Coronavirus: Des individus appartenant à certain groupe sanguin seraient plus vulnérables que les autres - Recettes en Famille

Coronavirus: Des individus appartenant à certain groupe sanguin seraient plus vulnérables que les autres

by Emma

En ce moment où les avancés du Sars-CoV-2 sont diffusés dans les médias, certains des données attirent plus de lecteurs dans le sens de mieux appréhender le fonctionnement du virus. Cette recherche entamée en Chine fait partie des informations qui ont suscité la curiosité de tous. Il s’agit d’une conception qui révèle que les personnes du groupe sanguin A sont plus vulnérables que d’autres. De là découle une vigilance face à cette étude qui vient d’être entamée et encore sans paire. Eclaircissement des informations relayées par le journal Le Monde.

La liaison qui pourrait exister entre le groupe sanguin de chacun et la Covid-19 a réveillé de nombreux curieux. L’étude en question a été rendue publique par des scientifiques de l’université de Wuhan et de Shenzhen, en date du  16 mars. Ainsi, d’innombrables individus remettaient en question ce sujet délicat. Et en parallèle, les internautes cherchent à scruter s’il ne s’agirait pas d’un communiqué diffusé par Le Monde afin de combattre un maniement.

Une amorce à ce sujet d’étude

2 173 patients testés positifs au Sars-CoV-2 ont fait l’objet de la recherche. Ils proviennent de trois dispensaires différents, les deux d’entre eux à Wuhan et l’un situé à Shenzhen. Pour ce faire, les scientifiques ont fait un test sérologique afin de détecter le groupe sanguin des participants et ont comparé à celui d’une personne saine, 23 386 à Shenzhen et 3 694 à Wuhan.

D’après le résultat des tests, les chercheurs ont tiré conclusion que les individus du groupe sanguin O seraient exposés à un risque faible de contracter le coronavirus, contrairement aux personnes qui sont du groupe sanguin A avec un risque élevé d’être atteintes du virus.

Ainsi, ce constat ont été tiré d’un remarque qu’à Wuhan, « le groupe A est en effet surreprésenté avec une proportion de 38 % de malades ; viennent ensuite les patients de groupe B (26 %), O (26 %), et AB (10 %) ». Selon Le Monde, basé à une approximation avec les personnes saines, « les individus de groupe O étaient plus nombreux (34 %), suivi des groupes A (32 %), B (25 %), et AB (9 %) ».

Pareillement à Shenzhen, des suites analogues sont tout de même observés mêmes s’il existe un écart un peu minimisé entre les deux groupes sanguins A et O.

La réponse des scientifiques

Les scientifiques estiment que leurs conclusions suite à la recherche sur les groupes sanguins A et O seraient du fait des anticorps résultant de l’organisme quand il fréquenté par une substance non familière, donc à des « anticorps anti-A dans le sang ».

Les Décodeurs ont relayé des éclaircissements à ce sujet en déployant que chaque groupe sanguin est doté d’antigènes dans sa domaine. Ces antigènes ne se ressemblent pas selon la personne dont il est question. De ce fait, les individus du groupe A sont dotées d’antigènes A et les autres du groupe B sont avec d’antigènes B. Les individus qui sont du groupe sanguin AB disposent des deux antigènes à la fois. Mais les individus du groupe sanguin O s’approprient d’antigènes H.

En cas de débarquement d’un virus dans l’organisme, le système immunitaire repère les antigènes dans le but de procréer des anticorps.  A cet effet, la personne appartenant au groupe sanguin A n’est pas en mesure de produire ces anticorps en contrepartie de ses propres antigènes, et à la fin il produit des anticorps anti-B. Pareillement à l’individu qui est du groupe sanguin O, le principe est qu’il procréera des anticorps anti-A, cependant le groupe O constituera des anticorps anti-A et anti-B.

D’après leurs observations, les scientifiques chinois ont inspiré que « les anticorps anti-A pourraient en quelque sorte ralentir la pénétration du SARS-CoV-2 ». Raison pour laquelle, les individus du groupe sanguin O qui créent viscéralement des anticorps anti-A et anti-B disposent davantage d’arme de taille qui lutte le coronavirus. De ce même principe, les personnes de groupe A sont beaucoup plus à risque du virus, du fait de l’impossibilité de créer des anticorps anti-A.

Appel à la vigilance au sujet de cet étude préliminaire

Cet appel à la prudence est du fait que les initiateurs ont eux-mêmes avisé au sujet de la publication qu’il « faut être prudent avant d’utiliser cette étude pour guider une pratique clinique, à l’heure actuelle ». Ensuite, ils ont poursuivi que la présente recherche devrait inciter des approfondissements complémentaires.

En outre, le site MedRxiv.org a précisé qu’il est question d’une recherche préliminaire et d’une prépublication qui n’a pas encore fait l’objet d’attestation par des pairs. « Les lecteurs doivent donc être conscients que ces travaux (…) ne sont peut-être pas finalisés et qu’ils peuvent contenir des erreurs. (…) Ils n’ont pas été approuvés par la communauté scientifique. »

Jacques Le Pendu, chercheur à l’université de Nantes certifie tout de même, durant son interview sur le 20 Minutes qu’il serait judicieux de prendre les informations sous réserve, face à ces constats étant encore préliminaires. « C’est de la science en marche, il faut être prudent », d’après cet expert. « Quel que soit votre groupe sanguin, il est donc toujours important de continuer à respecter les gestes qui protègent contre la contamination », conclue ce spécialiste en attendant des études supplémentaires qui certifie ou non cette étude par les chercheurs chinois.

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