Une mère de famille s’est confrontée à ses propres enfants à cause d’une maison familiale. Elle a alors partage son vécu pour essayer de trouver de l’aide.
Tout a chamboulé pour cette mère anonyme et ses trois enfants. Ces derniers ont appris que la maison où ils ont grandi était mise en vente. Le choix émane de celle de leur mère, une femme dans les 70 ans qui ne souhaite plus vivre dans cette maison depuis la mort de son conjoint. La raison est que cette maison lui rappelle constamment son défunt mari.
Cependant, ses enfants ne sont pas du même avis qu’elle sur cette prise de décision. La septuagénaire pensait que ses descendants comprendraient la situation. De plus, elle espérait empocher un peu d’argent avec le prix de la maison, pour payer ses frais médicaux et pour couvrir les autres dépenses.
Sauf que les enfants ne le voient pas de cet œil. Comme l’explique la mère, ils se sont laisser emporter par la colère. Ils l’ont également accusé de “détruire leurs souvenirs d’enfance et les derniers souvenirs de leur père en vendant la maison familiale”. Pour l’heure, les trois exigent à leur mère de leur céder la propriété.
“Je suis absolument dégoûtée par leur comportement”
Les trois enfants ont assuré à leur mère de louer la maison pour qu’elle puisse recevoir de l’argent sans la vendre. Pourtant, elle a refusé catégoriquement à cette offre car elle ne veut plus habiter dans la demeure. En dernier recours, les enfants ont fait appel à un avocat pour “l’empêcher légalement” la vente de la maison familiale.
Selon la principale concernée :
“Ils prétendent que c’est leur héritage et que j’essaie de leur cacher l’argent. La dernière chose que je voulais à ce stade de ma vie était de m’impliquer dans une horrible querelle de famille. Je suis absolument dégoûtée par leur comportement et je n’arrive pas à comprendre à quel point ils sont égoïstes”.
Voilà la lettre désespérée de la mère de famille adressée à une spécialiste des relations dans le média Daily Mail.
La femme est persuadée que leur père serait “furieux” de cette attitude de leurs enfants. Si la mère a accepté de leur céder la propriété, c’est pour “vivre en paix sans la menace d’un procès”.
Après avoir appris cette situation poignante, la spécialiste a proposé à la mère de famille de succombe. Il lui a conseillé de dire aux trois enfants qu’elle acceptait de “les aider à ‘financer’ l’achat de la maison en échange d’une allocation mensuelle lui permettant de vivre”. Le plus inquiétant pour la mère est de ne plus avoir la capacité d’effacer le “traumatisme émotionnel” de ses enfants.