Beaucoup d’Etats Européens ont imposés des règles plus ou moins strictes pour affronter la propagation du coronavirus. Le fait de se confiner est la meilleure des moyens pour l’affronter due à l’inexistence des vaccins et des médicaments pouvant directement tuer le virus. Les scientifiques sont donc ceux qui peuvent connaitre le moment opportun pour lever le confinement. Le journal « the Independant » un journal britannique fait alors le rapport suivant : les scientifiques britanniques disent qu’il serait nécessaire de se confiner pour une durée pouvant aller jusqu’à un an en Angleterre.
Pendant que beaucoup de pays du vieux continent sont actuellement en plein confinement, des études sont menés par des scientifiques d’Angleterre concernant le temps nécessaire pour se confiner. Selon eux, un an entier de confinement seraient nécessaire pour que l’hôpital d’Outre-Manche ne soit plus bondé.
Une quarantaine pouvant durer jusqu’à 12 mois.
Le confinement est une mesure prise par presque tous les pays où il y a eu des cas de coronavirus. Les chercheurs dans le monde entier font alors leurs recherches sur la pandémie et son évolution dans le but de donner les meilleurs conseils à prendre aux Etats.
En accord à cela, des chercheurs anglais ont déclarés lors d’une assemblée qu’un an serait la durée adéquate pour que le nombre de personnes atteints et le système de santé anglais soient bien contrôlés.
Pour être plus précis, ils affirment qu’un an serait le plus adéquat, bien que 6 mois serait la durée de quarantaine minimum. Mais cela pourrait changer en accord avec les changements sur la pandémie.
Les mesures prises par les anglais pour affronter le coronavirus.
3 mois seraient nécessaires pour « inverser le cours de la maladie », selon le premier ministre, Boris Johnson britannique dans « The Guardian ». Les britanniques veulent que les méthodes qu’ils prennent soient prudente et attentives. Des tests permettant de découvrir si une personne est atteinte ou non du coronavirus et qui pourraient être « aussi simple qu’un test de grossesse » sont avancées par Boris Johnson.
Le premier ministre explique que c’est un avantage qui nous donnerait plus de chance dans cette guerre contre le fléau qu’est le coronavirus, en ajoutant que : « Savoir où est le virus fera une grande différence quant à notre gestion de la maladie et notre capacité à réduire la perturbation et les difficultés économiques ».
Dans « The Guardian », il souligne aussi qu’il sera possible de se procurer des centaines de milliers de test dans le but de faire un dépistage massif des gens porteur du virus en grande bretagne. Il veut cependant souligner que le test démontré assez efficace n’existe pas encore en ce moment.
Il est cependant toujours prêt à accepter tout autres éventualités. Quand on lui a questionné sur des mesures plus strictes, sa réponse a été « rien n’est exclu » et que ce fait dépendra des futurs évènements qui viendront.
Les mesures prises en France.
Deux alliances de personnels de la santé ont affirmés au gouvernement que des mesures bien plus rigoureuses devaient être imposés, le 22 Mars selon Franceinfo. Le Monde affirme qu’Emmanuel Macron veut d’abord connaitre ce que le conseil scientifique en pense, une affirmation qui se fera le Mardi 24 Mars. C’est de cela que dépendra le temps nécessaire pour le confinement et si les mesures de confinement seront plus strictes ou non. Le premier ministre fera un discours le 23 Mars à 20 heures pour savoir ce que le conseil d’Etat pense de ces mesures.
A savoir : les ouvertures des marchés, les conditions de sortie pour faire du sport ainsi que l’utilisation de la chloroquine comme remède potentiel au virus.
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