Selon Olivia Benhamou dans son livre baptisé : Le Livre de la tranquillité, « Être en bonne santé, c’est la condition élémentaire de la tranquillité ». La dynamique du monde contemporain se focalise constamment sur la réussite. De ce fait, la santé peut pâtir des objectifs à atteindre alors que c’est un élément crucial dans la vie de tout un chacun. La véritable richesse est incontestablement, la faculté d’utiliser son corps de manière flegmatique. Malheureusement, des conditions ou maladies ne permettent pas à certains d’en bénéficier. Le piriforme est un syndrome qui s’attaque au nerf sciatique et se traduit par une contraction de celui-ci. Le sujet qui en souffre peut endurer des douleurs extrêmes en raison de la contraction. Les facteurs de cette maladie qui frappe de plus en plus de femmes sont nombreux. Le syndrome diffère de la douleur sciatique mais il existe des remèdes adaptés dans cet écrit.
Le nombre de personnes recensées qui endurent des douleurs au bas du dos de cesse d’amplifier et ses effets peuvent rendre handicapant. Connu sous le nom de lombalgie, ces maux ont des facteurs divers et les localisations de la douleur varient. Une grande majorité des Français qui consultent un médecin généraliste ont pour objet de la visite médicale, une lombalgie. Sachez que cette douleur lombaire diffère complètement de la douleur sciatique. Continuez de lire pour savoir ce qui les particularise.
Le syndrome du piriforme, c’est quoi ?
Se traduisant par une pression du nerf sciatique par le muscle du piriforme, la douleur va d’un stade bénin à un mal extrême. D’après les informations dans le Manuel MSD, il s’agit d’un muscle qui part de la face pelvienne du sacrum vers le sommet de l’os relatif au fémur. Lorsqu’un patient est atteint du syndrome de piriforme, il peut sentir des maux continuels et irritants qui finissent par pétrifier son quotidien. En position assise ou en courant, le muscle du piriforme est susceptible de compacter le nerf sciatique sur son extrémité inférieure et passe par les muscles rotateurs au niveau de la hanche.
Si le syndrome du piriforme davantage aux femmes que les hommes, c’est parce que la gent féminine est dotée d’une souplesse des ligaments au bassin. Selon un article sur osteo-solution, cette nature requiert davantage la musculature, notamment le muscle du piriforme, aux fions d’affermir ces ligaments lors d’un exercice physique.
Des signes symptomatiques singuliers
Comme inscrit dans le Manuel MSD, le patient qui endure le syndrome du piriforme peut pâtir de douleur chronique et irritante et pas seulement. Cette condition est susceptible d’occasionner des engourdissements ou des fourmillements qui commence depuis la fesse et part vers le long du nerf sciatique. Il arrive que l’arrière des cuisses, le mollet ou encore le pied, endurent des afflictions lassantes relatives à ce syndrome. De manière générale, la gravité des maux dépendent de la manière dont le nerf sciatique se resserre. De ce fait, le degré de la douleur en posture assise n’est pas semblable à celui en courant.
Les facteurs qui l’occasionnent
Plusieurs causes sont à l’origine du syndrome du piriforme leur point commun est que la partie lésée n’est que celle relative à la hanche ou des fessiers.
- Une lésion au niveau des muscles fessiers découlant d’une chute
- Un accident de voiture qui se répercute sur les ligaments des articulations sacro-iliaques
- Un déficit lors de la formation fœtale et qui a causé une différence de longueur des jambes
- Lorsque les muscles des hanches sont vulnérables.
Les éléments qui diffèrent le syndrome du piriforme de la douleur sciatique
Une grande majorité de personnes ne parviennent pas à faire la différence entre le nerf sciatique et le muscle du piriforme. Raison pour laquelle la douleur qui s’attaque au nerf sciatique est souvent confondue au syndrome du piriforme. Selon un rapport du Manuel MSD, la coercition ressentie au niveau du disque lombaire du nerf sciatique part de la fesse vers le genou et occasionnent dans la majorité des cas, des afflictions au niveau du bas du dos. D’ailleurs, le syndrome du piriforme n’engendre en aucun cas des douleurs dorsales. La raison ? Les afflictions qui en découlent touchent uniquement la partie inférieure, notamment depuis la fesse vers le mollet.
Quel traitement pour le syndrome du piriforme ?
Les personnes atteintes de douleur sciatique exercent des mouvements adéquats afin de limiter au maximum les maux ressentis. En effet, les exercices d’étirements permettent également d’atténuer les maux engendrés par le syndrome du piriforme.
Exercice 1
- Commencez par adopter une posture assise, mettez votre jambe sur l’autre jambe pour réaliser la position du tailleur ;
- Veillez à ce que le dos soit gardé bien droit ;
- Maintenez cette position durant 30 secondes sans relâche ;
- Cet exercice est à réitérer à raison de 3 fois. Au moment de cet étirement, vous devrez ressentir une pression au niveau du muscle du fessier.
Exercice 2
- Pour réaliser ce second traitement, commencez par vous allonger sur le dos à l’aide d’un tapis de yoga ou sur votre lit ;
- Pliez la jambe qui n’a pas besoin d’être étiré et tenez-la avec votre main ;
- Par la suite, mettez la jambe avec laquelle vous réaliserez l’étirement sur l’autre ;
- Gardez la même posture durant 30 secondes afin de ressentir la tension. Ce mouvement est à répéter 3 fois.