Toujours sous les feux du projecteur, le Covid-19 est une crise mondiale sans égal depuis des millénaires. La pandémie a valu la vie de milliers de gens et ne cesse pas encore de ravager des vies que ce soit de manière directe ou indirecte. Dans son témoignage, Maria Ayelen une jeune femme âgée de 32 ans est déploie ses troubles, étant atteinte de cancer ovarienne. Toute sa vie a été bouleversée par la maladie de coronavirus, voire en péril imminent. Les informations sont relayées par le quotidien Argentin Clarin.
Si en janvier 2020, le coronavirus n’était que menace indirecte pour elle, à l’heure, ce n’est plus le cas. Cette jeune femme a été diagnostiquée du cancer de l’ovaire. Lors de son entretien sur la plateforme du quotidien Argentin Clarin, Maria fait part de son témoignage touchant qui a pour but la sensibilisation des gens pour le don de sang.
Une chaine de traitements
Une jeune femme de 32 ans, Maria Ayelen a été diagnostiquée d’un cancer des ovaires le mois de Janvier dernier. En parallèle, elle est aussi atteinte d’une thrombose pulmonaire. Et face à sa nécessité en urgence de soin, elle a été immédiatement admise en hôpital à Argerich.
Etant encore en hôpital, elle récite sur le journal Clarin que son admission en hôpital était quelque peu vraisemblable, sa quatrième session de chimiothérapie a été effectivement lourde. A cet effet, les personnels de santé lui ont régenté un médicament assez fatiguant. Préoccupée par cette complication, elle récite son vécu eu sujet de la chimiothérapie : « J’espère que mon corps pourra la tolérer », s’est-elle exprimée.
Le don de sang entravé par le Covid-19
Les semaines suivantes, le covid-19 se répand partout dans le monde toute entier et des mesures de confinement ont été instaurées un peu partout à travers la planète. Une recours auquel, la population mondiale limite au maximum les sorties.
Même si le confinement est opérant pour essayer de gérer la pandémie, cela se répercute directement à la vie des gens. Alors, les personnes, agitées de ne pas être atteintes par le virus mortel, ont tendance à ne pas céder au don de sang comparé aux habitudes d’avant. Pour l’Argentine, la pandémie a effectivement engendré un décroissement jusqu’à 80 % des dons de sang.
Ladite dégradation met en péril la vie d’innombrables patients, à l’instar de Maria. Cette dernière annonce au grand public : « Ma vie et celle de beaucoup de personnes dépendent de la solidarité des autres » et elle a par la suite poursuivi : « Mon objectif, c’est de sensibiliser les gens. Bien que nous soyons en pleine pandémie et qu’il faut faire attention au coronavirus, nous pouvons construire une société plus solidaire, empathique et inclusive. Le sang ne peut être fabriqué. Faites un don, nous pouvons avoir besoin d’une transfusion sanguine ».
Cette déclaration émouvante conduit à la réflexion et permet de déceler un autre effet de la pandémie, au détriment de ceux qui en sont atteints.
Les répercussions en France
La baisse des dons de sang se reflètent tout de même en France. A partir de la date de déconfinement progressif, les donneurs de sang comptent beaucoup moins que ceux d’avant le coronavirus. De plus, les réserves sont en dessous du seuil d’alerte, un cas qui est inquiétant pour les autorités sanitaires et gouvernementales français.
C’est pourquoi ces derniers implorent les citoyens à faire des dons de sang dans le but de sauver des vies ainsi que de contribuer aux soins de plusieurs patients. Ainsi, les gens âgés d’entre 18 à 70 ans peuvent donner du sang et il faut avoir au moins 50 kilos. Toutefois, les personnes âgées d’au-delà de 60 ans requièrent une autorisation d’un médecin présent au moment du prélèvement de sang.
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