La soupe de chauve-souris, un facteur crédible du coronavirus en Chine - Recettes en Famille

La soupe de chauve-souris, un facteur crédible du coronavirus en Chine

by Emma

Le bilan exécuté sur ses victimes prolifère de plus en plus mais demeure encore inexplicable. La revue Le Monde a publié que 2700 habitants sont infectés par le virus provenant de la Chine, en dehors des 80 personnes qui ont péri. 3 personnes sont également contaminées dans l’Hexagone d’après le ministère de la santé. Des spécialistes ont découvert que les chauves-souris peuvent être à l’origine de ce virus en propagation et cette donnée a été reprise par Sud Info, LCI ainsi que le média britannique The Sun.

Originaire de la ville de Wuhan située en Chine, le coronavirus a débarqué le mois de décembre. Ainsi, l’administration chinoise a décidé de sceller la zone et la population est mise en quarantaine dans le but de devancer à l’éparpillement de la contagion. Cependant, on a quand même constaté un débordement vers d’autres territoires asiatiques, américains et français. Les spécialistes essayent d’aborder la découverte de sa provenance et en parallèle l’angoisse règne.

Un des facteurs suspects est la soupe aux chauves-souris

Lors de l’analyse des origines probables, des illustrations des personnes consommant la soupe aux chauves-souris ont déclenché un soupçon potentiel. Ce dernier provient des chercheurs de la Chinese Academy of Sciences auquel il se peut que ses animaux sont relatifs à l’épidémie. Cette information a été reprise par le Daily Star, le Mirror et le China Daily. Ces trois revues partagent la même idée, quant au Journal Parisien, il incite d’être vigilent sous prétexte que ces données seraient non vérifiées.

D’après le South China Morning Post, “l’hôte naturel du coronavirus de Wuhan pourrait être les chauves-souris… mais entre les chauves-souris et les humains, il peut y avoir un intermédiaire inconnu”. Cette idée a été relayée par Sud Info. Ainsi, on ne pourra dire pour le moment que la soupe est vraiment la cause de l’épidémie.

Des animaux douteux

D’après Jean-Claude Manuguerra, responsable de la cellule d’intervention biologique d’urgence à l’Institut Pasteur sur LCI « Pour le moment, ce que nous savons, c’est qu’il est pratiquement évident que le virus vient d’une source animale ». Grand nombre de chercheurs ont entamé une analyse de ce qui pourrait transmettre le virus à l’humanité. En conséquence, le soupçon sur les chauves-souris est grandiose. Christophe Batejat, expert affilié à l’Institut Pasteur a déployé « On en trouve beaucoup sur les marchés chinois ». A titre de rappel, le Sras et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient ont été déclenchés par ce mammifère selon Le Parisien. Toutefois, des chercheurs de l’Institut Pasteur de Shanghai ont expliqué « ces infections ont été transmises aux humains par les civettes et les dromadaires ». Par ailleurs, le serpent est condamné par certains des chercheurs chinois pour être à l’origine du coronavirus. Ils ont déployé qu’il y avait eu un changement de l’ADN du serpent pour le contaminer. Par contre, selon Sandrine Belouzard, une experte au Centre d’infection et d’immunité de Lille « on ne connaît aucun coronavirus chez les serpents, qui sont des créatures à sang froid ».

Apparemment, aucun résultat n’a été établi suite aux tentatives de recherches, ainsi les recherches ne s’arrêteront pas là. Deux chercheurs scientifiques des Etats-Unis ont expliqué «La confirmation de la présence d’un réservoir animal est essentielle pour l’intervention et la prévention de l’épidémie ».

Les symptômes du coronavirus

Baptisé 2019-nCov, le coronavirus condamne les appareils respiratoires et les patients affectés ont la grippe en même temps. Yazdan Yazdanpanah, directeur de l’Institut immunologie, inflammation et infectiologie et microbiologie à l’Inserm a expliqué qu’au stage bénin de l’épidémie, on remarque que le patient a un syndrome pseudogrippal, dont la fièvre, la migraine et des maux des articulations. Des toux, des crachements, une asphyxie ou même une pneumonie peuvent en suivre.

Dès que ces signes symptomatiques s’extériorisent, le Ministère de la santé préconise de contacter tout de suite le 15 et surtout d’éviter de joindre un dispensaire pour sceller la propagation.

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