Chacun a sa morphologie et ses traits caractéristiques. Mais Mallorie Dunn, fondatrice de la marque de vêtements Smart Glamour, est persuadée que chaque corps a sa beauté. Récemment, elle a lancé un projet photo pour le prouver au monde entier. Plein feu.
Les “on dit” sur la morphologie diminue parfois la confiance en soi. Dans ce sens, les stéréotypes autour du corps féminin sont toujours bien ancrés… Mais à l’heure actuelle, les diktats de la mode commencent à s’écrouler. Mallorie Dunn, fondatrice de la marque de vêtements Smart Glamour, fait partie de celles qui libèrent la parole pour changer ce principe démodé. La fondatrice a lancé un projet fou : photographier le corps de 60 femmes, de 12 tailles différentes. L’objectif de fe projet photo est de documenter le corps des femmes selon leurs tailles. C’est également pour démontrer que chaque femme est belle et unique dans son physique.
Un défi pour briser les stéréotypes sur la morphologie
Dans le cadre de ce défi inédit, Mallorie Dunn a photographié 60 femmes, de 12 tailles différentes et vêtues des vêtements de sa marque. Par la suite, elle a classé ces mannequins en groupe de 5 femmes aux corps différents. Chacune des femmes dans un groupe portait la même tenue, sachant qu’elles ont une tenue différente pour chaque groupe. Encore une fois, l’objectif est de montrer qu’en mettant la même tenue, mais dans une morphologie différente, chaque femme est belle. Comme l’a déclaré Mallorie Dunn :
“Peu importe votre taille, ce n’est pas ce qui dicte votre valeur ou votre beauté”
Pour elle, mettre un XL ne veut pas dire que c’est la fin du monde.
“ça ne veut vraiment rien dire, ça veut seulement dire qu’il y a un peu de tissu supplémentaire.” a-t-elle martelé.
Toujours selon la fondatrice de Smart Glamour
“j’aimerais imaginer un monde où tout le monde peut essayer des vêtements et laisser le fardeau émotionnel de se soucier de l’ajustement des vêtements. Les vêtements ne sont pas faits pour tous les corps. Nous ne devrions pas alors penser que lorsque quelque chose ne nous va pas, c’est en quelque sorte de notre faute.”