Une maladie non contagieuse, la maladie de Lyme provient d’une piqûre de la tique. Cette dernière est un acarien qui appartient à la famille des spirochètes. Entre l’année 2017 et l’année 2018, la statistique étale des cas au nombre de 69 qui vire à 104 pour 100 000 personnes résidant en France. D’après les explications du ministère de la Santé, cette recrudescence pourrait être relative au climat qui est favorable à la croissance de ces arachnides acariens, en dehors de la sensibilisation plus importante des médecins lors du constat de cette maladie, tout de même connue sous l’épellation de borréliose de Lyme. Même si la contamination est dans la plupart des cas sans aucun signe symptomatique, cela n’empêche à la maladie de condamner le patient dans un état invalide, surtout dans un état de paralysie relative ou des afflictions au niveau articulaire. Le Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso, médecin généraliste et du Dr Lyonel Rossant, pédiatre et le Dr Lyonel Rossant, pédiatre étalent à cet effet, des explications sur Doctissimo.
D’après les données de la Santé Publique France, la borréliose de Lyme est une contamination qui s’acquiert par la piqûre des tiques, la plus rencontrée sur la région. À son apparition, une bactérie du complexe Borrelia burgdorferi sensu lato qui, quand elle contamine la tique, est imputée à être à l’origine des éruptions de la peau et dans des faits plus rares, d’extériorisations éparpillées. Dans l’hexagone, il est évalué que la majorité des transmissions se créent entre les mois de mars et le mois de septembre.
La cause de la maladie : les ixodes ricinus
Les tiques à l’origine de la maladie de Lyme qui attaque la population française sont des tiques dures qui appartient au complexe Ixodes ricinus. En général, elles aspirent du sang sur des animaux pour se nourrir. De ce fait, les êtres humains se trouve être un hôte de cas fortuit pour ces arachnides acariens. En outre, il s’agit de contamination dans le cas où les tiques se sont approvisionnées de sang envenimé par les bactéries Borrelia burgdorferi sensu lato, dont les hôtes réservoirs primordiaux sont des mammifères de la forêt, à l’instar des écureuils, des rat des champs mais aussi des mulots. Le cycle de évolution des tiques peut parvenir jusqu’à six années et se développe en trois intervalles principales. De la sorte, l’œuf éclose pour générer une larve. Ce dernier se transforme par la suite en nymphe et en partie finale, devient adulte.
Leur endroit de vie préféré sont les sous-bois, les pâturages, les prairies, mais tout de même dans les bosquets de feuillés. Toutefois, ces acariens peuvent aussi être découverts dans des jardins privés, les parcs urbains ainsi que les surfaces plantées dans les périphéries. L’humidité favorise leur développement ainsi que la chaleur. Les Exodus ricinus sont très peu exposés dans les lieux abondamment desséchés ou sous-marins, ou encore dans une éminence. Bref, elles vivent dans une généralité de territoires métropolitains.
Les 3 phases de développement de la maladie de Lyme
Selon les éclaircissements du Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso et celles du Dr Lyonel Rossant, la borréliose de Lyme se détermine en trois stades différents:
- La phase primaire:
Le patient est sujet à un préjudice au détriment de la peau, baptisée érythème chronique migrant. Ce signes s’étend entre 3 à 30 jours après avoir été piqué par une tique et se traduit sous une forme d’œuf auquel le rebord est plus rouge comparé à la partie centrale de la lésion cutanée. Dans la phase primaire, il n’extériorise pas une démangeaison et ce sont les membres inférieurs qui sont en général affectés. Il se peut que la maladie soit accompagnée d’afflictions articulaires, de harassement, des migraines ou encore d’une aura fiévreuse. Au cas où vous percevez des adénomes au voisinage de la lésion, il s’agit d’un éparpillement de la bactérie au sein du corps.
- La phase secondaire:
Plusieurs semaines ou mois peuvent persister jusqu’à ce que l’érythème chronique migrant disparaisse mais une durée qui permet de prouver la pestilence. Les indices qui sont susceptibles de s’extérioriser durant cette phase enferment des dommages cutanés équivalents à celles examinées en phase initiale, des afflictions articulaires répétitives, des soucis cardiaques (par exemple le syncope, des palpitations, des complications de la conduction auriculo-ventriculaire et des douleurs au niveau des poumons). Il faut tout de même s’attendre à des symptômes neurologiques.
- La phase tertiaire:
Aussi reconnue comme étant la phase tardive de la maladie de Lyme, ce stade se traduit par des signes sur la surface de la peau comme le lymphocytome cutané de forme anodine ou le syndrome de Pick Herxheimer, des troubles articulaires équivalents à ceux de la phase secondaire et enfin, des symptômes neurologiques qui s’attaquent au cerveau mais probablement à la moelle épinière.
Les préventions à la borréliose de Lyme
Avant tout, gardez à l’esprit que la borréliose de Lyme n’est pas contagieux via des contacts directs avec des animaux, par le biais d’une piqûre d’autres acariens, par le fait de consommer certains aliments, ni via des contacts entre une personne à l’autre. Cependant, il serait judicieux d’adopter des mesures préventives lors d’une balade en nature. Raison pour laquelle la Santé Publique France transmet des précautions à prendre en considération :
- Ne prenez pas des routes boisées mais plutôt dans les sentiers bien clair et dépourvu de hautes herbes qui vous exposent au danger imminent de contracter les tiques.
- Mettez des habits qui couvrent tout votre corps et vos membres, et utiliser des produits répulsifs afin de restreindre le risque lié à la piqûre des acariens.
- Effectuez des prospections méticuleuses après avoir baladé en nature afin de vérifier une éventuelle piqûre de tique. Soyez vigilent aux parties fragiles de la peau comme les arrières des genoux, les parties génitales, les aisselles ou le nombril.
- Quand il est question d’un enfant, priorisez la vérification à l’arrière des oreilles, dans les cheveux ainsi que le cou.
- Une fois que vous avez repérez une piqûre de tique, le Ministère des Solidarités et de la Santé préconise de contrôler minutieusement la partie atteinte durant 30 jours. Au cas où vous apercevez une lamelle de couleur rouge tout autour de la piqûre, il est important de contacter rapidement votre médecin consultant.
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