Plusieurs parents se demandent des éventuelles répercussions de la pandémie sur l’année scolaire à venir, alors que les vacances estivales viennent de commencer. L’influence du coronavirus n’est pas indéniable ce qui implique que les ados et les enfants de bas âge sont pourront être exposés au risque de contracter la maladie. Les parents envisagent à cet effet, une scolarisation à distance, comme Wendy Wisner, une maman de deux garçons et rédactrice en chef adjointe chez Scary Mommy. Elle préfère que les études de 2021 de ses enfants se passent à la maison.
À partir de la date où le coronavirus est apparu, tout a changé. Plus rien ne ressemble à la vie d’avant pour plusieurs personnes qui sont à un point d’être obnubilées par ce virus mortel. Les gens sont envahis par l’anxiété au danger extériorisé par le Covid-19. Les traditions du quotidien ainsi que les distractions sont tombés dans les oubliettes.
Une étude à distance
Puisque l’anxiété à cause du Covid-19 ne fait qu’amplifier, Wendy Wisner, une mère de deux enfants a décidé de ne pas les envoyer à l’école dans l’année qui vient et d’opter pour l’école à la maison dans le cas où c’est réalisable. En effet, elle prévoit d’aborder le sujet à ses deux enfants concernant le programme éducatif et d’arranger son emploi du temps pour coïncider à ce changement radical. Elle déclare être plus soulagée après avoir pris sa décision. D’innombrables principes sont à la base de sa décision, dont
- La présence des risques aux établissements scolaires
Selon cette mère de famille, il ne faut pas denier le risque de transmission en pensant que les enfants ne peuvent pas avoir le coronavirus. Et pour cause, les enfants et les jeunes ne sont pas imbattables par la maladie. La preuve ? Certains ont déjà été infectés par le Sars-CoV-2 sous un état aggravé. En plus, l’un de ses enfants endure un asthme et qu’un péril imminent à son détriment est envisageable.
- La possibilité des effets à long terme de la maladie
Il se pourrait que les enfants endurent des séquelles à long terme à cause de l’épidémie toujours présente dans le territoire. Rappelons que certains enfants ayant contracté le virus n’arrivent pas encore à respirer correctement jusqu’à maintenant.
- Les enseignants étant vulnérables
En raison de l’affection, les personnels des établissements scolaires sont fragiles, d’autant plus qu’ils côtoient avec les enfants. A cet effet, la mère s’apeure pour certains d’entre eux au risque de tomber malade. Une autre raison pour laquelle la vigilance est de mise.
- A l’abri du virus avec moins d’enfants
Le risque de contamination est plus bas lorsque le nombre d’enfants en classe est minimisé puisque la mesure de distanciation sociale peut bien être respectée.
- Le programme scolaire est interrompu
Toujours selon la maman, en période d’hiver et d’automne où les maladies grippales s’attaquent à presque tout le monde, les écoles seront mises en quarantaine. A cet effet, elle préfère que ses petits étudient devant l’ordinateur pour éviter de contracter la maladie ainsi que l’interruption de l’année scolaire à venir.
- La famille est aussi exposée au risque du coronavirus
Il est évident que la famille soit plus au risque de contracter le virus si jamais un enfant parmi les membres du ménage est atteint du virus, surtout lorsqu’un membre de la famille est malade ou est susceptible d’être atteint.
- La durée restreinte des cours à distance
Entre six mois et douze mois, c’est la durée de l’étude à domicile. Et selon Wendy, c’est grande opportunité pour les parents de rester en compagnie de leurs enfants.
- Un moyen d’inculquer aux enfants qu’il faut savoir sacrifier certaines choses
Il est vrai que la convivialité entre camarade de classes est plus enthousiasmant, mais il est temps de les faire comprendre que la décision est dans l’intérêt de chacun.
- Certains enfants ne respectent pas les mesures sanitaires
Wendy pense que les enfants ne respectent pas tous, les règles présagées par l’autorité sanitaire, dont les hygiènes ainsi que la mesure de distanciation sociale. Des circonstances ne faisant que doubler ses peurs.
- Porter un masque en salle de classe entrave les interactions nécessaires
Mettre son masque durant six heures durant les études ne fait pas partie des meilleures options, selon la maman. En sus, c’est impossible d’interagir entre élèves.
- La maladie inflammatoire multisystémique endurée par certains enfants
Il s’agit d’un syndrome inflammatoire qui est à l’origine d’une irritation de plusieurs parties du corps, dont le cœur. Ainsi, plusieurs enfants ont été sujets à cette affection et jusqu’à présent, endurent les répercussions néfastes. Raison de plus pour préserver les enfants du virus qui peut être contracté à l’école.
- Un risque élevé de revenir en classe en période automnale
Pour ce qui est du retour des élèves au moment de l’automne, la rédactrice chez Scary Mommy est apeurée par les éventuelles transmissions. La raison ? En cette période, le risque de contamination devient encore plus élevé.
- Elle redoute de la maladie
Un des plus grandes peurs de cette maman active est que son époux tombe malade. A cet effet, il serait possible que les enfants seront délaissés sans surveille d’aucun des deux parents.
- Une mesure raisonnable vis-à-vis des grands-parents
Dans le sens de préserver toute sa famille du danger de coronavirus, les grands parents de ses enfants sont aussi vulnérables.
- Une meilleure option en période épidémique
Loin de toute caprice et de devoir abandonner certaines habitudes, la maman estime malgré tout que c’est la meilleur solution à entreprendre pour le bien de toutes les personnes qu’elle chérisse.
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