Après l’Alzheimer, la maladie de Parkinson est la seconde maladie neurodégénérative qui touche plus de population. La maladie de Parkinson atteint près de 150 000 Français. Selon Huffington Post, Michael J. Fox, le célèbre interprète de Marty McFly dans le titre « Retour vers le futur », endure cette maladie se caractérisant par la dévastation des neurones dopaminergiques. Afin de se dévouer entièrement à sa santé, il a dû quitter sa carrière.
Selon Huffington Post, l’acteur célèbre ayant tenu son rôle dans plusieurs films, notamment, « Mars Attacks », « Fantômes contre fantômes » mais aussi « Spin City » a dû prendre sa retraite. En fait, il est diagnostiqué de la maladie de Parkinson l’année 1991, mais il ne s’est pas laisser faire et a poursuivi sa profession sans délaisser santé en péril. Cependant, il devrait actuellement céder sa place dans le monde de la cinématographie et de prendre sa santé en main.
L’acteur s’est retiré avec honneur
C’est par le biais de son nouvel ouvrage No Time Like the Future : un optimiste considère la mortalité, que Michael J. Fox déclare au grand public sa retraite motivée par son état de santé.
« Il y a un temps pour tout, et le temps que je consacre à une journée de travail de douze heures et à mémoriser sept pages de dialogue, est mieux derrière moi », déploie-t-il. Agé de 29 ans, Michael J. Fox a été vérifié d’avoir la maladie de Parkinson, une maladie neurodégénérative sournoise et qui dévaste les cellules dopaminergiques du système nerveux. A parti de cette nouvelle tragique, le personnage iconique du cinéma s’est centré sur la recherche au sujet de la pathologie. Il a ainsi créé la Michael J. Fox Foundation for Parkinson’s Research, en restant en même temps dans sa carrière d’acteur. Bien qu’il demeure optimiste, Michael J. Fox paraît abattu par sa maladie. L’année 2018, l’acteur aurait enduré le décès de son beau-père, après il apprend qu’il endurait une tumeur à la colonne vertébrale.
La tumeur est vaincue mais il devait se mouvoir en chaise roulante. Cette expérience lui a engendré une énorme complication selon son rapport dans le livre paru sur Irish Times. Michael J. Fox se sentait péniblement dépendant du « pousseur » qui gère la direction du fauteuil roulant ainsi que la vitesse de son déplacement. « Généralement, la personne aux commandes est un étranger, un employé d’un aéroport ou d’un hôtel », se lamente l’acteur, avant de poursuivre : « souvent en fauteuil roulant, je suis un bagage … « personne n’écoute les bagages ». Il se sentait alors être un fardeau pour la communauté, toutefois, il n’abandonnait pas son combat afin de pouvoir marcher de nouveau.
Suite à une lutte acharnée, l’acteur a pu se déplacer sans aucune intervention d’autrui. Son courage était à un point où il disait aux travailleurs de soutien de ne pas le soutenir pour qu’il se débrouille seul. Malencontreusement, par accident, il s’est glissé au sol de sa cuisine et a été blessé. En conséquence, l’acteur ne parvenait pas à bouger son bras pour prendre son téléphone et solliciter une assistance. A partir de ce moment, il a commencé à remettre son optimisme en question. « Les gens ont bien pire que cela à gérer, et j’ai un bras cassé, un mal de dos et la maladie de Parkinson et je gémis, couine et me plains. Alors quel bien m’a fait l’optimisme ? », se demande-t-il.
Les signes annonciateurs de la maladie de Parkinson
Comme le précise le Pr Luc Defebvre, neurologue au CHRU de Lille cité par Le Figaro, les symptômes de a maladie de Parkinson se subdivisent en deux groupes, dont les signes moteurs et les signes non moteurs.
- Les signes moteurs
Il s’agit des signes cliniques que tout le monde connait. Le sujet tremblote au repos, adopte des mouvements lents et à la fois raids. Et pour cause, la dégradation de dopamine est source d’une perte des actions automatiques ainsi qu’une hypertonie.
- Les signes non moteurs
Il s’agit de signes faisant l’objet de plusieurs approfondissements scientifiques. Les symptômes découlent des effets du syndrome sur les agencements cérébraux non dopaminergiques. De ce fait, les sujets à cette maladie des troubles de sommeil, une hypersalivation, de la somnolence ainsi que de la fatigue outrancière, diverses sortes de douleurs, une constipation, des mictions fréquentes, des problèmes cognitifs et des hallucinations. D’après le Pr Marie Vidailhet, neurologue à la Pitié-Salpêtrière « une perte d’odorat, la constipation, la fatigue, la lenteur du pas, les troubles de l’humeur sont les principaux signes très précoces qui peuvent annoncer la maladie de Parkinson ». La spécialiste annonce toutefois que c’est l’apparition de chaque signe chez une personne qui pourrait attester la pathologie mais pas un des signes de manière autonome.
Il est vrai que certains des personnels de santé ont réussi à remédier aux tremblotements chez les patients de la maladie de Parkinson, aucun traitement n’est encore disponible.