Saviez-vous que l’un des facteurs de l’Alzheimer est de succomber aux pensées négatives ? - Recettes en Famille

Saviez-vous que l’un des facteurs de l’Alzheimer est de succomber aux pensées négatives ?

by Emma

Etant définie comme une pathologie neurodégénérative, l’Alzheimer se manifeste par une détérioration régulière de la capacité mémorielle ainsi que par des troubles des fonctions exécutives et de la notion du temps et de l’espace. Près de 900 000 Français sont atteintes de cette maladie tout en endurant ses séquelles au quotidien. Les facteurs de risque sont nombreux et parmi eux l’avancé de l’âge, des causes environnementales et la hérédité. D’ailleurs, on compte parmi ces facteurs mais qui est variable, les pensées négatives. D’après une recherche scientifique, la réitération des pensées négatives mènent à l’Alzheimer. Natalie L Marchant déploie cette conclusion reprise par The Conversation. 

Il existe des individus qui ont tendance à remâcher et à s’enfoncer dans des pensées négatives et le pessimisme. En général, ce mouvement mental spontané ne fait que procréer de vif stress qui est susceptible de se manifester sous diverses façons. Les idées toxiques peuvent vous submerger dans un gouffre sans fin et ancre dans vos pensées de fourberies et d’illusions invraisemblables.

Cette locomotion altère considérablement la santé et le bien-être. Et pour cause, c’est un des facteurs qui causent l’Alzheimer du fait que le risque de le contracter s’amplifie en pensant négatif.

Le lien de cause à effet entre pensées négatives et Alzheimer

Comme le précise une étude parue dans la revue Alzheimer’s and Dementia, des idées négatives répétitives sont une entrée laissant libre cours à des troubles mentaux, et à terme, peuvent engendrer la maladie d’Alzheimer. Dans le monde contemporain, la relation entre les émois et les maux ou affections physiques est dorénavant non cachée envers tout le monde. Dans ce sens, les médecins dénomment ce fait de « maladies psychosomatiques ». Ce dernier indique un ensemble des traumatismes qui n’ont nulle cause physiologique et qui ont provient de le phénomène psychique de la personne.

Cependant dans cette étude inédite, les spécialistes ont essayé d’homologuer une conception baptisée « dette cognitive ». Ce terme détermine les séquelles des idées négatives ainsi que des états mentaux en péril imminent d’aliénation ou de démence et de défaillance cognitive. A cet effet, les experts ont observé durant deux ans l’intuition de 360 sujets âgés de plus de 55 ans afin de tirer conclusion.

Durant cet intervalle de temps, les volontaires sont tenus de répliquer à des questions qui concernent leur manière de gestion de pensées négatives, leur tendance à ressasser le passé ou leur manière de s’épouvanter pour la vie future. En outre, ces personnes sont aussi tenues de réaliser des essais afin que les initiateurs de la recherche découvrent des symptômes possibles découlent de la dépression et du stress. Par la suite, les chercheurs évaluent minutieusement leur mémoire, leur concentration, leur orientation spatio-temporelle et leur expression du quotidien.

Lorsque la durée de deux ans est écoulée, la conclusion a accentué que les individus qui s’attachaient à des pensées négatives récursives sont subit une détérioration cognitive sur certaines activités comme la mémoire discontinue ainsi que la capacité cognitive en général. Natalie Marchant a alors déclaré : « Parallèlement à d’autres études qui relient la dépression et l’anxiété au risque de démence, nous nous attendons à ce que les schémas de pensée négatifs chroniques sur une longue période puisse augmenter le risque de démence ».

Toutefois, elle met en exergue que même si la conjecture évalue la conséquence des idées négatives sur le risque de contracter la maladie de démence, comme Alzheimer, le cas contraire est tout de même vraisemblable. Ce qui sous-entend que les individus en état de santé aggravé augmentent le risque d’être submergés par des idées toxiques. La chercheuse formule alors : « A ce stade, nous sommes incapable de savoir lequel vient en premier ».

Des pensées négatives réitérées engendrent de la maladie

Les pensées négatives sont susceptibles de saccager l’état émotionnel et engendrent à la fin,  du stress permanent. Lorsqu’un sujet passe son temps à ressasser son passé et à redouter de son avenir, il finit par endurer de l’anxiété. Cette tendance peut engendrer probablement des troubles sous diverses formes. Découvrez une liste de ces complications :

Des troubles alimentaires

Considéré comme étant le deuxième cerveau de l’Homme, l’intestin est composé de centaines de millions de neurones. Raison pour laquelle les émotions ainsi que les pensées influent considérablement la digestion et l’imprégnation alimentaire.

Des fatigues permanentes

A force de toujours se pencher à des idées pessimistes, la personne s’épuise facilement et cette gêne devient même chronique. A en croire à la science, déballer de manière répétitive des hormones du stress est susceptible d’affaiblir l’organisme d’un être humain, c’est pourquoi un harassement inexpliqué l’envahi.

Des troubles de sommeil

Très souvent, l’insomnie découle des ressassements d’idées négatives. Une recherche démontre effectivement, que les troubles du sommeil manifeste une étroite liaison au stress et à la dépression.

Détérioration du système immunitaire

Quand un individu se laisse succomber au pessimisme, il endure dans la majorité des cas des afflictions sans raisons apparentes. Et comme le précise une étude scientifique, le stress et les pensées négatives font échos à l’état de la défense immunitaire, ce qui rend l’organisme de plus en plus fragile.

Des céphalées

Des maux de tête récurrents sont dus à de la surcharge mentale qui hante le quotidien d’une personne. Ces douleurs peuvent être occasionnées par des stress qui se réitèrent, à en croire à une recherche.

Au vue de ses douleurs occasionnées par la négativité, apprendre à gérer ses idées négatives peut s’avérer salutaire. Pour ce faire, adonnez-vous à une méditation et à des exercices de pleine conscience qui permettent de capturer les psychés afin de mieux riposter.

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