Wokisme ne fait pas partie des vocabulaires de Philippe Candeloro. Cet ancien patineur, a partagé son principe qui a fait couler beaucoup d’encre. L’homme a défendu qu’il n’aime pas notre époque et la raison est pour le moins étonnante.
De plus en plus évoqué à l’heure actuelle, le wokisme est blâmé par l’ex-patineur. Philippe Candeloro est libre dans ses expressions, comme il l’était sur la glace ! Cette fois encore, l’intéressé vient d’en faire ses preuves.
En plus d’être athlète, il est connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche et cela lui a valu des aversions par le passé. Récemment, ses mots ont encore tapé fort sur les médias et les réseaux sociaux.
Être hétéro devient une maladie face au wokisme
Lors de son passage au site “Le Figaro La Nuit”, Philippe Candeloro a mis en avant qu’il ne pouvait plus dire ses pensées à la télévision comme il le faisait avant. Selon l’invité de Thibault Garnier, cette autocensure découle de l’émergence du mouvement #MeToo et de la tendance woke. Comme il l’a affirmé :
“Aujourd’hui avec le #MeToo, avec le wokisme, on n’est plus aussi naturels qu’au départ (…) On ne nous dit pas “tu ne peux pas dire ça, tu ne peux pas faire ci” (…) On s’autocensure par peur (…) que chaque mot qu’on va prononcer va être presque une insulte”.
Il n’a pas manqué de marteler devant l’interviewer :
“On essaye de m’enlever mon ADN, la façon dont j’ai vécu toute ma vie, c’est-à-dire avec mes blagues potaches à la con”.
L’homme a évoqué son orientation sexuelle qui, selon lui, serait considéré comme anormale.
“Moi je suis hétéro, oui (…) Est-ce que c’est une maladie aujourd’hui ? J’ai l’impression que oui”, a balancé l’invité.
Une chose est sûre, Philippe Candeloro est frustré.
“On est soi-disant un pays de libertés et que finalement, on n’est plus aussi libres que ça.” pouvons-nous lire dans ses affirmations.