Les aléas de la vie, comme des accidents ou des maladies peuvent anéantir la vie toute entière d’une personne. Lorsqu’on vit dans ces rudes épreuves, le soutien et l’amour des proches sont vraiment essentiels afin de reprendre la vie en main. Cependant, il arrive que la seule personne sur qui on peut compter c’est nous-même, pour se relever et pour garder la tête haute. Tel est le cas de Riona Kelly, une femme âgée de 37 qui a été délaissée par son mari juste quelques jours après. La motivation de ce dernier est le fait que ses jambes seront à tout jamais infirmes. Mais la femme est résolue de lutter contre cette épreuve difficile et la vie l’a souri de nouveau puisqu’elle a retrouvé l’amour qu’elle mérite, comme le récite The Sun.
Dans cette histoire, c’est la mésaventure de Riona Kelly qui lui a permis tout bonnement de trouver l’amour après une peine profonde. Et pour cause, la femme ne pourra plus utiliser ses jambes et que son mari depuis 14 ans décide de divorcer à cause de ce handicap.
Cinq jours après son accident vasculaire cérébral, son mari la quitte
Riona Kelly a vécu une expérience très ardue dans son parcours. Elle a subit un AVC et a été admise en aux urgences.
La maman de quatre enfants, dont 16, 11, 9 et 5 ans, s’est retrouvée paralytique. Mais en plus de cela, elle a appris quelques jours après, que son conjoint souhaite divorcer.
Au moment où Riona devait de rétablir de sa maladie, le couple allait alors mettre fin à la relation. « Avec du recul, je réalise que j’étais malheureuse dans mon mariage, mais nous avions construit une vie ensemble et nous avions des responsabilités », affirme cette femme.
Elle n’a que ses enfants et une amie proche pour le soutenir. Elle déplore face à la situation : « C’était le moment où j’avais le plus besoin de mon mari ». Lorsque la rééducation a atteint six semaines, Riona ne pouvait toujours pas utiliser ses membres inférieurs, et c’est à ce moment que les médecins lui ont déclaré que ses jambes resteront infirmes à vie.
Riona poursuit : « J’avais eu un accident de voiture 18 mois auparavant et ils ont dit que cela pourrait avoir causé des problèmes au niveau de la colonne vertébrale… Si quelqu’un m’avait donné le choix, j’aurais mis fin à ma vie, je ne voulais plus vivre ».
Après la pluie vient le beau temps
Même si Riona elle était encore en pleine complication et rongée par les afflictions, elle continuait à faire des activités de physiothérapie. Et quelques temps après, elle a réussi à faire ses premiers pas avec des barres parallèles qui servent de support.
« Je traînais mon corps et je n’avais aucune sensation dans les jambes mais peu importe, je marchais et c’est tout ce qui comptait », confie-t-elle dans le témoignage. Elle a par la suite rentré chez elle après avoir passé quatre mois à l’hôpital.
Cette mère dévouée a fait de ses enfants la seule motivation de vie. Au cours de sa convalescence, elle a croisé Keith Mason qui n’est autre que son coach sportif.
Keith l’assisté à surmonter cette rude épreuve et lui octroie tout le soutien qu’elle méritait.
De plus, ses quatre enfants s’entendaient très bien avec ce jeune homme et c’est là qu’une belle histoire d’amour se manifestait entre eux.
A l’inverse de ce que les médecins lui avaient affirmé à l’hôpital, Riona a pu marcher de nouveau et elle s’est même souscrite dans une salle de sport.
La femme annonce fièrement : « Avec l’aide de Keith, je vais mieux et je me sens plus forte que jamais ».
Quels sont les symptômes d’un AVC ?
Selon l’Inserm, plus de 140 000 cas d’accidents vasculaires cérébraux sont recensés chaque année, en France. Cette atteinte est aussi connue sous le nom d’« attaque cérébrale » et est susceptible d’entrainer une obturation, voire une désunion d’un vaisseau sanguin dans le cerveau. Dans ce cas, le cerveau sera en manque d’oxygène, un phénomène à l’origine de la destruction de millions de neurones.
Cette condition nécessite une urgence médicale qui requiert de la prise en charge le plus rapidement possible. L’AVC est effectivement considéré comme la première origine d’handicap chez les adultes. Afin de pallier aux répercussions irrévocables ou même mortelles d’un AVC, il est vital de savoir quels sont ses signes précurseurs :
- Une vision floue des deux yeux ou de l’un ou l’autre œil ;
- Une paralysie d’un ou de plusieurs parties du visage ;
- Une faiblesse musculaire ressentie ;
- Des complications expressives ;
- Des soucis d’équilibre ou des complications de coordination ;
- Une céphalée extrême et sans raison apparente ;
- Des manques de vigilance et de concentration.
Si vous présentez un ou plusieurs de ses signes annonciateurs, il est indispensable de contacter rapidement votre médecin afin de prévenir ce danger.
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