Une influenceuse vend ses pets en bocaux pour 300 $ : L'entrepreneuriat surprenant d'une star des réseaux sociaux - Recettes en Famille

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Une influenceuse vend ses pets en bocaux pour 300 $ : L’entrepreneuriat surprenant d’une star des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux ont donné naissance à de nombreuses tendances insolites ces dernières années, mais l’un des business les plus surprenants reste celui de la vente de flatulences en bocaux. Ce phénomène a été popularisé par Cheng Wing Yee, connue sous le nom de Kiaraakitty, une influenceuse qui vend ses pets pour la somme de 300 $ le bocal. Si cette activité peut sembler extravagante, elle s’inscrit dans une tendance plus large des produits uniques et souvent excentriques qui captent l’attention et suscitent la curiosité des consommateurs à la recherche de nouvelles expériences.

Un marché surprenant mais réel

Bien que la plupart des gens préfèrent éviter les flatulences en présence de leurs proches, certains trouvent une fascination dans ces produits peu communs. Kiaraakitty, une influenceuse de Hong Kong, a décidé d’exploiter cette niche en vendant ses pets dans des bocaux, qu’elle propose à ses abonnés à des prix allant jusqu’à 300 $. Outre les pets en bocaux, Cheng vend également d’autres articles tels que de l’eau de bain usée, de la lingerie, des bas et des bikinis. L’eau de bain est l’article le plus cher de sa gamme, à 500 $ le bocal, ce qui montre qu’il existe une demande pour ce genre de produits “uniques” et personnels.

Mais Kiaraakitty n’est pas la seule à s’aventurer dans cette voie. L’exemple de Stephanie Matto, star de l’émission 90 Day Fiancé, est également frappant. Avant de connaître des problèmes de santé liés à un régime alimentaire riche en fibres, Stephanie avait gagné jusqu’à 200 000 $ en vendant ses pets dans des bocaux. Cependant, après des soucis de santé, elle a pris la décision de se tourner vers la vente de NFTs (tokens non fongibles) de ses pets, une autre forme de produit dérivé numérique.

Le pouvoir du personal branding et du marketing de niche

L’une des raisons du succès de ces entreprises peu conventionnelles réside dans la manière dont elles exploitent le personal branding. En créant une image de marque forte et distincte, ces influenceuses parviennent à capter l’attention de leurs abonnés, parfois fascinés par l’originalité et l’audace de leurs produits. Le marketing de niche joue également un rôle important dans ce phénomène. En ciblant des consommateurs spécifiques à la recherche de produits uniques ou excentriques, ces entrepreneuses réussissent à se faire une place sur un marché où la concurrence est de plus en plus féroce.

Dans un monde où l’authenticité et l’originalité sont des valeurs recherchées par une partie du public, ces influenceuses parviennent à se démarquer en proposant des produits qui sortent des sentiers battus. Le fait d’offrir des articles “personnalisés” et d’inciter les consommateurs à acheter des objets aussi insolites que des pets en bocaux ou de l’eau de bain usée crée un lien particulier entre l’influenceuse et ses abonnés, un lien basé sur la curiosité et l’exclusivité.

Les risques liés à ce genre de business

Malgré les gains financiers évidents de ces pratiques, il est crucial de prendre en compte les risques associés à ces activités commerciales peu conventionnelles. Tout d’abord, il y a la question de la santé. L’exemple de Stephanie Matto est révélateur des dangers qui peuvent découler de la vente de produits physiques liés à des comportements corporels. En effet, la consommation de nourriture riche en fibres dans le but de produire des flatulences en quantité suffisante peut avoir des effets négatifs sur la santé, comme l’ont montré les problèmes de santé rencontrés par Stephanie.

Cela soulève également des questions éthiques et sanitaires, car ces activités pourraient potentiellement nuire à l’image publique de ces influenceuses. L’idée de vendre des produits aussi intimes et personnels pourrait déranger certains consommateurs ou groupes sociaux, ce qui pourrait affecter leur réputation à long terme. Il est donc important de considérer l’impact que de telles pratiques peuvent avoir sur la santé des entrepreneuses et sur leur carrière.

Le phénomène des produits insolites : Une tendance de fond ?

La vente de pets en bocaux et d’autres objets excentriques n’est qu’un exemple parmi tant d’autres des tendances qui émergent sur les réseaux sociaux. Les consommateurs sont de plus en plus attirés par des produits uniques, souvent liés à des pratiques non conventionnelles. Ce phénomène peut être vu comme une réponse à l’uniformité des produits de masse, mais aussi comme un moyen pour les consommateurs de se sentir spéciaux ou exclusifs en achetant des objets rares.

Des entreprises prospèrent également en vendant des produits personnalisés, des objets faits à la main ou des expériences uniques. Cependant, la vente de produits aussi insolites que des flatulences en bocaux pousse cette logique à son paroxysme, prouvant que les consommateurs sont prêts à investir dans des articles qui suscitent l’étonnement ou même le dégoût. Il ne s’agit pas seulement de satisfaire un besoin, mais aussi de répondre à une curiosité humaine envers ce qui est bizarre, choquant ou tabou.

Entre audace et responsabilité

Si l’exemple de Cheng Wing Yee et de Stephanie Matto peut sembler extrême, il souligne la puissance de l’influence des réseaux sociaux et du marketing de niche. Le phénomène de vente de produits insolites et souvent choquants démontre que, dans le monde numérique d’aujourd’hui, tout est possible pour qui sait se démarquer et attirer l’attention. Cependant, il est essentiel de ne pas perdre de vue les implications sanitaires et éthiques de ces pratiques. L’entrepreneuriat peut prendre des formes étonnantes, mais il doit toujours être exercé avec responsabilité, tant pour les créateurs de contenu que pour leurs consommateurs.

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