Il escalade le Mont Fuji… deux fois en 4 jours ! Et il faut le sauver à chaque fois

C’est l’histoire d’un étudiant qui tenait tellement à récupérer son téléphone qu’il a risqué sa vie… deux fois en moins d’une semaine. Une histoire à peine croyable qui fait le tour du monde et déchaîne les réseaux sociaux.

Un premier sauvetage… déjà limite

Le 22 avril 2025, un étudiant chinois de 27 ans vivant au Japon décide de braver les interdits : il tente d’escalader le Mont Fuji alors que la saison d’escalade est encore fermée. Mauvaise idée.

Mal préparé, il est frappé par le mal des montagnes à 3 000 mètres d’altitude, perd ses crampons (indispensables sur la neige et la glace), et ne parvient plus à redescendre. Bilan : une équipe d’hélicoptère est mobilisée en urgence pour le sauver.

Il laisse derrière lui quelques affaires… dont son téléphone portable.

Quatre jours plus tard, il y retourne 😳

Contre toute attente — et toute logique — l’étudiant remonte le 26 avril pour récupérer son téléphone.

Même itinéraire. Même conditions. Même issue.

Encore une fois, le mal des montagnes le cloue sur place. Un autre randonneur le retrouve à bout de souffle, incapable de bouger, et alerte les secours. Il est à nouveau évacué, cette fois sur une civière jusqu’à la 5e station, avant d’être pris en charge par les pompiers.

Et devinez quoi ? Les secouristes le reconnaissent immédiatement…

Une montagne pas comme les autres

Le Mont Fuji, avec ses 3 776 mètres, est l’un des symboles les plus emblématiques du Japon. Il attire entre 200 000 et 300 000 grimpeurs chaque année… mais uniquement entre juillet et début septembre, quand les conditions le permettent.

En dehors de cette période, les autorités déconseillent fortement toute ascension : météo imprévisible, neige abondante, vent violent, et secours très limités. Chaque année, des accidents graves sont à déplorer. L’été dernier, cinq personnes ont perdu la vie rien qu’en juillet.

Faut-il payer pour ses erreurs ? 💸

L’affaire a provoqué une véritable tempête sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes demandent que l’étudiant paie les frais de sa seconde opération de sauvetage, qu’il a lui-même provoquée par négligence.

Au Japon, les sauvetages en montagne sont gratuits, contrairement à d’autres pays. Mais ce double sauvetage relance le débat : faut-il instaurer des amendes ou des frais pour responsabiliser les imprudents ?

Les autorités locales, elles, rappellent que l’accès au Mont Fuji est désormais réglementé : à partir de 2025, il faudra s’acquitter de 4 000 yens (environ 27 €) pour y grimper en toute légalité — et surtout, en toute sécurité.

Une leçon à retenir pour tous les aventuriers

Que ce soit pour un selfie, un défi ou… un téléphone, la montagne ne pardonne pas. Ce récit devrait servir d’avertissement à tous ceux qui sous-estiment les dangers de l’altitude. La nature est belle, mais elle mérite respect et prudence.

👉 Que pensez-vous de cette histoire ? L’étudiant doit-il rembourser les secours ? Seriez-vous capable de risquer votre vie pour récupérer votre téléphone ? Donnez votre avis en commentaire et partagez cette histoire édifiante autour de vous 📲

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