Quelques mois de cela, la population mondiale a été submergée par la crise sanitaire sans précédent. Rappelons que le virus a débarqué à Wuhan au tout début de son attaque à l’humanité. Le Sars-CoV-2, responsable de la pathologie a connu une propagation effrénée partout dans le monde. Jusqu’à maintenant, il existe des sceptiques quant à l’utilisation et à l’efficience du masque de protection. Pour démêler le vrai du faux, ce microbiologiste a démontré que le masque est efficace pour éradiquer le virus de Wuhan. Eclaircissements relayée par Fox 6 Now.
Afin de freiner la propagation du nouveau coronavirus, nombreux entités gouvernementales ont adopté une mesure de confinement à ces populations durant un temps précis. Plusieurs pays ont exigé aux habitants de porter un masque lorsqu’on est dans des endroits ou en déplacements inévitables.
Pour le cas de la France, l’insuffisance de stock de masques avait suscité un réel scandale d’État, entraînant l’emportement des personnels médicaux, mais tout de même une révolte de la population, selon le reportage de France Inter.
Heureusement que les fins du confinement dans le territoire français s’est faite sans complication, avec des réserves de masques sui couvrent les besoins des concitoyens. Néanmoins, certains gens se posent la question sur l’efficience des masques. Afin de répondre à cela, un microbiologiste américain a diffusé une démonstration probante qui mérite d’être observée.
La justification suite aux recherches
Richard Davis, directeur du laboratoire de microbiologie clinique au Providence Sacred Heart Medical Center à Washington, a exécuté un premier procédé afin d’illustrer que les masques sont efficaces pour affronter la crise sanitaire. Le but de cette expérience est d’estimer l’efficience du masque à freiner les gouttelettes émises par un individu qui parle avec un autre en face de lui.
A cet effet, Richard Davis s’est procuré des boîtes de Pétri pour effectuer une culture bactérienne et d’approfondir les germes qui s’épandront dans les boîtes. Pour commencer, il a toussé, parlé, chanté puis éternué dans une plaque pour culture en mettant un masque de protection de type chirurgical afin de démontrer le nombre de gouttelettes qui posent pied sur la surface. Par la suite, il a reproduit la pratique mais pour ce deuxième tour, il n’a mis aucun masque de protection.
A savoir que l’espace de culture adopté renfermait de l’agar agar, un composant gélatineux utilisé fréquemment en microbiologie en mise en culture des micro-organismes.
A la fin de son procédé, le microbiologiste a conquis des conclusions qui attestent l’importance du masque afin de se protéger des agents pathogènes, selon lui. Par la même occasion, l’expert a confronté la procréation des bactéries dans chacune des boîtes de Pétri avec et sans le masque de protection. Il a effectivement confirmé que « Les colonies de bactéries montrent où les gouttelettes ont atterri. Un masque les bloque pratiquement toutes ».
En réalité, les représentations exposent que sans mettre aucun masque, les bactéries s’établissaient dans les contenant, particulièrement lorsqu’on tousse ou qu’on éternue dedans. A l’inverse, le masque paraît opérant pour stopper l’expansion des micro-organismes.
Le long d’une seconde justification, Richard Davis a tenté d’estimer l’efficience de la mesure de distance sociale comme un moyen de protection contre la Covid-19. Il a à cet effet écarté les boîtes de Pétri à 0,6 mètre, ensuite à 1,2 mètre et enfin à 1,8 mètre. Le spécialiste a par la suite toussé fort avec et puis sans le masque de protection pour réaliser une approche.
Les conclusions ont démontré que quelle que soit l’espace entre deux sujets, le masque freinait de manière considérable l’expansion des germes bactériens. Si la personne ne met aucun masque, un espace de 1,8 mètre est en mesure de freiner la propagation bactérienne.
Le masque ne suffit pas pour freiner la propagation du virus
Richard Davis démontre que ses commentaires mettent en exergue le fait que les virus et les bactéries peuvent être évités. Le microbiologiste étale effectivement des conclusions qui ne portent pas sur un virus. Cependant, il accentue sur le fait que ces examens sont principalement semblables et que les masques sont agissants contre l’ensemble de ces micro-organismes, comme le relaye Business Insider.
Quant à William Schaffner, professeur en médecine préventive et maladies infectieuses, il nuance ces résultats tout en confirmant sa conception. « Utiliser des masques de plusieurs types, la distanciation sociale ou éviter les rassemblements etc., voilà les choses qui, lorsqu’elles sont cumulées, ont démontré qu’elles pouvaient considérablement réduire les risques de transmission si on les pratique en même temps ».
Le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus évoque que « Le masque ne remplace pas la distanciation physique, l’hygiène des mains et les autres mesures de santé publique. Le masque n’est utile que dans le cadre d’une approche globale de la lutte contre la Covid-19 ».
Afin de se prémunir de manière optimisée du virus, les principes suivant sont à prendre en considération :
- Se laver les mains de manière régulière ou d’appliquer de la solution désinfectant ;
- Respecter la mesure de distanciation sociale d’un mètre au moins envers une autre personne ;
- Eviter de se touche le visage, notamment les yeux, la bouche ou le nez ;
- En éternuant ou en toussant, couvrez la bouche et le nez avec le pli de votre coude ou en avec un mouchoir à usage unique.
[sc name=”suivant” ]