Un homme cloué au sol par un policier avec un geste massacrant a fini par rendre l’âme, « je ne peux plus respirer », la phrase de ses derniers souffles - Recettes en Famille

Un homme cloué au sol par un policier avec un geste massacrant a fini par rendre l’âme, « je ne peux plus respirer », la phrase de ses derniers souffles

by Emma

Ce n’est pas une première fois que des personnes noires se font tué par les mains des agents de police aux Etats-Unis. Parmi les noires décédés sont : Michael Brown, Tamir Rice, Charleena Lyles, Stephon Clark, et d’autres dans la liste. Récemment, cette réalité dramatique refait surface et donne libre cours à la discrimination de race et aux violences provenant dans cet Etat. Encore une fois, ce lundi 25 mai, une nouvelle victime en pâtit et ayant suscité la colère de la population. Le mouvement Black Lives Matter, qui signifie « La vie des Noirs compte ». George Floyd est mort à cause d’un étouffement à l’origine d’un policier américain. Plein feu sur les informations relayées par Le Parisien.

L’histoire s’est déroulée à Minneapolis, au nord des Etats-Unis. De ce fait, les proches du défunt réclament à ce que l’auteur de l’acte soit inculpé devant la justice. D’ailleurs, la ville est emportée par un air colérique. George Floyd a effectivement subi une capture contre le sol, l’agent de police a placé son genou sur le cou de ce victime jusqu’à ce que celui n’arrive plus à prendre souffle. Ce geste est portant, illégal surtout provenant des agents policiers. A force, la victime a fini par perdre la conscience et a été admis en hôpital, là où il a péri.

« Je ne peux pas respirer »

Dévoilé au grand public, ce fait dramatique est d‘autant témoignée par une dame qui est passée près de la scène de l’acte durant lequel les autorités passent à l’arrestation, et dont un agent de police costaud contre George Floyd. Cette dame a pris en live ce sui s’est passé via Facebook quelques minutes plus tard.

Sur la scène virale, la victime répète sans cesse « je ne peux pas respirer » en lamentant. Cependant, un des agents de police lui demande de garder son calme. Parallèlement, un autre agent de police s’occupe de faire disperser les passagers qui commencent à riposter de ce qui arrive à George Floyd, qui est déjà sur le point de suffoquer.

Quid du licenciement des policiers ?

Si le commissariat appuie l’arrestation de George Floyd au fait que celui-ci a essayé de répandre des faux-billets, la vidéo prise durant le moment de cette arrestation témoigne une toute autre chose. Les images illustrent un homme avec les mains menottées derrière son dos et soumis à la police en étant transféré vers le véhicule de patrouille.

Quant à l’avocat de la famille de George Floyd, Benjamin Crump, il infirme un « usage excessif et inhumain de la force » et d’ailleurs considéré au regard de la loi comme un délit jugé « non violent ». A cet effet, Benjamin Crump invoque à ce que le « profilage racial et la minimisation des vies noires par la police » prend fin.

De son côté, Jacob Frey, maire de la municipalité souligne durant une conférence de presse que la colère de la population s’avère normale. Il a ensuite accentué : « Être Noir aux Etats-Unis ne devrait pas être une condamnation à mort ».

Par ailleurs, les agents de police responsables de cet acte ont été licenciés le jour d’après, à défaut garde à vue, donc en liberté. Depuis ce lendemain, une enquête est établie.

La famille veut rendre justice à leur être cher

En conséquence de ce drame, les membres de la famille du défunt réclament à ce que la justice soit rendue en faveur de George Floyd. Durant une interview par NBC, Bridgett Floyd, la sœur de ce dernier adjure non seulement le renvoie de ces policiers. Elle déclare : « Je veux que ces policiers soient inculpés pour meurtre car c’est exactement ce qu’ils ont fait, ils ont commis un meurtre contre mon frère ». Cette déclaration est soutenue par Jacob Frey qui remet en question les sanctions infligées face à ce « meurtre » causant par le policier ayant mis son genou sur le cou de la victime déjà contre le sol. Le maire révoque : « Si vous ou moi avions fait ça, nous serions en ce moment derrière les barreaux ».

La colère de la population au pic

Après ce décès tragique de George Floyd, le mouvement et ses troupes se rassemblent en vue de riposter contre cet acte indigne. Cependant, mercredi soir, les circonstances se sont déroulées autrement puisque les manifestants étaient en affrontement contre les autorités. A cet effet, deux établissements sont pillés à côté du lieu où travaillaient les quatre agents de police impliqués à cette affaire avant d’être limogés. Une boutique a également été saccagée, si un autre magasin de pièces mécaniques a été en incendie. Afin d’y faire face, la police a riposté en formant un barrage humain et en utilisant des gaz lacrymogènes pour freiner cette rebelle brutale. Cette barricade est en effet, pour que les manifestants d’atteignent pas le commissariat. La tension est ardue entre la police et les rebelles, ce qui a fait un décès par balle.

Racisme : à l’origine d’une adversité qui réprimande

Rappelons que le racisme traduit un concept qui privilégie une partie de race à l’égard d’une autre partie sans raison fondée. Spécifiquement, aux pays américains, ce malheur qui n’est autre que cette conception absurde règne. Comme l’est également le cas de l’Hexagone qui dépossède les autres de leurs droits fondamentaux sous prétexte que ce sont des personnes « différentes » envers d’autres jugées la majorité. Raison pour laquelle, des associations, au profit des victimes devront lutter contre cette idéologie, notamment SOS Racisme en France qui a pour objet de révoquer les attaques, les intimidations ou encore les insultes et les discriminations ai détriment des habitants.

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