La période de Noël est un moment remplie de joie, de bons plats et de présents mais il existe des familles qui ne se permettent pas, ainsi les enfants qui y sont ne croient plus aux cadeaux de Père Noël.
Toutefois, il existe des personnes pleines de bonté dans cette planète qui procurent des efforts afin de répandre du bonheur aux enfants qui ne peuvent pas jouir des fêtes.
Comme ce qu’a fait cet ancien de l’armée américaine nommé Jim Annis, il a 80 ans et fabrique des jouets en bois depuis environ 50 ans. Tous les ans, il crée lui-même dans son atelier environ 300 jouets, notamment des tirelires, des camionnettes, des poupées, et bien d’autres.
Jim se charge de l’ensemble des matériaux dont il a besoin pour la fabrication, sauf des restes de bois que ses entourages lui donnent. Chaque année, 1000$ sortent de sa poche pour ses jouets en bois.
«Lorsque l’Armée du Salut (de Sanford) donne de la nourriture et des vêtements aux gens de la région, je donne mes jouets», selon sa reformulation.
Ce qui a incité Jim à faire ses œuvres charitables, c’est parce qu’à son enfance, il y avait un moment où il n’a pas reçu de cadeaux. « Mon père travaillait dur, mais ne gagnait pas énormément d’argent. C’est très difficile d’avoir un grand Noël lorsqu’on a 5 enfants », selon ses explications.
Quand on questionne ce monsieur généreux de ce qu’il gagne en retour en offrant ses cadeaux, il répond avec fierté que sa plus belle compensation c’est de voir les visages souriants des enfants.
Jim ne s’arrête pas là, il envisage de poursuivre l’œuvre de charité pour toujours. Il a confié «J’espère pouvoir le faire jusqu’à ce que mes orteils se recroquevillent »,
«J’aime quand les gens me demandent combien je suis payé pour fabriquer ces jouets. Je leur dis que mon salaire, c’est quand je vois le sourire sur le visage des enfants », selon la déclaration de Jim. Et il a ajouté «J’espère pouvoir le faire jusqu’à ce que mes orteils se recroquevillent.»
Les cadeaux de Jim sont d’une valeur considérable vue l’estimation des jouets en bois dans les magasins, en plus de l’altruisme de celui qui les offre.
Cette histoire fait naitre un dessein bienfaisant !
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