Elle a épousé son mari uniquement pour son argent - Recettes en Famille

Elle a épousé son mari uniquement pour son argent

by Emma

Deux personnes unies par le lien du mariage s’engagent dans un lien sacré. L’amour nécessite une base solide, notamment l’amour, la confiance, le respect et le partage pour durer. Mais, certaines personnes voient le mariage comme un moyen qui leur permet de parvenir « légalement » à des fins pas très honorables. C’est le cas des personnes qui veulent s’approprier d’un héritage suivant le décès du partenaire riche. Espérant recevoir sa part, cette femme en a fait de même et a épousé un homme pour son argent. Sauf qu’elle l’a fait sans se soucier de l’intelligence de l’homme. Découvrez alors le déroulé de l’histoire.

Un amour par intérêt

Visiblement, Marcel Amphoux un homme âgé, vit dans une situation financière précaire. Il sort avec une tenue vestimentaire détraquée en plus de son style de vie primaire, et donc sans électricité ni d’eau courante. En fait, l’homme donne juste l’impression de vivre dans le besoin. Toutefois, cette apparence est trompeuse puisque c’est loin d’être le cas.

Cet homme de 68 ans est propriétaire d’un actif bien prospère. Dans son compte bancaire, il a toute une fortune en plus d’un grand terrain issu de l’héritage de ses parents aussi estimé à plusieurs millions d’euros. L’homme détient une station de sport d’hiver et une zone villa luxueuse qui ne cesse d’augmenter sa valeur chaque année.

Marcel était aussi riche que Crésus, mais l’homme avait choisi de rester à son mode de vie habituel. Son objectif est de faire profiter sa famille et ses amis de sa fortune. Ainsi, il a construit une maison pour loger des amis et des membres de sa famille gratuitement.

Marcel n’avait une épouse ni d’enfant. C’est parce que les femmes n’étaient pas dans sa liste de priorité, mais en 2010, il décidé autrement. C’est à partir du moment où il a rencontré Sandrine Devillard.

Cette femme a pris contact avec Marcel dans le but de lui proposer de lui vendre une partie de ses terres. Après que celui-ci ait refusé, elle l’a invité à dîner chez elle. Remarquant les comportements étranges de cette jeune femme, les amis et la famille de Marcel l’ont tout de suite mis en garde au vu des intentions suspectes de celle-ci.

Mais, Marcel semble tomber sous le charme de cette femme âgée de 21 ans sa cadette. Ainsi, il restait de marbre malgré les conseils et les mises en garde de ses proches.

Un an après le rencontre de Marcel et Sandrine, et contre toute attente de leurs proches, les deux décidaient de s’unir par le lien du mariage.

Si une jeune femme jolie et bien habillée accepte de se marier avec un homme de plusieurs années son ainé et mal vêtu, c’est clair que c’est pour son argent.

Même si les deux se sont unis devant l’autel et qu’ils se rencontrent régulièrement, en sachant que Marcel vivait dans les Alpes et Sandrine à Paris, la bonne foi de cette dernière  reste soupçonneuse.

En outre, il n’a fallu que quelques mois pour dévoiler toute la vérité sur elle. Marcel était mort d’un accident de la route en compagnie de deux amis de Sandrine, qui s’en ont tirés sans souci. Son épouse affichait des pleurs et une tristesse profonde aux funérailles du défunt, mais tout le monde pensait secrètement qu’elle pouvait être impliquée dans ce décès.

On n’a pas attendu longtemps pour découvrir le vrai visage de Sandrine. En effet, elle a jeté les amis et famille du défunt hors de la maison qui lui revenait désormais. Sauf que son chéri lui a réservé une grosse surprise.

A son vivant, Marcel avait tout bonnement rédigé un testament où il transmettait ses biens entre ses amis et sa famille, laissant son épouse maline sans un centime. Marcel ne s’est pas laissé berner par les manigances des autres malgré son âge avancé ; et il n’a pas non plus perdu une once de sa capacité de discernement et de son intelligence.

Ne voulant toujours pas abandonner, Sandrine intente un procès en justice où elle annonce que la signature du testament était de la fausse. Mais 4 ans plus tard, le verdict lui tombe en pleine fasse : le testament était bel et bien authentique. Selon le fameux dicton : « Rira bien qui rira le dernier » !

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