A partir de la date d’apparition du coronavirus à Wuhan, la ville chinoise, la communauté scientifique et les médecins se sont mobilisés à appréhender les manifestations de la maladie. Rappelons que les effets que cette dernière inflige à l’organisme n’est pas statique en raison de la liste mutable établie par les scientifiques. Néanmoins, le Sars-CoV-2 n’influe pas uniquement les corps mais également la psyché de la population mondiale selon le constat du Dr Ford Vox, spécialisé en médecine de réadaptation et contributeur chez nos confrères de CNN. Le stress est ainsi relatif à la pandémie et nécessite d’être éradiqué. Focus sur les conseils du spécialiste.
Le coronavirus reste aux feux du projecteur depuis de longs mois. Le sujet est d’ailleurs parlé de tous dans le monde entier. Depuis qu’il est apparu, la statistique dénombre 14 millions de cas avérés à l’échelle mondiale.
De ce fait, plusieurs pays ont dû prendre une mesure de confinement adressée à leurs populations dans le sens de combattre l’expansion du Covid-19 et jusqu’à l’heure, l’absence de vaccin contre le virus mortel fait appel à la vigilance même si certains règlements ont été apaisés.
En cause, des précautions vitales sont perpétuellement recommandées par les autorités sanitaires, dont des gestes barrières ainsi que la mesure de distanciation sociale requise. Par ailleurs, la probabilité menaçante d’une seconde vague pandémique risque d’envahir de nombreux pays qui tentent de s’apprêter de façon optimale vers le début de l’automne et de l’hiver.
Les plateformes médiatiques avertissent quotidiennement les populations sur toutes les nouvelles relatives à la maladie dévastatrice. La liste est longue quand il est question de Sars-CoV-2 ainsi que de son effet sur la vie des habitants, dont les nouveaux signes indicatifs, les nouveaux foyers, les personnes à risque. Bien évidemment, du stress est inéluctable face à ce quotidien à rude épreuve et qui est susceptible d’altérer la santé de tous, comme l’avertit le Dr Vox sur la chaîne télévisée américaine.
Le stress et ses répercussions sur l’organisme
Les patients qui endurent la maladie endurent de la complication puisque le stress est d’autant plus acéré. Le médecin baptise ce fait de « stress pandémique » qui pourrait aggraver la situation.
Comme l’affirme le Dr Vox : « J’ai l’habitude de voir des patients ayant vécu des situations extrêmement stressantes au moment de l’infarctus ou de l’AVC qui les fait atterrir chez moi. Nous savons qu’il existe un lien clair entre le stress, l’anxiété et la santé cardiovasculaire. Maintenant, c’est la fermeture de leurs entreprises ».
En outre, il s’est référé à des informations de Washington Post qui aurait compté un cumul excédant les prévisions réelles pour ce qui est du nombre de décès relatifs à des affections du cœur et des vaisseaux.
D’après le médecin, ces décès ne découlent pas directement du coronavirus mais certaines d’entre eux seraient hypothétiquement l’effet d’un « stress pandémique » et il a même pu constater lui-même par le biais de ses propres examens médicaux.
Cependant, il tient à déployer qu’il n’est pas question de discours alertant. « Ce n’est pas parce que vous stressez à propos du Covid-19 qu’un AVC vous attend », prévient-il. Deux facteurs de risque subordonnés s’avèrent fondamentaux pour que le stress mène à des complications cardiovasculaires.
Toutefois, cela ne fait pas justification de « doomsurfing », c’est une consultation exagérée des données médiatiques qui est au grand dam du bien-être et qui ne fait que redoubler l’anxiété de la personne concernée.
Les notions sur le « doomsurfing »
Aussi connu sous le nom de « doomscrolling », le « doomsurfing » est un mot qui désigne l’action de parcourir excessivement les informations anxiogènes ou accablantes, tout en étant pas capable de s’en passer. Selon le Dr Vox, ces modes de vie accroissent exponentiellement l’anxiété relative à la crise actuelle.
La maladie est susceptible de nous attaquer sans que l’on ne puisse forcément l’inspecter, néanmoins, nous possédons également une faculté concernant nos réactions face à cette nouvelle évidence. Comme l’affirme le médecin qui mentionne particulièrement les sujets sur lesquelles on préfère se concentrer ainsi que les heures que l’on concède pour.
Des astuces pour se déconnecter de cette habitude anxiogène
La technique privilégiée par le Dr Vox englobe le principe de « déconnexion consciente » et celui de la « reconnexion élective ». Les deux principes impliquent le fait de se déconnecter volontairement de ce qui exaspère le stress et de se reconnecter consciemment à ce qui vous tient à cœur dans la réalité.
Cela consiste à adopter une intuition rationaliste en face de la réalité que l’on peut manager et de se débarrasser des esprits négatifs relatifs aux faits qui échappent à notre aptitude à gérer. De ce fait, il suggère de quitter les réseaux sociaux durant 24 heures, ensuite de développer son bien-être en partant de la première étape.
Même si le médecin admet que cette astuce semble impossible, la méthode est vitale afin d’échapper au stress. Minimiser le temps passé sur les écrans peut s’avérer salutaire. Pour cette préconisation, le Dr Vox cherche lui-même à suivre et il la prolonge pendant les week-ends.
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