Parmi les pays dans le monde, aucun d’entre eux ne sort intact à cause du virus mortel qui a débarqué de la Chine. Ces derniers temps, chaque pays affronte l’épidémie sous diverses modalités puisque certains ont pu avoir le souffle suite à de grande bataille contre l’ennemie invisible, comme l’Europe si d’autres sont encore en pleine lutte. L’Amérique Latine, l’Afrique et l’Asie du Sud sont encore, pour l’heure, en affront contre le coronavirus, plus exactement les pays pauvres dans ce territoire. Malheureusement, ces derniers ne possèdent pas de centre médical équipé sui pourra assister à combattre la maladie dont l’oxygène qui est un élément vital face à l’épidémie. Une nouvelle relayée par New York Times.
Les pays les plus pauvres sur la planète commencent à pâtir du coronavirus alors que les équipements les plus essentiels ne sont pas installés dans leurs centres médicaux et hôpitaux.
A cet effet, l’Organisation Mondiale de la Santé et l’UNICEF se réuniront pour dédier des fonds qui épargneront la vie de ces pays du danger de la maladie tant redoutée par tous. Le support consistera donc à ce que les pays victimes puissent bénéficier des armes nécessaires pour lutter contre le coronavirus.
L’oxygène, un élément essentiel en carence
Le virus mortel a ravagé autant de régions partout dans le monde. Le long de la bataille, le territoire français a fait face à une insuffisance de lit d’hôpital ainsi que de respirateur pour installer les patients de coronavirus nouvellement recensés. Quant aux pays les plus démunis, c’est vraiment l’élément vital qui est insuffisant, donc l’oxygène hospitalier pour sauver des vies.
En cas de symptômes aggravés de Covid-19, le patient endure une respiration excessivement aiguë. La solution ? C’est de l’oxygène pour que la chance de survie atteigne le maximum. Vu la catastrophe que risques ces pays vulnérables, l’OMS envisage de dédier un fonds d’environ 250 millions de dollars, une somme équivalente à près de 222 millions d’euros dans le but de venir en aide à ces régions en besoin.
Des complications subsistent
L’engin technologique qui contribue à produire de l’oxygène est assez simple mais le souci est qu’il doit être équipé d’élément solide afin de supporter certaines conditions dans les établissements sanitaires.
Le média New York Times invoque effectivement que la majorité fait face à l’humidité ainsi que des poussières et en général à un climat et condition qui est variable dans les zones encore plus rustiques.
Rappelons qu’il existe deux techniques de produire de l’oxygène au profit d’un patient. La première solution, c’est juste par le biais d’une fiole rempli de l’oxygène à haute pression qui peut être par la suite administré à l’aide d’un masque. Cependant, ces fioles pèsent des kilos et doivent être chargés dans des centrales dédiées à cet effet avant d’être livrés par des camions, avec des éventuels risques de transport.
La majorité de ces régions disposent d’ailleurs d’oxygène industriel pour les travaux du bâtiment, cependant les bonbonnes qui en contiennent ne sont pas adéquates à des patients puisqu’elles sont en général rouillées ou replies d’eau huileuse qui est un danger pour les poumons. Cette affirmation est déclarée par Paul Molinaro, chef de soutien aux opérations et de la logistique à l’Organisation Mondiale de la Santé.
Et la seconde solution est d’avoir recours aux concentrateurs d’oxygène, qui sont dans la majorité des cas en petites tailles. Ces machines filtrent l’air ambiant via une technique sous pression en utilisant une passoire. D’ailleurs, une organisation médicale humanitaire baptisée Alima a déclenché une campagne qui consiste à faire appel aux donateurs et intitulée « Oxygen for Africa », qui signifie en français : de l’oxygène pour l’Afrique. Le but est en effet d’assembler assez de fonds et d’expédier 500 concentrateurs d’oxygène vers six pays les plus démunis.
L’infrastructure est prête mais ne couvre pas le besoin de ces pays
En 2017, l’OMS en concours avec l’UNICEF et la fondation Bill & Melinda Gates ont envisagé de repérer des solutions qui parviennent à augmenter la dotation d’oxygène aux pays pauvres. En ce moment, ce n’était pas dans un but de s’apprêter à une pandémie si ces entités se sont mobilisées mais dans le but de tenter de devancer aux décès infantiles à cause des symptômes de pneumonie. C’est la raison pour laquelle ces pays ont pu servir des infrastructures déjà en place pour combattre le virus mortel.
En ce moment, l’OMS s’est procurée d’environ 14 000 concentrateurs d’oxygène. Toutefois, l’association envisage d’intensifier sa mobilisation pour en acheter 170 000 de plus dans les six mois à venir. Du côté de l’UNICEF, l’organisation a commandé environ 16 000 de ces aspirateurs pour être expédiés à 90 pays le plus défavorisés.
Selon Jonathan Howard-Brand, spécialiste en innovation, aussi membre de me même organisation, uniquement 700 appareils ont pu être déposés pour le moment. L’UNICEF et l’OMS sont confrontés à un problème de livraison à cause de la crise sanitaire qui est à l’origine de 5 semaines même de latences. Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus met en garde contre une demande déjà excessive face à l’offre en vigueur. Le directeur de l’OMS déclare ainsi que 80% de la transaction est entre les mains de quelques industries.
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