La plupart redoute de ce processus mais certains s’abdiquent alors que le décès reste un chemin inévitable auquel chacun sera confronté un jour ou l’autre. Ces dernières années, accoutumer son propre décès et celui des proches est important et certains en est conscient. Même si la peur de mourir est évidente, ceux qui admettent cette réalité ne sont pas d’une minorité et préfèrent même préparé le déroulement des événements. A cet effet, les individus transcrivent un testament et fait son choix entre la crémation ou l’inhumation de son corps. Il existe de nombreuses personnes qui s’interrogent de ce que le corps devient après son décès. Au moment où le cœur cesse de fonctionner et que les organes cessent aussi leur locomotion, quel est le devenir de la chaire qui nous enveloppe ? Il incombe au sujet de décider s’il sera incinéré ou enterré. Autrement, ce sont ses proches qui décident. Selon la préférence de chacun, ces deux pratiques possèdent respectivement ses privilèges et ses désagréments et que cela nécessite d’être connu pour faire le choix approprié. Afin d’être transparent et afin d’expliquer les étapes de crémation d’un défunt, un crématorium anglais a arrangé une « journée porte ouverte ». Décelez dans cet article ce que recèle l’incinération.
Que se passe-t-il lors de l’incinération ?
La directrice du crématorium, nommée Louise Singer a déployé : « Les gens pensent que nous revendons les cercueils ou mélangeons les cendres alors aujourd’hui, nous voulons montrer que nous sommes transparents et que nous nous impliquons. Nous voulons simplement les rassurer tout au long du processus ».
La crémation, aussi connue sous le nom d’incinération est un procédé mortuaire qui consiste à calciner le corps du défunt afin de le transformer en fines cendres. Avant de soutirer ces cendres pour que les proches les conservent, d’innombrables étapes se relèvent. Au début, l’agent du crématorium nécessite de garantir que le cercueil ne comporte aucun objet risqué qui est une source de choc ou d’explosion.
Par la suite, ce même agent est tenu d’inspecter que le décédé est dépourvu d’animateur cardiaque ou encore de prothèse à pile, avant de transporter le cercueil dans une pièce réchauffée à une température entre 800 et 1000 degrés Celsius.
Dans le cas où le défunt a opté pour une participation à des études scientifiques et d’offrir un organe, le corps sera brûlé de manière isolée.
En une durée de près de 90 minutes, le personnel du crématorium se porte attention pendant que le corps brûle. Au moment de la calcination du corps, les parcelles de détritus se trouvant dans le cercueil sont absorbées et purifiées pour éviter les métaux toxiques de défavoriser l’atmosphère.
Ensuite, le personnel du crématorium rassemble les cendres du défunt pour les faire refroidir durant une heure de temps.
D’après, Andy Hands, faisant partie du personnel, la masse des fines cendres obtenues dépend particulièrement du corps du défunt, notamment de la densité des os. Ces cendres sont ensuite déposées dans un dispositif dédié à les tamiser. L’ensemble des pièces en métaux, comme les prothèses ou les parures sont ôtées et doivent être recyclées ou bien offertes à des associations. Les os sui en restent sont par la suite broyés à l’aide d’ une machine spécifique. Pour finir le processus, le personnel doit installer les cendres dans un récipient avant de les remettre à ses proches.
L’incinération en France
D’après une recherche BVA pour la Fondation PFG parue sur Le Parisien, plus de la moitié des Français optent pour l’incinération à leur décès. Ils sont à 59% de la population.
Quant à Tanguy Chatel, sociologue spécialiste de la fin de vie et du funéraire, c’est une réalité qui se traduit au fait de « la terre a mauvaise presse ». Elle est effectivement observée comme étant encrassée par les vers de terre ainsi que la pollution de l’environnement.
Inversement, le feu est un aspect emblématique de « la lumière ». « La crémation est aussi le choix de ceux qui ne veulent pas peser sur les générations futures comme pour l’entretien d’une tombe.
La cérémonie apparaît également plus moderne car rapide et personnalisable », indique cet expert. En outre, d’autres individus affairés de l’écologie estiment que la crémation présente moins de risques environnementaux, comparée à l’enterrement.
Cependant, le sociologue tranche par la suite, « Ce qui est parfaitement faux niveau bilan carbone ». Toujours d’après cet expert, en sachant que la plupart des habitants dans l’Hexagone sont chrétiens, il paraît compliquer d’abandonner l’inhumation traditionnelle et de la remplacer par l’incinération.
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