La crise sanitaire a coûté la vie à plus de 570 000 personnes dans le monde entier. À partir de la date de débarquement du virus depuis la Chine, près de 13 millions de personnes ont été testées positives à la maladie, un chiffre international venant de 196 pays et contrées. Pour l’heure, la communauté scientifique de plusieurs pays se mobilise pour trouver inlassablement le vaccin opérant. Durant la recherche effectuée, les scientifiques ont pu déceler les signes symptomatiques de la contamination. L’infection est jugée comme étant seulement respiratoire mais elle toucherait d’autres parties du corps et entraînerait des indications variables, selon des recherches récentes. L’étude et relayée par La Dépêche. Focus.
La ville d’origine de la maladie est à Wuhan en fin d’année 2019. Le virus a causé un chaos total de la vie de tous les jours. Et pour cause, des dizaines de milliers de gens ont péri la vie, accompagnés d’innombrables cas positifs dans le monde. Le traitement ou le vaccin spécifique à la maladie est encore inaccessible pour l’heure, raison pour laquelle il faut rester en garde pour se prémunir de la maladie.
Des signes variables
Depuis que le monde entier fait face à la crise sanitaire sans précédent, les scientifiques découvrent jour après jour des facettes ahurissantes de la maladie. Dans ce sens, le coronavirus a extériorisé au tout début des grippes et des rhumes, l’envergure des symptômes se limite plus à cela actuellement. Il existe des signes communs et ceux marginaux mais englobe tous, les traits du nouveau coronavirus.
Parmi la première catégorie de symptômes, les patients peuvent endurer une toux sèche, une fièvre ou de la fatigue. Et dans la seconde catégorie, le patient peut manifester de courbatures, de céphalées ou des maux de gorge, des diarrhées mais encore de la conjonctivite, la perte de goût et/ou d’odorat et des éruptions cutanées, des décolorations des doigts ainsi que des orteils.
En mois d’avril, les signes dermatologiques ont été mis en exergue par les médecins via un communiqué du Syndicat national des dermatologues-vénérologues (SNDV). La congrégation formule que près de 400 spécialistes ont constaté des effervescences cutanées chez leurs patients. A cet effet, il a été révélé : « il s’agit d’acrosyndromes (aspect de pseudo-engelures des extrémités), apparition subite de rougeurs persistantes parfois douloureuses, et des lésions d’urticaire passagères ».
Pour la Société française de dermatologie, il s’agit de signes qui sont susceptibles de survenir de manière tardive au moment où une personne est contaminée. La société le classifie d« un mécanisme d’origine immunologique ».
Néanmoins, elle évaluait la nécessité de preuves complémentaires afin de prouver que ces affections étaient des indications prématurées de la maladie et fait appel aux patients pour solliciter l’avis d’un dermatologue. Ce dernier serait à même d’identifier la présence d’un cas suspect de coronavirus ou non.
Qu’en-est-il des cas sévères ?
Les cas graves de Covid-19 toucheraient environ un malade sur cinq selon les données de l’OMS, là où des indications sévères sont extériorisées par les patients. A ce stade, le patient éprouve une complication à respirer, des essoufflements, une sensation douloureuse ou encore une forte pression au niveau de la poitrine. « Ce sont des signes de pneumonie donc d’infection du poumon », selon le Dr Gérald Kierzek, auteur du livre « Coronavirus: Comment se protéger ? ».
Le médecin urgentiste à l’Hôtel-Dieu formule : « C’est globalement un taux d’oxygène qui va baisser et un syndrome infectieux qui va augmenter, de la fièvre qui augmente, des difficultés respiratoires, on cherche de l’air, on s’étouffe un peu de l’intérieur, la fréquence respiratoire augmente, les ongles sont un peu bleutés ». On parle en effet de Syndrome de Détresse Respiratoire Aiguë (SDRA) qui requiert une urgence fondamentale.
Selon La Dépêche, le patient de coronavirus peut perdre sa capité de parler ou de mouvoir. D’autant plus, ses signes révèle ses diversités, donc des affections pulmonaires et les atteintes neurologiques.
Certains des signes sont actuellement méconnus par tout le monde. Comme le cas de l’hôpital royal universitaire de Liverpool qui aurait découvert une pancréatite à leur patient. Par ailleurs, l’hôpital de Versailles a accueilli un patient qui endure un priapisme, donc d’une érection douloureuse qui dure jusqu’à plus de quatre heures.
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