Coup de gueule d’une employeuse de Costco. Aisha Mason a été humiliée par sa hiérarchie à cause de sa tenue vestimentaire et son corps. On vous en dit plus.
Une salariée de Costco, une grande distribution américaine, résidant dans le New Jersey, aux États-Unis, partage sa mésaventure.
Dans une publication TikTok, la jeune fille raconte qu’elle a été victime du body shaming au bureau. Tout a commencé lors d’une convocation par la direction des ressources humaines. Cette dernière l’a interpellée et a émis des remarques désobligeants vis-à-vis de son physique. Son corps pulpeux était trop visible, alors ses collaborateurs masculins sont trop distraits.
Dans sa publication, Aisha a martelé :
“Ils m’ont dit que même si j’avais la bonne tenue, je n’avais pas la bonne morphologie pour la porter (…) Je respecte le code vestimentaire … mais parce que les hommes continuent à me regarder, je dois venir au travail dans des vêtements plus grands”.
Une vague de soutien
Débordée par la situation, Aisha dénonce l’agissement embarrassant de son chef à travers la vidéo.
“Costco doit se concentrer sur des choses bien plus importantes que la forme de mon corps. Je suis embarrassée. En quoi est-ce ma faute ?” s’est-elle indignée.
Aussitôt et avant d’être supprimée, la vidéo TikTok d’Aisha a fait le tour de la Toile. Plusieurs de ses abonnés l’ont soutenue en écrivant des commentaires positifs.
La TikTokeuse a récolté une pluie de soutiens et de témoignages similaires.
Parmi les nombreux commentaires, certains ont répondu :
“J’ai dû faire face au body shaming toute ma vie. S’il vous plaît, ne les laissez pas vous intimider ! C’est leur problème, pas le vôtre”.
Un autre internaute fait part de sa propre expérience, en commentant :
“Cela m’est arrivé une fois au travail et j’aurais aimé me défendre. J’étais trop gênée pour me rendre compte qu’il s’agissait de body shaming”.
“Vous êtes magnifique et professionnelle. Non, ce n’est pas de votre faute”, a écrit un autre individu.
Le body shaming est un phénomène qui submerge surtout les célébrités féminines, notamment Adèle, Ashley Graham…
Alors que son impact psychologique est loin d’être innofensif, ce fléau peut concerner les femmes comme les hommes.