Actuellement, la crémation devient un système en vogue lorsqu’un proche rend son âme. En effet, un sondage de l’IFOP a confirmé que 50% de la population en France est partisan de l’incinération. En sus, depuis les années quatre-vingt, cette technique est de venu un moyen pour tout le monde de ne plus opter pour l’inhumation.
Que ce soit l’inhumation ou la crémation, la finalité du corps de l’homme va toujours être décomposée. Cependant, pour l’inhumation, la préservation du corps va se faire plus longtemps que pour la crémation. Pour ce dernier, il ne sera pas question d’attendre des mois ou des années pour que le corps du défunt se putréfie. En effet, le cendre de la personne décédée va être récolté au bout de quelques temps dans le four crématoire.
Dans le crématorium
Avant de passer le défunt dans le crématorium, il est nécessaire qu’il soit démuni de tous les bijoux et autres accessoires sur lui. Surtout, Il ne faut pas oublier d’enlever le pacemaker, pour ceux qui ont eu des problèmes cardiaques, car cet élément est susceptible d’exploser avec la température. Alors que dans le four crématoire la température est voisin des 1000 degrés Celsius. Par conséquent, même les murs de la chambre sont en briques spéciale pour pouvoir résister à cette chaleur écrasante.
De manière générale, la chambre est toujours faite pour incinérer un seul corps. Par contre, pour les mères qui meurent avec leur bébé, l’exception est de mise. De plus la législation interdit de pratiquer la crémation de plusieurs corps en même temps.
Quand le corps se fait incinérer dans la chambre, il est d’usage de le brûler avec son cercueil. Pour éviter le gaspillage de chaleur, la porte de la chambre crématoire ne doit être ouverte grandement, ainsi seul un espace suffisant pour faire entrer le cercueil sera admis. Les comburants possibles qui sont utilisés dans la chambre, pour enflammer le tous sont : le diesel, le propane, les gaz naturels.
Tout d’abord, les flammes vont brûler le cercueil pour arriver jusqu’au corps. Dans un deuxième temps, ils vont brûler les cheveux pour atteindre les tissus mous et les muscles. Par la suite, après évaporation de ces derniers, les os vont suivre pour se calciner. Ainsi, dans cette phase aucune eau n’est plus présente dans le corps. Quand il n’y aura plus que les os, une presse hydraulique va être actionnée pour moudre ce qui reste.
Sur certains types de four crématoire, il y aura des options pour diminuer les odeurs et aussi les émissions de gaz.
Tout le processus peut durer soit 2 à 3 heures en moyennant les facteurs qui peuvent intervenir. (Poids du corps, type de cercueil, température de la chambre…)
Au stade final, le cendre est évacué avec un plateau et un aimant qui est fait pour séparer le métal, comme les vis chirurgicales par exemple. Pour conclure, une autre presse plus modeste que la précédente va servir à broyer les petits os. Et c’est à ce moment que les cendres vont être mis dans une urne pour la famille. Ces étapes se passent d’habitude pendant le jour des funérailles ou 24 après, au plus tard.
Découvrez des derniers vœux étranges des personnes défuntes
Dans leurs testaments, les personnes qui sont morts peuvent y inscrire des dernières volontés, très bizarres voir même loufoques. Par conséquent, ces dernières volontés doivent être réalisées, en mémoire de la personne qui vient de mourir. Ainsi, c’est généralement dans les testaments qu’il y a différentes manières de traiter le corps des personnes. Vu la diversité de tout un chacun, il y a plusieurs volontés qui ont pu être recueilli dans ces dernières volontés.
Comme exemple, pour Mark Gruenwald éditeur exécutif des personnages célèbres comme Iron Man ou CapitainAmerica, mais aussi de plusieurs autres héros célèbres de Marvel. Ce dernier avait voulu que ses cendres soient associés avec l’encre pour dessiner ses personnages.
Pour Gene Roddenberry, le père de Star Trek, on a pu déceler dans ces dernières volontés une certaine égocentricité. En 1997, on a dispersé ses cendres dans l’espace, avec un satellite qui a fait le tour de la Terre. Parce que pour lui, son leitmotiv était tellement précieux : «Aller hardiment là où aucun homme n’est allé auparavant».
Pour Charles Vance Millar, le procureur de Toronto, il a voulu léguer à sa femme beaucoup d’argent, pour qu’elle puisse faire le plus de bébé possible dans les dix ans qui suivront sa mort.