Toute la population mondiale est effrayée par les dégâts découlant de la pandémie du Covid-19, notamment le nombre de morts qui hausse sans cesse. A cet effet, les chercheurs scientifiques n’en démordent pas aux remèdes qui pourraient guérir les patients. Selon le Dr. Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, un essai médical est œuvré dans le but de pallier à la maladie. Ce test assujetti 24 cas confirmés en utilisant comme remède la chloroquine qui aurait un impact impressionnant sur les patients atteints de Covid-19. Le laboratoire Sanofi se lance pour ravitailler l’autorité française en 300 000 chloroquines, un antipaludéen avec lequel les scientifiques restent vigilants quant à son efficience. Le Monde reprend les informations détaillant le fait.
Les chercheurs scientifiques concourent pour décrocher le remède efficace contre le virus baptisé Covid-19. Ainsi, il existe des déroulés qui sont en cours d’étude, d’autres alternatives sont en cours de découverte. Mais selon l’Express, jusqu’à maintenant, les scientifiques n’ont révélé aucune immunisation crédible contre la pandémie. L’infectiologue du centre marseillais Didier Raoult exalte ces derniers temps l’efficience de la chloroquine, un antipaludique qui représente un potentiel traitement contre le coronavirus.
Selon Olivier Véran, personnel du conseil scientifique déploie que les preuves obtiennent ses crédits pour être utilisable dans les centre de traitement contre la maladie. D’après lui, le remède fait « déjà partie des protocoles thérapeutique, conseillés par les experts, pour certains de renommée mondiale ».
Les tests sont prometteurs
Le professeur de Marseille, Didier Raoult atteste les effets potentiels de cet antipaludéen à prix abordable au profit d’une majorité des patients. Sur le Parisien, l’infectiologue démontre que parmi les 24 patients en traitement, 25% d’entre ceux ont pris du Plaquenil dans une durée de 6 jours, seulement ont toujours le virus.
Depuis de longues années, la chloroquine est administrée aux patients qui endurent de pathologies auto-immunes, notamment celles de type lupus ou encore la polyarthrite rhumatoïde. Ce remède antipaludéen s’avère efficace pour combattre à bras le corps le virus, selon le directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille. Comme l’essai clinique se montre aguichant, le laboratoire Sanofi s’apprête à investir à l’autorité française une grande quantité de Plaquenil qui est e mesure de couvrir 300 000 cas positifs de Covid-19 en espérant une guérison potentielle.
Malgré les propos de la porte-parole du gouvernement français Sibeth Ndiaye qui déploie qu’aucune recherche scientifique n’est attestée opérante, face à la situation, elle réitère ses dires en détaillant que de nouvelles recherches sont en cours et « réalisés avec une équipe indépendante du professeur Raoult », dans le but de constater les conclusions de l’expert et ses équipes.
Les scientifiques restent prudents
Ce ne sont sue des effets d’annonce pour l’instant », d’après le professeur Jean-Daniel Lelièvre dans ses explications sur le Parisien. Il fait appelle à la prudence des chercheurs pour éviter de faire de la chloroquine un « médicament miracle ». D’ailleurs, d’autres scientifiques partagent le même avis que lui en se montrant dubitatifs faute de dépositions crédibles ainsi qu’en connaissance de cause de ses effets secondaires. Et pour cause, la chloroquine peut se montrer néfaste en cas de quantité excessive, rapporte France 24.
En outre, d’innombrables patients se dépêchent de joindre les pharmacies pour se procurer de chloroquine tout en sachant que la consommation est prohibée à défaut de prescription d’un médecin, à cause de ses effets secondaires. Le Dr. Gilbert Deray, néphrologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, durant une conversation par une station radio, déploie les risques imminents à a consommation de ce remède. « Des pertes de la vision qui peuvent être irréversible » est un des effets indésirables de la chloroquine sans prescription médicale. En outre, le néphrologue alerte des risques « de troubles du rythme cardiaque qui peuvent conduire à l’arrêt cardiaque ».
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