Signification du fait que votre enfant marche sur la pointe des pieds - Recettes en Famille

Signification du fait que votre enfant marche sur la pointe des pieds

by Emma

Lors de la période de développement des enfants, les parents sont toujours à l’affut des plus petits détails qui les concernent. L’une des plus remarquables entre ces étapes est lorsque le tout petit essai de marcher, et les parents sont toujours émerveillés pendant cette phase. Cependant la façon de marché de celui-ci peut en dire long sur lui, donc la prochaine fois quand votre bébé va marcher, essayer de voir la manière dont il s’y prêtre pour poser ses pieds sur le sol. Si le bébé va marcher avec la pointe des pieds, d’après le site pediatre-online a montré que cela pourrait induire une future complication pour lui.

On peut dire que cette façon de marcher est tout à fait normale, car le bébé de 12 à 15 mois essai différentes position de ses pieds pour commencer à marcher sur ses jambes. Ainsi en général si l’enfant a moins de deux ans, il est tout à fait sans problème s’il marche sur la pointe de ses pieds. Puisque en général les bébés apprennent toujours à marcher ainsi. Même à cinq ans l’enfant peut encore adopter cette méthode pour marcher, mais au-delà de 5 ans, s’il continu encore à le faire, on peut maintenant se poser des questions à son médecin. A partir de cet âge là, cette méthode pourrait devenir permanente.

 Cette technique utilisée par votre enfant pour marcher est sans problème :

  1. Marché sur la pointe des pieds est sans danger pour les enfants, dans les conditions où celui-ci remarche correctement après. Par contre il faudra penser à ausculter l’enfant pour éviter tout risque d’autisme, dont les docteurs sont aujourd’hui très réactifs. En effet, ces derniers ont cette attitude actuellement, pour éviter les erreurs du passé, qui ont été les retards de détection de l’autisme. Ce retard sur le dépistage entraine à l’occasion, des retards sur le traitement qui doit se faire le plutôt possible.
  2. Dans le cas où il peut marcher droit, se déplacer correctement, et grimper.
  3. Quand l’enfant n’a aucun problème constaté, pour se mouvoir là ou il veut aller.
  4. Dans le cas où l’enfant n’est soumis à aucune douleur physique qu’il peut ressentir en marchant.
  5. Si après consultation de son pédiatre, l’enfant n’a aucun problème observé.

 Veillez à faire des consultations périodiques (6 à 7 mois) avec son pédiatre

Quand on passe le cap des 6 ans, et que l’enfant persiste à marcher sur la pointe des pieds, des conséquences sont maintenant inévitables. Entre autre, la rigidité des muscles du triceps ou les mollets, et à la longue cette façon de marcher va engendrer des fatigues et une gêne.

Dans un deuxième temps, si le pédiatre trouve qu’il existe une réduction de l’angle de flexion sur la jambe de l’enfant, de 20° à 5°. Dans ce cas, il faut que l’enfant porte des bottes de contention et doit pratiquer des séances de kinésithérapie, aux fins d’avoir un angle de flexion normal de 20° entre le pied et la jambe.

Dans une probabilité assez restreinte, la spasticité sous-jacente est aussi une possibilité qui pourrait engendrer ce trouble.

Ce problème vient d’une disfonctionnement neurologique, que seul le pédiatre pourra voir. Ce disfonctionnement peut-être relatif à un trouble neuromusculaire, ou à un problème au niveau de circuits de la commande nerveuse. Par ailleurs, il est aussi possible dans des probabilités très minces, que ce soit les manifestations d’un autisme ou de psychose. L’autisme est éventuellement possible si on ajoute à la marche sur la pointe des pieds, stéréotypies motrices, ou des attitudes de danses tourbillonnantes. Ce dernier symptôme est pour certains mignon ou adorable, mais ce signe est à prendre au sérieux. Le plus sur est de se reposer sur les propos de spécialistes de la médecine infantile, pour élucider l’interrogation. Dans ces conditions il est très avisé de voir un pédiatre, pour s’assurer que les manies observées sur l’enfant soient seulement des habitudes qu’il a développé. En effet, il peut s’avérer que ces habitudes cachent un problème. Ainsi différents tests  sont à faire comme : les dosages sanguins d’enzymes musculaires, IRM cérébrale, recherche d’une psychose, etc.

Précautions à prendre : le contenu de cet article reste purement informatif et ne peut servir de base pour un diagnostic. Consultez un médecin pour obtenir un avis médical avisé !

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