Afin de garder son organisme en bonne santé, les aliments riches en nutriments sont fortement recommandés. Ces éléments sont essentiels dans le bon fonctionnement des cellules et le système nerveux. Dans ce sens, le corps transmet des messages lorsqu’il est sujet à une carence en potassium. Découvrez tout de même les remèdes inhérents.
Pour activer tous les locomotions corporelles, le corps requiert d’imprégner des nutriments essentiels. Parmi ces derniers, le potassium joue un rôle considérable. Et pour cause, une carence en potassium met à mal l’ensemble des organes. En effet, cet article vous étale les signes à connaître en cas de faible taux en potassium.
Les rôles du potassium
Au-delà des autres nutriments préconisés par les spécialistes, le corps a besoin de consommer du potassium. En cause, ce sel minéral joue un rôle considérable pour activer les cellules nerveuses et musculaires. A cet effet, il est essentiellement garant de la contraction des muscles dont le myocarde. De surcroît, il préserve tout de même l’acidité des sécrétions gastriques qui se déroule dans l’estomac. Envers les organes de filtrage, donc les reins, le potassium permet de réguler des mouvements d’entrée et de sortie du sodium ainsi que du chlore.
A son taux normal, le potassium est concentré entre 3,5 et 5 millimole par litre. L’insuffisance est dite hypokaliémie si le taux excessif est appelé hyperkaliémie.
Les signes d’une carence en potassium
Le Dr Anne-Christine Della Valle, médecin généraliste et thermal met en exergue quelques-uns des signes de l’insuffisance en potassium. Parmi eux de la fatigue exacerbée, l’inactivité intestinale, des spasmes, des maux abdominaux ou encore de la constipation, des troubles pouvant être palliés de manière naturelle.
De manière générale, l’hypokaliémie ou carence en potassium est dépourvue de symptôme du fait que des personnes en bonne santé peuvent en pâtir. De sa phase modérée, l’insuffisance en potassium est à l’origine d’une arythmie cardiaque, pouvant être suivie par des palpitations, un pouls excessivement rapide ou trop lent. La personne peut aussi subir de la pression artérielle trop basse, des vertiges, de la pression au niveau de la poitrine mais aussi une anhélation. A son stade sévère, la complication est susceptible d’aboutir au tissu musculaire, enclenche une hémiplégie légère des 4 membres à la fois, de la rétention urinaire, une obstruction intestinale baptisée iléus paralytique et pouvant même mener à un arrêt respiratoire, comme l’annonce un rapport scientifique de la Revue Médicale Suisse. Les spécialistes recommandent fortement de rester attentif à ses signes annonciateurs. En cause, l’hypokaliémie est susceptible d’infliger des signes graves dans ses cas sévères.
Des facteurs à risque de la carence en potassium
Les patients qui suivent des traitements diurétiques sont plus à risque de manifester une carence en potassium. Comme le précise le Dr Della Valle, ces types de traitements amplifient en général l’élimination de l’électrolyte par voies urinaires. L’aspirine, les laxatifs et les corticoïdes à long terme sont aussi des facteurs à risque. Lorsqu’une personne endure sans laisse des diarrhées, il se pourrait que sa condition soit relative à une carence en potassium. La personne sujette à l’hypokaliémie peut endurer une anémie en même temps que de vomissements. Une surconsommation d’alcool accompagnée d’aliments riches en hydrate de carbone constitue le facteur principal d’hypokaliémie.
Les remèdes pour pallier à la carence en potassium
Dans ses cas bénins, l’insuffisance en potassium nécessitent de réviser la consommation d’aliments qui en contiennent. Par contre, dans ces cas extrêmes, le complément en potassium doit être injecté par voie intraveineuse. A cet effet, la dose et le mode d’administration reposent particulièrement sur les difficultés cardiaques ainsi que sur le degré de l’hypokaliémie. Afin de faire le constat, les signes avant-coureurs sont à repérer scrupuleusement grâce à un test sérologique. Ce dernier sera à même à détecter d’autres manque en nutriments, par exemple la vitamine D qui développe tout de même d’autres signes.
Voici quelques aliments riches en potassium à consommer en cas d’hypokaliémie : les amandes, les raisins et abricots secs, les pruneaux, le persil, l’avocat, les épinards, les bananes, les tomates, les algues.
Mise en garde
A la différence des autres sels minéraux, le potassium nécessite une régulation minutieuse pour ne pas pâtir à la santé.
L’avis d’un médecin est de mise afin de préciser la supplémentation nécessaire. A savoir que ce dernier est uniquement valable sous une recommandation d’un médecin.