’insuline. Toujours inscrit dans la revue, les chercheurs ont administré par voie d’injection aux rongeurs sujets au diabète. Par conséquent, ces derniers auraient eu un taux de glycémie contrebalancé durant 9 mois au minimum.
Ce test n’est pas une première fois pour ces équipes scientifiques au sujet du diabète. Depuis quelques années, la science découvre le potentiel de la cellule souche humaine après sa conversion, annonce le Pr Millman. Cependant, des complications qui entravent le contrôle de diabète chez les rongeurs ont été constatées.
« Lorsqu’on essaie de transformer une cellule souche humaine en cellule bêta-pancréatique – ou en cellule neuronale ou cardiaque – on peut aussi produire d’autres cellules dont on n’a pas besoin », déclare-t-il. Et de là découle les complications récursives à ce sujet. Raison pour laquelle, il serait possible de conquérir des cellules de foie, du pancréas ou encore d’autres types. Au cas où ces types de cellules n’influent pas les rongeurs de manière considérable, la guérison échoue en toute circonstance. Ensuite, le spécialiste ajoute, « plus vous avez des cellules hors-cible, moins vous avez de cellules pertinentes d’un point de vue thérapeutique » dans la plateforme de la publication.
Le constat rénovateur
Après avoir approfondi la présente étude, les équipes dirigées par le Pr Millman déclarent un consentement à une nouvelle approche basée sur les résultats. Ces derniers mettent en exergue « l’échafaudage interne des cellules » qui s’avère d’autant plus éloquent et une possibilité de former des cellules hors-cible.
Ainsi, le Pr Millman aurait conclu, « Nous avons pu fabriquer plus de cellules bêta, et ces cellules ont mieux fonctionné chez les souris, dont certaines sont restées guéries pendant plus d’un an ».
Récité dans le communiqué, pour une première fois, un résultat probant apparaît parmi les divers tests réalisés par la communauté scientifique, les missions à venir ne sont pas minimes et nécessitent davantage d’efforts. Avant d’entamer ce projet délicat chez une personne humaine, de nombreux efforts sont encore à céder pour un intervalle de temps pérenne. Dans le but de crédibiliser le mécanisme, une période préalable est requise, où d’autres espèces animales doivent encore être sujettes à l’injection de cellules souches humaines.
Le diabète est une condition de vie
Comme susmentionné, le diabète est passible de soin amélioratrice de la condition de santé malgré la lacune de guérison totale. Parmi les conditions sine qua non sont les prescriptions médicales afin de mieux gérer la pathologie. D’ailleurs, les experts mettent en œuvre des mesures essentielles pour faciliter la lutte. Dans ce sens, le Dr Dominique Huet, chef du service Diabétologie au sein du groupe hospitalier Paris Saint-Joseph énonce quelques points nécessaires :
- Des supervisions quotidiennes de sa maladie et de l’index de glycémie dans le sang ;
- Des contrôles du niveau d’hémoglobine glyquée par votre médecin en moyenne tous les 3 mois ;
- Des contrôle de sa tension artérielle ainsi que de l’index lipidique LDL dans le sang ;
- Une abstention totale aux tabacs ;
- Suivre sérieusement un régime alimentaire sain ;
- Contrôler la masse ;
- Pratiquer des activités physiques au quotidien selon la santé de soi ;
- Planifier des visites médicales à une fréquence d’une fois par an.
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