A l’heure de cette pandémie de Covid-19, les barrières sanitaires sont respectées par les gens afin de se protéger loin de la maladie. Cette histoire d’un jeune écolier se déroule au à Leeds situé au Royaume-Uni, il a tiré profit de la situation en vendant une solution désinfectant à ses analogues de l’école. Les détails de l’histoire sont rapportés de New York Post et BBC.
L’Europe aurait transformé en épicentre de la maladie épidémique, si les autres pays sont un peu moins touchés par le virus. Grand nombre de personnes se préoccupent profondément de l’évolution effrénée quant à sa propagation. A l’exception de cet écolier qui a tiré profite du chaos puisqu’il a commercialisé des solutions désinfectantes à ses collaborateurs de classe. C’est ainsi qu’un des enseignants lui a surpris.
« Un futur entrepreneur »
L’écolier e 13 ans en question se nomme Oliver Cooper. Il est inscrit à l’établissement Dixon’s Unity Academy à Leeds, basé au Royaume-Uni. Actuellement, le territoire de l’Angleterre est atteint par le Covid-19, tout comme le cas de la France et lutte contre son expansion. Si la population mondiale s’effare et est bouleversée par le chaos, Olivier, lui il a saisi cette opportunité de pouvoir marchander ses produits.
On sait tous que les normes sanitaires et hygiéniques doivent être automatiques pour chacun d’entre nous toujours dans le sens de limiter la pullulation de la maladie. C’est ainsi que le jeune écolier concrétise son dessein. Olivier se procure de gels désinfectants pour mains à 1,60 livres sterling dans les supermarchés, équivalent à 1,76 euros. Ensuite, il vend quelques gouttes de la solution à ses camarades de classe en échange de 0,50 livres sterling, équivalent à 0,55 euros, il perçoit du profit en exploitant cela.
Avide de profit
Il semble avoir réussi puisque ses amis d’école lui joignent pour de gouttes de gel désinfectant. Plus il accule des ventes, plus ses revenus haussent mais il cherche encore mieux. D’après les informations de New York Post, ses amis de classe l’incitent dans son business et il a même fini par proposer un des enseignants à faire part dans son affaire. C’est ce qui aurait engendré sa suspension. Mais d’après une déclaration, son business n’est pas la source de son expulsion mais que cela aurait découlé d’une norme interne à l’établissement, à part.
Lorsque sa maman, Jenny Tompkins le reçoit à la maison, elle était confrontée entre une fierté à son fils et une rage de ce qu’il aurait fait. De son côté, son père a classé son acte en étant un geste salutaire et que son fils est un « légende ». Sa mère récite sur son profil Facebook que son fils a accumulé près de 10 euros de profit, ce qui l’aurait servi à se procurer de gouter.
Une déloyauté constatée
Le business d’Olivier est visiblement anodin mais en se basant sur le fait qu’il tire profit d’une pénurie des marchandises aux hypermarchés, c’est un acte véreux. Comme l’est cet individu ayant fait le tour de grand nombre de supers marchés pour stocker du gel désinfectant, d’après New York Times. L’homme est nommé Matt Colvin et il a rassemblé environ 17 700 bouteilles dans le but de le commercialiser sur les boutiques en ligne comme qu’Amazon et EBay. Tout en sachant qu’il est prohibé par ces plateformes de vendre à un prix atteignant les 45 euros et de tirer profit de plus de marge. Un moment où les autres bataillent pour trouver une bouteille pour usage personnel alors que d’autres les vendent à un prix onéreux.
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