Le fait que cette maman garde son fils en laisse suscite une controverse - Recettes en Famille

Le fait que cette maman garde son fils en laisse suscite une controverse

by Emma

Elle a été critiquée et dénoncée sur la toile pour avoir tenu son fils en laisse. Plusieurs parents l’ont fait subir une réelle lapidation de commentaires. Mais, elle s’est défendue à tout prix. Et par le biais d’une publication sur les réseaux sociaux, cette mère éclaircit son geste. 

Elle a été pointée du doigt par plusieurs parents pour avoir gardé son fils en laisse. Pourtant, c’est un comportement qu’elle adopte constamment. Face aux injures, la maman n’a pu s’empêcher de pleurer selon The Epoch Times. Elle a été accusée d’être une mauvaise mère, alors qu’elle a recours à cette tendance pour des raisons jugées crédibles par elle.

La maman qui se défend contre les attaques des internautes

Rachel Butcher est une mère adoptive d’un enfant de 2 ans qui a été lapidée sur les réseaux sociaux. La raison ? Elle garde son fils avec une laisse et on le reproche d’utiliser cet équipage « par paresse » mais elle se défend via un poste sur Facebook. De ce fait, la mère a déroulé que ces jugements l’avaient fait fondre en larmes. Afin de se défendre, elle explique d’une journée ardue avec son fils. Néanmoins, elle n’est pas la seule à garder son enfant en laisse puisque les autres parents l’utilisent aussi pour des raisons sécuritaires.

Un fils hyperactif

En se défendant, la maman explique : « Notre fils a plus d’énergie et de vitesse qu’un enfant moyen de 21 mois ». Ensuite, elle poursuit qu’il a connu des amorces pénibles au début de l’adoption et qu’elle n’a aucune information disponible au sujet de la famille biologique. De plus, elle continue : « Il pourrait être hyperactif à cause de son passé que je ne connais pas ». A vrai dire, son enfant « court plus vite qu’elle » en raison de la mutilation de son utérus et c’est improbable pour elle de suivre son rythme. La maman met en exergue qu’elle était sportive avant mai après avoir subir cette condition, cette routine s’est arrêtée. «  J’ai toujours fait des cours et ait pratiqué cette activité tous les jours avant ma chirurgie ». À partir de cette opération chirurgicale, Rachel est équipée d’un cartable avec une laisse afin de garder son enfant en sécurité.

« J’ai quitté un magasin avant de pouvoir terminer mes achats »

« Mon fils déteste être immobile, que ce soit dans un siège auto ou dans une poussette » défend-t-elle. C’est un cas qui est probablement difficile à vivre pour certains des parents. La raison ? Pour Rachel, cela a été plus compliquée car son comportement l’a incité à sacrifier des activités distrayantes. « Je suis rentrée à la maison en pleurant parce que j’ai quitté plusieurs fois les magasins avant de terminer mes achats parce qu’il s’effondrait. Je vois aussi des regards méchants et entend des commentaires sarcastiques » se lamente-t-elle.

Elle déclare avoir vécu une journée vraiment difficile. « Aujourd’hui, c’était pire. Nous sommes allés dans un grand centre commercial et il portait son sac à dos [ndlr : avec une laisse] mais depuis il était heureux, souriant. Il courait mais il était près de moi » comme elle le récite. Par la suite, la maman déploie qu’à quasiment trois ans, il est toujours aussi hyperactif. Elle alors été convaincue de consulter un médecin à cause de ses troubles comportementaux et d’après la mère, il connaît trop d’amélioration. Et c’est un progrès remarquable qui permettra de l’aider dans son quotidien relativement éprouvant.

Définition de l’hyperactivité

L’hyperactivité correspond à un trouble du neuro-développement et cette maladie chronique apparaît depuis l’âge de l’enfance. Dans la majorité des cas, elle est difficile à diagnostiquer. De plus, le traitement s’avère quelque peu compliqué puisque la ritaline, médicament qui sert à remédier la maladie expose les enfants à un risque imminent. Aujourd’hui, la maladie est dénommée TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité), car ses symptômes sont neurologiquement similares aux signes de l’hyperactivité, notamment les troubles de l’attention, la frénésie et l’hyperactivité motrice. Lorsque vous remarquez ces signes chez votre enfant, il serait judicieux de solliciter l’avis d’un pédiatre qui serait à même de prescrire un traitement et un suivi thérapeutique le mieux adapté. En cas de TDAH suspecté, le médecin pourra vous conduire vers des experts comme le pédopsychiatre, le neurologue, le psychiatre ou le neuropédiatre en fonction de l’impact de la maladie chronique. Et pour cause, elle s’expose sous divers stades. D’ailleurs, le cadre pédagogique devra être notifié d’une hyperactivité afin d’adapter les enseignements nécessaires. Sachez qu’un enfant atteint de TDAH serait particulièrement adroit dans une discipline puisque souvent il inculque le sujet auquel il éprouve une vive ambition.

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