Une jeune femme de 24 ans retourne vivre chez ses parents après avoir vécu dans un domicile près de son université. Mais, elle occupe indépendamment, une espace précise de la propriété parentale.

En mars 2022, Veerle Veldhuis a quitté l’appartement qu’elle occupait à l’époque et a décidé de retourner vivre avec ses parents. En réalité, la jeune Néerlandaise déclare qu’elle a voulu prendre soin de sa santé mentale car elle avait la sensation d’atteindre ses limites.

Son idée ? Installer une tiny house pour une bouchée de pain, sachant les prix élevés des maisons, qu’elles soient louées ou achetées. Après s’être concertée avec ses parents, la Néerlandaise est persuadée de s’installer dans le jardin selon la loi en vigueur dans son pays.

Huit mois plus tard, Veerle Veldhuis s’est procurée d’une tiny house à 1800 euros. Elle doit encore rénover la cabane encore en meuvais état lors de l’achat.

Une vie indépendante

Avec l’aide de ses parents et de ses amis, Veerle Veldhuis a rénové la maisonnette. Ils ont utilisé des produits de seconde main et des matériaux de récupération dans les décharges. Son budget était limité à 1000 euros, mais la somme a finalement doublé au fur et à mesure des travaux de rénovation.

Après deux mois de travail acharné, Veerle Veldhuis a emménagé dans sa tiny house. Depuis janvier 2023, la jeune femme prend plaisir à vivre dans son chez soi malgré quelques inconvénients repérés. Sa petite maison manque d’isolation, mais en plus cela, elle doit emprunter les sanitaires et la douche de ses parents.

La tiny house de Veerle Veldhuis est équipée d’une petite cuisine, d’un coin salon et d’un lit. Elle voit ce mode de vie comme un soulagement puisqu’elle peut se recentrer. D’ailleurs, elle est déchargée du poids des loyers mensuels. Lors de son témoignage, la Néerlandaise a précisé qu’elle apprécie sa vie indépendante en restant proche de son père et mère.

La jeune femme s’engage à payer 60 euros par mois pour couvrir les dépenses énergétiques, notamment l’électricité et l’eau.

Pour l’heure, Veerle Veldhuis travaille dans une ferme de soins qui se charge d’accueillir des personnes en situation de handicap. La jeune femme prévoit de terminer ses études d’ici 2024. En même temps, elle prévoit d’emménager près de l’université, dans sa petite maison, si sa demande sera accordée.