Parentalité : Selon la science, un fils ferait vieillir plus

Parentalité : Selon la science, un fils ferait vieillir plus qu’une fille

by Emma

L’arrivée d’un bébé va avec son lot de changement pour les parents car avoir un enfant n’est pas de tout repos. D’autant plus lorsqu’il s’agit d’un fils. Selon une étude scientifique, avoir un fils ferait vieillir plus qu’avoir une fille à la maison. L’étude nous livre d’amples explications sur ce sujet.

Il est difficile de gérer un enfant ou un adolescent. Les parents en voient de toutes les couleurs et c’est épuisant. La parentalité est un métier à temps plein et chaque couple ne le traverse pas forcément de la même manière.

Les chercheurs ont enquêté sur 13 000 parents en vue d’étudier comment un garçon ou une fille impacte le vieillissement des parents. Selon le résultat paru sur la National Library of Medicine, il paraît qu’élève un garçon ferait vieillir plus. De plus, un fils diminuerait les capacités cognitives des parents.

Un lien étroit entre le vieillissement et le fait d’avoir un fils

Dans le cadre de la recherche, les spécialistes ont évalué le comportement des parents avec au moins un enfant. Parmi eux, 82,3% avaient au moins un fils et 61,6% étaient des femmes. On a évalué au total, 13 000 adultes âgés de 50 ans ou plus.

La conclusion de cette étude est simple. Avoir des fils serait plus épuisant qu’avoir des filles, car cela influe directement la capacité cognitive des parents. Les scientifiques eux-mêmes ont du mal à comprendre la véritable cause de ce phénomène. Ils n’ont réussi à livrer aucune explication biologique. Mais, une chose est sûre, la raison loge dans la façon dont les parents interagissent avec les garçons, donc un facteur social.

À en croire l’étude, l’aspect cognitif des parents avec un ou plusieurs fils serait à même à diminuer que ceux qui n’ont pas de fils. Le déclin s’avère plus rapide chez ce groupe de parents comparé à ceux qui n’ont que des filles.

Toutefois, cette idée est à prendre avec des pincettes car il ne s’agit pas d’une généralité. D’ailleurs, l’étude s’est focalisée uniquement sur des parents américains avec des codes sociaux précis et que l’on ne retrouve pas forcément avec les autres pays.

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