La Chine commercialiserait des organes de prisonniers à destination des riches ! - Recettes en Famille

La Chine commercialiserait des organes de prisonniers à destination des riches !

by Emma

Dans la région chinoise de Xinjiang, les Ouïghours désignent une tribu minoritaire musulmane qui résident en Chine. Depuis plusieurs années, ils sont emprisonnés dans des camps d’incarcération qui se situent au nord-ouest du territoire. De nombreuses ONG ont essayé de rendre public ce sort cruel infligé par l’Etat à ces ethnies minoritaires. Relayé par le magazine Vice, l’Etat chinois vendrait les organes de ses détenus Ouïghours et de très riches personnes l’achètent. 

La minorité ethnique et religieuse est encore soumis à des sorts pénibles, en Chine, notamment les Ouïghours. Ces derniers sont enfermés dans des camps spécifiques où ils exécutent des travails laborieux pour des marques occidentales, puis de disparaitre à tout jamais.

La pratique suscite la curiosité des gens

Amnesty International a décelé les pratiques d’incarcération initié par la Chine, en 2018. D’après l’ONG, près d’un million d’Ouïghours seraient sujets à ce sort pitoyable puisqu’ils sont installés dans des campements pour s’acquitter de travails déplorables. Des hommes comme des femmes mais également des enfants sont concernés par cette fatalité et contraints à exécuter l’ordre du gouvernement de la Chine. Rappelons qu’en 2019, la Chine a pointé du doigt pour avoir enlevé des organes de ce groupe d’ethnie, selon Business Insider. Lors d’un approfondissement sur ce scandale, le tribunal chinois, un tribunal indépendant, a levé la voile du fait que le gouvernement prélevait des organes comme des reins, des cœurs, des poumons et de la peau, à ses personnes internés.

Hamid Sabi, un avocat du tribunal, a inculpé cet acte comme étant des « crimes contre l’humanité ». Son accusation est appuyée par des preuves irréfragables dans le sens d’attaquer le gouvernement chinois. « Les prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers d’opinion, y compris les minorités religieuses du Falun Gong et des Ouïghours, ont été commis pendant des années dans toute la Chine à une échelle significative », a reproché cet avocat. A son égard, il est question d’une « des pires atrocités de masse de ce siècle » et auxquels « des centaines de milliers de victimes » sont concernés.

Appât pour prélever des organes

Depuis de longues années, la Chine a récusé l’existence de ces campements pour détenus. Après une panoplie de recherches inlassables par la communauté internationale, le pays a été contraint d’accepter manifestement qu’il existe bien des lieux d’incarcération sous prétextes d’éduquer les détenus. Cependant, il paraît que d’innombrables individus présumés disciples dans ces campements disparaissent sans raison fondée. L’année 2016, la Chine œuvré pour une vaste campagne qui obligeait les ethnies Ouïghours à passer des tests médicaux. De ce fait, des prises de sang et des échographies ont été effectués pour observer toutes les caractéristiques d’un organe.

Quant à Ethan Gutmann, journaliste d’investigation américain, le gouvernement de la Chine ont établi ses séries de tests dans le but d’édifier une base de données qui collectionne le groupe sanguin de chaque détenu ainsi que la santé de ses organes. En outre, il paraît que dans le territoire chinois, l’expectative pour une greffe d’organe est d’une durée plus court comparée à celle des autres pays occidentaux. En l’occurrence, la culture chinoise détermine qu’il serait meilleur de préserver le corps d’un décédé sans y toucher ni de prélever aucun de ses organes. De là se pose l’incertitude des gens sur le fait qu’à seulement un intervalle de douzaine de jours, une transplantation est réalisable et est proposée aux personnes en attente d’organes.

Croissance du marché d’organe « halal »

Selon Erkin Sidick, un conseiller du World Uyghur Congress, « le Parti communiste chinois a récemment commencé à transporter une grande quantité d’organes Ouïghours entre Shanghai et l’Arabie saoudite ». Si les organes des musulmans attisent particulièrement les riches, c’est du fait puisque les sujets sont pourvus d’organes « halal » qui n’ont jamais été frôlés à l’alcool et au porc. Raison pour laquelle la transaction prend comme cible principal les pays du Golfe.

Ethan Gutmann, résidant américain, dévoile au grand public que le coût d’un organe « halal » serait trois fois plus onéreux qu’un organe d’une personne « normale ». Ce journaliste déploie qu’un des hôpitaux de la ville était éventuellement partisan du trafic d’organes. Ainsi, il certifie que « Cet hôpital propose environ 5000 transplantations par an. J’ai recueilli de nombreux témoignages et preuves sur le nombre croissant de patients venants des pays du golfe ». Malgré cela, à cause de l’abondance des investigations qui s’exécutent à l’échelle mondiale pour exposer ce marché d’organe, la Chine reste vigilent. Tout en sachant que tous les ans, environ 25 000 Ouïghours entre 25 à 35 ans sont anéantis et les cadavres des martyres sont brûlés sans que leurs auteurs ne soient punis par la loi.

D’ailleurs, des crématoriums ont été établis dans le territoire où s’installent les Ouïghours. Une région qui est sous la surveillance des gardes matin, midi, soir. Ce lieux de crémation de défunts sont pratiquement difficile d’accès pour ne pas que les autres décèlent de la véracité de leur crime. Durant des mois de recherches, le député européen Raphaël Glucksmann tente de découvrir des détails et des preuves sur ce désastre. Il le classifie d’actes affreux exécutés par le gouvernement de la Chine mais n’est pas loin d’être révélé au grand jour pour infliger des châtiments.

« Nous sommes face à un État qui a érigé le mensonge en norme. Un État qui a nié l’existence de camps de Ouïghours jusqu’à l’année dernière. Un État qui a caché aux yeux du monde entier la naissance du Covid-19, avant de trafiquer tous ses chiffres sur l’épidémie. Un état qui, depuis sa création, a étouffé et massacré toutes ses minorités ». Tels sont les propos du député européen qui fait appel aux Nations Unies pour établir des recherches rigoureuses à ce fléau intolérable.

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