Le talc, un produit que l’on a forcément dans nos boîtes à pharmacie et est utilisé pour se préserver la peau de bébé des agents nuisibles, notamment celui fabriqué par Johnson & Johnson. Alors que la poudre est pointée du doigt pour être source de maladies cancéreuse et d’intoxication. A cet effet, le produit n’est plus vendu dans les pays américains et canadiens par ordre de sécurité. Focus sur les informations relayées par Reuters.
Submergé par l’accusation venant des consommateurs, Johnson & Johnson a riposté. Ce manufacture de produite de renom a ôté ses objets des commerces aux Etats-Unis ainsi qu’au Canada. Un tel agissement est motivé par plusieurs poursuites en justice qui accusent le talc d’être un facteur de cancer. Des inculpations sérieuses que la marque argue à de manière implicite et qui devient une cause de cessation de vente.
« De la désinformation »
La sollicitation des consommateurs américains ne couvre pas les demandes requises pour poursuivre la commercialisation de talc. Cette idée est évoquée par Johnson & Johnson pour l’interruption brusque de la vente de ses articles phares. Dans un avis publié au public par ladite marque, le personnel démontre « un changement dans les habitudes des consommateurs » en défendant « la désinformation concernant la sécurité du produit ». Et ce propos délicat destitue aux milliers de poursuites en justice contre la manufacture. La raison ? Ce produit en poudre serait une source de maladie cancéreuse notamment chez la gent féminine.
Accusé par des milliers de poursuites en justice
A cause de ces différentes accusations à son encontre, la marque Johnson & Johnson a arrêté de vendre ses produits. Effectivement, la compagnie devait faire face à plus de 19 000 plaintes d’acheteurs et des personnes rescapées qui pourvoient que son talc, notamment celui composé de silicate de magnésie filamenteux, aurait causé leur cancer. Deux ans de cela, la société avait été réprimandée pour payer une somme de 4,7 milliards de dollars, soit 42 686 810 000 euros, après avoir fait l’objet de plaintes de 22 victimes d’un cancer ovarien. À partir de ce tumulte, une autre variante du talc avec de fécule de maïs été dispensée sur le trafic commercial.
Une élancée de l’affrontement
Les avocats qui défendent les martyres du talc Johnson & Johnson complimentent cette initiative. Cela ne prouve néanmoins pas que la bataille en justice prenne fin. Ces personnels au côté des plaideurs désirent que la compagnie « prenne des mesures pour indemniser les milliers de femmes qui ont souffert après avoir utilisé cette poudre ». Pourtant, la compagnie n’a pas indiqué si le fait d’avoir arrêté la vente serait suffisant pour stopper les mésententes. Et pour cause, malgré le fait elle a remporté quelques-uns des affaires devant la justice, la marque nécessite de s’acquitter des préjudices à ses consommateurs. D‘ailleurs, Johnson & Johnson est aussi à l’origine d’une action dans le but de réviser sa notoriété dans les médias par le biais d’un site [ndlr : factsaboutalc.com] sur laquelle elle informe des avis sur la sécurité de ces articles de vente. Le but est bien évidemment de prouver son identité pour être recommandable en parallèle avec les rafales.
Une répercussion sur l’ensemble des produits de cette marque
Ce qui est une bonne nouvelle pour la marque Johnson & Johnson, la poudre pour peau de bébé influe seulement une part du chiffre d’affaire. Autrement dit, uniquement 0,5% des ventes est consacré à ce produit phare de la manufacture, qui se comptabilise à 1,5 milliards de dollars, soit 1 362 345 000 euros). Mais, si ce produit condamné n’est pas une perte considérable pour la société, ces poursuites engendrent un danger imminent pour la notoriété de la marque américaine. A terme, la répercussion est susceptible de frôler les autres produits de la marque Johnson & Johnson.
Johnson & Johnson confiante
« Nous restons fermement confiants dans la sécurité de notre produit » Ce sont les propos de la compagnie écrits dans le communiqué à destination du public. Dans le document, Johnson & Johnson cite des décennies d’études scientifiques menées par des experts médicaux du monde entier qui soutiennent la sécurité du talc. Pendant la vague de contaminations au Covid-19, l’entreprise avait cessé d’exporter le talc pour prioriser la vente de produits en forte demande.
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