L’estime de soi, la confiance en soi… autant de choses qui dégénèrent à cause d’une relation violente. Le partenaire abuse sous diverses manières, notamment d’un danger au détriment de l’autre, voire d’un comportement hideux dans le ménage. Cependant, la majorité des proies de la violence conjugale ne riposte nullement contre les menaces à son encontre. Une tendance baroque, mais il existe bien des raisons de cette attitude commune. Cet article répond au « pourquoi » des voisinages qui prennent connaissance des souffrances de ces personnes mais qui restent endurante.
Une grande difficulté loge dans l’idée de vouloir rompre avec son conjoint violent. Si cette volonté cartésienne est une meilleure option dans tous les cas, il existe aussi bien une panoplie de causes qui obstruent la rupture.
La peur des jugements
En réalité, une grande majorité de gens préfèrent tolérer à la violence que lui inflige son partenaire, plutôt que d’écouter les jugements de leurs entourages. Vivre ce calvaire, loin de toute quiétude doit indubitablement être en contrepartie d’une vie saine mais avec des verdicts honteux et éphémères. Et étonnamment, ce dernier semble être un tabou. Une des raisons pour lesquelles il existe encore plusieurs personnes qui endurent une relation infernale.
Une difficulté liée à l’état financier
Les personnes qui dépendent financièrement de leur partenaire ne sont pas d’une minorité. Ce qui leur incite à rester malgré les inhumanités singuliers dans le ménage. A cet effet, la victime est confrontée à un rude choix qu’il serait coûteux de mettre fin à leur union. Et malheureusement, la personne s’apprête à encaisser d’autres coups et de continuer à endurer la toxicité ou même les agressions outrées.
Le sort des enfants
Confrontée à ce genre de dilemme sans égal, la personne serait prête à venir en martyre pour le bien de ses enfants. La raison ? Leurs petits ne seront plus à même de jouir d’une affection paternelle et maternelle à la fois en cas d’une séparation. Le désir de faire fleurir l’amour parent-enfant dissipe une pléthore de raisons de rupture. D’ailleurs, au moment où les deux parents se brouillent dans leur relation toxique, les enfants peuvent bénéficier de l’amour parental.
L’espoir et la promesse de changement
Alors que le partenaire agressif promet de changer d’attitude, la victime serait dans l’impossibilité de réfuter ce propos. Cette promesse n’est toutefois pas garantie. Dans ce cas, le désir de fuir à la relation serait une source de rupture qui mettra en cause la victime, sous prétexte de celle-ci a coupé le fil d’une relation durable. En outre, la victime désire fortement de devenir une inspiration qui pousse son partenaire à abandonner ses attitudes diaboliques.
Le cœur a ses raisons
D’après le fameux philosophe Blaise Pascal « Le cœur a ses raisons que la raison ignore ». La majorité d’entre nous connaissent cette citation qui dévoile une réalité. Malgré le fait que la situation est difficile, le cœur dénie les souffrances, voire la logique. Dans ce sens, le seul désir de la victime est que la cruauté prenne fin sans couper le lien de couple. Elle n’en démorde effectivement pas et continue à vivre dans la relation toxique. De plus, l’espoir en elle persiste assez longtemps à ce que son agresseur jette se repente.
Quid du rôle des autres envers une victime de la violence conjugale?
Somme toute, fuir à une relation mal saine n’est pas pour autant facile. Cependant, les voisinages qui aperçoivent les signes de violences jettent les gants, juste après une seule alerte. A la place, il serait primordial d’extériorise de l’empathie envers la personne victime. Ceci est une grande preuve de soutient dans le but de l’octroyer une force mentale. D’ailleurs, il faut prendre de ses nouvelles de temps en temps, ce qui est une assistance favorable à la victime face à cette difficulté. Il faut ne pas perdre contact puisque dans certain cas, l’agresseur isole à tout prix son partenaire de ses proches.
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