Imaginez : vous croisez un chien traîné en laisse par la portière d’une voiture à plus de 80 km/h. Horrifiant ? Oui. Cette scène terrible s’est déroulée en Belgique et l’indignation qu’elle a provoquée est mondiale – plongeant tout le monde dans une colère noire.
Un acte de cruauté sans nom
Vendredi 4 juillet, à Dalhem (province de Liège), un automobiliste est filmé traînant son chien – un berger allemand – derrière sa voiture. Le cadrage glaçant de la vidéo montre la laisse coincée entre les portières, l’animal vacillant à chaque accélération. Victoria, témoin, a klaxonné, alertant le conducteur. Sa réponse ? « Je fais ce que je veux, c’est mon chien ». Quelques instants plus tard, il détache l’animal, déjà mort, et le jette dans le coffre comme un simple objet.
L’indignation est à son comble : maltraitance animale, indifférence cruelle, et ce geste inacceptable que l’on ne peut tolérer.
Réaction viscérale sur les réseaux
Dès la publication de la vidéo, la foule s’est levée. Sur Facebook, Twitter, Instagram, des milliers de personnes ont partagé le post, criant vengeance : pétitions pour justice, menaces de mort, appels à lynchage moral. Cet outrage a franchi un cap : certains ont identifié le propriétaire du chien et incendié sa maison.

Lundi matin, les flammes ont ravagé son domicile. Le maire d’Oupeye dénonce un passage dangereux : “c’est devenu une chasse à l’homme”. Une intervention policière s’impose pour assurer la sécurité de l’individu, pour le protéger… tout en rappelant que personne n’est au-dessus de la justice, même dans les émotions fortes.
Justice, mais fraternité
Alors que la famille du berger est en deuil et que les amoureux des animaux cherchent à comprendre comment une telle violence a pu avoir lieu, la justice se met en branle. Le propriétaire encourt une lourde peine : amende de 100 € à 1 million €, prison de 8 jours à 3 ans, et interdiction définitive de détenir un animal.
Ce qui est sûr : la société ne laissera pas passer un tel acte. Des enquêtes approfondies sont en cours pour déterminer s’il s’agit de maltraitance volontaire, d’un accident, ou d’un comportement totalement assumé.
Réflexion nécessaire
Cette affaire soulève plusieurs questions :
- Où commence la frontière entre un simple accident et la cruauté ? Le propriétaire prétend que le chien a sauté. Vraiment ?
- Jusqu’où l’indignation peut-elle aller ? Brûler un domicile en représailles, est-ce moralement justifiable ?
- Quelles protections pour les animaux ? Ils méritent justice, mais pas une spirale de violence.

À méditer… et à partager
Cette histoire tragique touche nos cœurs et nos valeurs. Elle nous rappelle qu’un animal est un être sensible, pas un objet. Et que l’indignation ne doit jamais conduire à une justice extrajudiciaire.
👉 Dites-nous en commentaire : Qu’auriez-vous fait à la place de Victoria ? Comment limiter ces débordements ? Comment protéger nos amis à quatre pattes ?
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