À partir du début de l’expansion du coronavirus à l’échelle mondiale, les scientifiques concourent à une panoplie d’études, dans le but de trouver le vaccin ou de remède qui éradique le germe. Malgré la focalisation sur les fonctionnements du virus qui ont mené à des appréhensions fructifiant, le virus recèle des mystères jusqu’à l’heure. De plus, certains pays sont allégés des lourds bilans qui ravagent des vies. Une problématique qui titille l’esprit de tous est de vouloir comprendre si la température chaude serait utile pour tuer la Covid-19. Les experts répondent à cette question lors d’une interview avec l’équipe de : Le Monde.
La première apparition du virus a eu lieu dans la ville chinoise de Wuhan. Le nouveau coronavirus se propage à une vitesse effrénée dans tous les pays du monde. Raison de mobilisations des scientifiques qui se focalisent sur la découverte d’immunisation contre le virus. Les agents de santé ont tous déployé la manière dont se transmet le virus ainsi que sa durée de vie, des notions connues par tous.
En outre, le confinement décidé par les gouvernements de nombreux pays a permis d’entraver l’expansion du virus, tout en allégeant les répercussions de la pandémie sur leur territoire. Cependant, certains remettent en question si les températures chaudes influent sur la Covid-19. Selon une recherche expliquée par le gouvernement des Etats-Unis, la chaleur et l’humidité peuvent jouer un rôle considérable au niveau sanitaire d’un territoire.
La période de l’été et son influence sur la propagation du virus
Sur le contenu d’un post diffusé par Donald Trump en mois de février, le président avait présenté que la chaleur serait à même de venir à bout à la Covid-19. Lors d’une discussion au sujet de cette possibilité en compagnie du chef De l’Etat chinois Xi Jinping, le président américain a déployé que « le temps se réchauffe, ce qui pourrait affaiblir puis faire disparaître le virus ». En se basant sur les conclusions d’une recherche exposée à Washington en date du jeudi 23 avril, les températures détiennent un rôle important sur la transmission du virus. Comme le déclare, Bill Bryan, haut responsable du département de la sécurité intérieure, « Notre observation la plus frappante à ce jour est l’effet puissant que semble avoir la lumière du soleil pour tuer le virus, aussi bien sur des surfaces que dans l’air »
Evidemment, l’expert a tenu à transmettre des détails sur les « maillons faibles » en ce qui concerne la transmission du virus. Ainsi, il évoque, « Nous avons découvert que la chaleur et l’humidité étaient des éléments faibles de cette chaîne. Nous avons découvert que la lumière du soleil, les rayons UV étaient une faiblesse dans cette chaîne ». D’après cette présente recherche, une demi-vie du virus, qui indique la durée nécessaire de 18 heures, pour limiter sa vigueur de moitié, à une température entre 21 et 24°C et 20% d’humidité sur une surface dépourvus d’ouvertures. Cependant quand le taux d’humidité touche les 80%, cette demi-vie est restreinte et baisse jusqu’à six heures de temps.
Au cas où l’on majore la lumière du soleil à ce climat, la demi-vie du virus est minimisée à jusqu’à deux minutes. D’ailleurs, à l’air libre, la demi-vie de la Covid-19 est d’une heure lorsque la température est comprise entre 21 et 24 °C avec 20% d’humidité. Lorsqu’on additionne à la même corrélation la lumière du soleil, dans ce cas, la demi-vie du virus se limite à une minute et demie.
Ces données porteuses d’espoir sont palpables mais cela ne sous-entend pas céder aux gestes barrières à prendre en considération. Il est tout de même essentiel de na pas lâcher le respect des mesures sanitaires, y compris la distanciation sociale mais encore le port du masque de protection.
La chaleur influe sur le coronavirus par l’Académie de médecine en France
D’après l’équipe de l’Académie nationale de médecine prend comme référence, une recherche effectuée par des scientifiques de Chine, l’accroissement des températures limite la brutalité du Sars-CoV-2 quant à sa propagation. Un avis rendu public de l’Académie atteste avec des preuves et met en exergue l’index de propagation du virus, connu également sous le nom de RO qui réagit en fonction du climat d’une région. Par le biais d’une approche de la condition de l’épidémie dans les territoires intertropicales et celle dans les territoires de l’Europe, l’Académie déclare que « l’indice de diffusion, de 2,67 en Europe pour une moyenne de 11,2 degrés Celsius, s’abaisse à 0,03 en Afrique subsaharienne où la température moyenne s’élève à 34,8 degrés Celsius ».
Par conséquent, similaire à de nombreux virus qui s’attaque à la respiration, le Sars-CoV-2 peut vivre à une durée longue sur des surfaces distinctes à une température froide. Néanmoins, Gérald Kierzek, médecin urgentiste implore de ne pas jouir de cette information récente dans le sens de céder aux préventions préétablies. « Si nous relâchons nos efforts seulement parce qu’il fait beau, l’épidémie pourrait repartir de plus belle dès que les températures diminueront ». Raison pour laquelle l’Académie préconise de ne pas « négliger le risque de résurgence épidémique de Covid-19, notamment en France métropolitaine, surtout si la circulation du Sars-CoV-2 persiste dans l’hémisphère Sud pendant l’été ». Dès le mois de septembre, il est primordial de ne pas baisser la garde ainsi que de rester vigilent afin de ne pas succomber alors que le virus est toujours présent.
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