Les pestilences microbiennes restent afflictives et se vérifient quelquefois ardues à guérir, principalement quand il s’agit de microbe qui accroît une endurance aux bactéricides. Tel est le cas de Thomas Patterson ayant 72 ans et est affecté par l’Acinetobacter baumannii, un virus tenace envers n’importe quel antibiotique. Avantageusement, sa conjointe a pu l’épargner de cette menace en se focalisant sur la phagothérapie. The Guardian a diffusé l’histoire.
Il s’agit de deux conjoints dont Steffanie Strathdee et Thomas Patterson qui passaient paisiblement leurs vacations en Egypte, l’année 2015, mais brusquement Thomas était affligé d’une maladie. Le septuagénaire a engendré une contamination à super-bactérie nocive à l’origine de l’Acinetobacter baumannii, c’est un virus tenace à n’importe quel antibiotique. Même si les spécialistes en médication ont tenté 12 antibiotiques, les infiltrations n’ont fait qu’aggraver la condition de Thomas. Sa conjointe Steffanie étant épidémiologiste en pathologies bactériennes à la Faculté de Médecine de l’Université de Californie à San Diego, a pu repérer la clé, manquée depuis des moments qui a épargné la vie de son conjoint contre le danger : c’est la phagothérapie.
Qu’est-ce qu’une contamination infectieuse ?
Elles subsistent spontanément dans l’organisme des Hommes, mais il existe quelques-unes d’entre elles sont « mauvaises » et renferment des éléments causant une maladie et le traitement peut s’avérer compliqué en fonction de l’endroit dans le corps ainsi que la nature de l’élément contaminant. Pour que la contamination soit déracinée, les médecins exigent en général des antibiotiques.
Les signes symptomatiques initiaux de Thomas et la procédure des médecins
Le deux époux ont communiqué à nos compères de TODAY sur son antagonisme contre l’Acinetobacter baumannii. Thomas leur a révélé : « J’ai été pris d’une nausée violente qui m’a réveillé pendant la nuit, et j’ai vomi toute la nuit et toute la matinée du lendemain. Un médecin a essayé de me traiter avec des antibiotiques mais mon état n’a fait qu’empirer ».
Ensuite, on l’a transféré en Allemagne le 4 décembre et c’est à ce moment que son calcul biliaire a été décelé ce qui a généré un kyste énorme. En plus de cela, des constats distincts ont repéré la contamination dangereuse et nocive. Et le 14 décembre, on l’a transféré à San Diego en Californie.
Steffanie, sa conjointe a annoncé que la poche de pus a été enclenchée par son calcul biliaire préalablement à leurs vacances en Egypte, sauf que la super-bactérie était d’origine égyptienne. L’endroit moelleux dans la poche de pus a généré la prolifération du microbe.
Qu’est-ce qu’on entend par acinetobacter baumannii ?
Steffanie a éclairci que : « l’acinetobacter baumannii est une bactérie qui, jusqu’aux deux dernières décennies, était considérée comme étant assez faible. Cependant, elle a la capacité de voler les gènes de résistance antibiotique des autres bactéries. Je l’appelle la ‘bactérie kleptomane’ ».
Par conséquent, elle n’est pas éradiquée semblablement aux autres microbes quand des antibiotiques sont injectés. En outre, la super-bactérie se monopolise là où elle vive quand ces bactéries sont éradiquées.
Les obstacles de la contagion
« Elle s’infiltrait parfois dans son système sanguin, et cela lui causait des chocs septiques. Chaque épisode présente un risque de mort de 50% et Tom en a eu 7. Il était délirant, perdait énormément de poids et ne pouvait rien ingérer sans vomir, il était donc nourri à l’aide d’une sonde d’alimentation » selon les explications de Steffanie, la conjointe de Thomas.
La clé de génie ?
Lorsque les guérisseurs ne trouvent plus beaucoup de recours, la femme de Thomas a révélé le procédé de la phagothérapie suite à un sondage sur le web : « Les phages sont des virus qui attaquent naturellement les bactéries. C’est comme une alternative aux antibiotiques propre à la nature […] mais ont progressivement été oubliés après l’apparition de la pénicilline ».
En date de février 2016, Steffanie a déclenché une protestation pour des secours et un expert de Texas A&M y a répliqué. Il a exploré des phages homologues à la contamination microbienne de son conjoint et a pu déceler 4. Ils ont abordé la phagothérapie en date du 15 mars 2016 et Thomas est délogé du coma le 20 mars. Par la suite, il a demeuré au dispensaire jusqu’en août 2016 afin de se ressaisir complètement de son aventure microbien.
De quelle manière vous garder loin des contaminations ?
Nous frôlons continuellement le carrefour bactérien eu quotidien, à l’exemple des serrures de portes, les ascenseurs, les appareils téléphoniques, les pentes d’escaliers et encore d’autres. Lisez ces conseils venant de l’APHP afin de vous cautionner :
- Nettoyez-vous les mains : lavez vos mains de manière régulière avec de l’eau et du savon, particulièrement suite au passage aux toilettes, après avoir touché des choses dans les endroits publics ;
- N’ayez pas tendance à consommer des antibiotiques : on connait tous l’expression légendaire : « Les antibiotiques, ce n’est pas automatique ». Effectivement, les antibiotiques opèrent uniquement envers une contamination microbienne. Donc, il faut en avoir recours uniquement et absolument en cas de nécessité afin d’éviter aux bactéries d’être tenaces.
- Prenez compte de l’intervalle de temps de la thérapie : assurez-vous qu’il s’agit de contamination bactérienne avant d’avoir recours aux antibiotiques et non un cas de virus, surtout suivez bien le temps de médication ordonné par votre guérisseur pour empêcher aux bactéries de reproduire une ténacité aux antibiotiques.
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