Les parents qui enfantent perçoivent désormais 250 euros par mois - Recettes en Famille

Les parents qui enfantent perçoivent désormais 250 euros par mois

by Emma

Economiquement, le coronavirus à provoqué un mauvais résultat, comme dans les autres domaines. Pour cela, des nouvelles mesures ont été prises. Le gouvernement Italien impose une règle aux parents : c’est de percevoir une compensation de 250 euros s’ils donnent naissance à un enfant. Lors d’une déclaration ministérielle, le ministre de la famille affirme : « C’est un moment historique pour le pays ».

En Italie, la pandémie a bouleversé les parents et ils avaient moins de projet, aucun projet qui a pour but de procréer. Dans ce cas, une nouvelle loi a été mise en vigueur par le gouvernement. Lors d’une interview avec La Depeche, il a été déclaré que cette loi nouvelle incite les parents à donner naissance.

 Pour chaque naissance, les parents reçoivent de 250 euros

A cause du coronavirus qui à assassiné beaucoup d’individus dans les hôpitaux italiens, une nouvelle loi a été mise en vigueur pour augmenter le taux de natalité. Ladite loi a fait l’objet de vote par les sénateurs, le 30 mars, dont 227 des sénateurs ont approuvé, 4 ont voté contre et 2 d’entre les membres du Sénat se sont abstenus. La clause stipule d’octroyer 250 euros aux parents lorsqu’ils enfantent à partir du 1er juillet. Dès le septième mois de grossesse et jusqu’à ce que l’enfant atteigne l’âge de 21 ans, l’aide financière prendra effet.

20 milliards d’euros dédié pour ce budget

L’apparition de cette nouvelle loi est vraiment nécessaire pour que plusieurs familles vivent facilement dans leur quotidien. Dans ce sens, Gennro Migliore se montre reconnaissant envers la ministre Elena Boneti, la ministre qui a proposé cette allocation, sur son compte Twitter. Elle affirme par la même occasion que cette récompense traduit une politique qui uni le bien commun. Le budget consacré par le gouvernement italien vaut  20 milliard d’euros afin de rétablir les effets néfastes de la pandémie. La loi adoptée fait référence à la situation démographique post-Covid du fait des 74 6000 morts en 2020 contre 40 4000 naissances. Pour rappel, Bargame, une ville italienne est la plus touchée par la propagation virale.

Les parents retardent leur projet d’avoir un bébé

Selon un rapport de France TV Info, le coronavirus provoque une réticence aux parents à l’idée d’enfanter. D’autant plus que la statistique traduit explicitement des séquelles économiques. Selon Eva Beaujouan, démographe à l’université de Vienne, plusieurs pays ont fait l’objet d’enquête sur le moment où les couples souhaitent avoir un bébé. Résultat ? « Les gens entendent souvent reporter le moment où ils feront des bébés ». Une recherche transmise à l’autorité italienne atteste que 21% des couples ne souhaite même plus un nouveau né. En plus de cette étude, 3 autres démographes italiens ont mené une enquête auprès de plusieurs Européens, des jeunes. Parmi eux, 51 % de population en France repoussent l’idée de donner naissance si 17% ont délaissé le projet.

Des berceaux vides après une crise

Près de 300 000 berceaux sont abandonnées, des séquelles infligées par le coronavirus. D’après Gilles Pison, associé à l’Institut national d’études démographiques, il s’agit d’une conséquence courante après le passage d’une crise. L’expert affirme que même plusieurs effets néfastes sur l’économie a influé sur le taux de natalité depuis plusieurs années. De ce fait, les couples prennent plus de temps à décider de procréer. Toutefois, cette réticence à avoir un enfant ne dure que deux années puisque le taux de natalité a tendance à augmenter après une baisse.

Une baisse de natalité similaire aux effets de la grippe espagnole

Au sujet du choc qu’on pourrait rencontrer après la pandémie de coronavirus sur la naissance, deux économistes américains ont fait le point. D’après ces experts, les Etats-Unis ont eu un taux de naissance à près de 8% en 2021, raison pour 300 000 berceaux sont vacantes. Par ailleurs, une recherche entamée par des experts d’origine allemande estime une «  ampleur équivalente aux baisses consécutives à la pandémie de grippe espagnole de 1918-1919 ». En se basant sur des illustrations sur Google à propos de la grossesse en Amérique, les chercheurs ont tiré leur conclusion. Sur une échelle mondiale, il est prouvé que l’année 2020 et 2021 présentent un taux de naissance en baisse jusqu’à 15%. L’organisation mondiale de la santé avertit qu’il pourrait y avoir pire puisque le taux de naissance en baisse bouleverse la démographie.

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