👉 Une jeune femme se fait refuser l’entrée d’un bus parisien car son short est jugé “trop court”. Elle poste une vidéo sur TikTok, et tout s’enflamme. En 48h, elle passe de simple passagère à phénomène médiatique. Derrière ce coup de projecteur, une autre réalité surgit : Thaïs est aussi créatrice de contenus sur OnlyFans, une plateforme connue pour ses publications intimes. Alors… féminisme sincère ou stratégie bien pensée ?
🚍 Une montée dans le bus… qui tourne à la descente aux enfers
Ce 21 mai, Thaïs Gauchkarian, 22 ans, tente de monter dans un bus de la RATP. Mais le chauffeur s’interpose : sa tenue, selon lui, serait inappropriée. Short trop court, postérieur trop visible… bref, la jeune femme se voit refuser l’accès.
Plutôt que de rester silencieuse, Thaïs dégaine son téléphone, filme son expérience et la partage sur TikTok. Résultat ? Des millions de vues. En quelques heures, la vidéo fait le tour des réseaux et alimente les débats : sexisme ordinaire ou provocation volontaire ?
📺 Une visibilité soudaine… et bien utilisée
Très vite, les médias s’emparent de l’histoire. Thaïs est partout : Europe 1, BFMTV, RMC, et même une interview dans Elle Magazine. On la présente comme une jeune femme victime d’un excès d’autorité, prônant la liberté vestimentaire et la lutte contre le sexisme.
Mais ce tour médiatique ne plaît pas à tout le monde. Des internautes fouillent son profil et découvrent que Thaïs possède un compte OnlyFans, où elle partage du contenu réservé à ses abonnés. Dès lors, les critiques pleuvent. Certains l’accusent de mettre en scène un faux scandale pour faire de la promotion personnelle. Pire, ils estiment qu’elle met en danger la carrière d’un chauffeur simplement pour “faire le buzz”.
💬 Féministe… ou opportuniste ?
Dans cette tempête numérique, chacun y va de son commentaire. Thaïs, elle, se défend. Pour elle, ce n’est pas une question de buzz, mais de liberté et de respect. Elle affirme n’avoir ressenti aucune bienveillance de la part du chauffeur, malgré ses excuses ultérieures.
Sur son OnlyFans, elle s’adresse à ses abonnés avec des mots doux, presque poétiques :
“Je ne montre pas tout à tout le monde… mais si tu sais être respectueux, peut-être que je te laisserai voir un peu plus.”
Pour ses détracteurs, ce double discours est incohérent. Peut-on réellement revendiquer le féminisme tout en vendant des contenus intimes ? Est-ce une forme d’émancipation ou une instrumentalisation du mouvement ?
🔥 Un débat qui divise… mais qui fait parler
D’un côté, ceux qui soutiennent Thaïs applaudissent son audace, son courage et sa liberté d’expression. De l’autre, ses détracteurs dénoncent une manipulation médiatique, au détriment d’un salarié suspendu, père de famille, pris dans une polémique qui le dépasse.
📢 “Elle a tout calculé !”
😡 “Et voilà comment on détruit la vie d’un chauffeur pour quelques abonnés de plus.”
💬 “Féminisme ne veut pas dire impunité ni provocation gratuite.”
🤔 Et toi, tu en penses quoi ?
Est-ce que Thaïs défend une cause juste, ou utilise-t-elle une situation tendue pour booster sa notoriété ? Peut-on être créatrice de contenu sexy et militante féministe crédible ? Cette histoire te choque-t-elle, t’inspire-t-elle ou t’exaspère-t-elle ?
👉 Dis-le-nous en commentaire ! Ce débat mérite qu’on en parle, toutes et tous ensemble.
Et si toi aussi tu penses que le respect des femmes ne devrait jamais dépendre de la longueur d’un short, alors partage cette publication 💬✨