Selon le résultat d’une série d’études, la fessée est susceptible d’influer négativement la santé psychique de l’enfant sur le long terme. En plus de blesser l’enfant physiquement, cette méthode à l’ancienne altère le comportement de l’enfant. On vous en dit plus.
Comme l’affirme le résultat de cette recherche, les experts se sont focalisés sur un groupe de 69 études antérieures qui viennent de divers pays, y compris les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Chine, la Colombie, la Grèce, le Japon, la Suisse et la Turquie. Certaines conclusions ont montré un ensemble de facette négative et positive de la fessée, mais la plupart ont attesté des répercussions négatives.
En se basant sur les données récoltées, les scientifiques ont conclut que la fessée peut aggraver le comportement de l’enfant sur le long terme. En cause, il devient agressif, antisocial et adopte un agissement perturbateur. Toujours selon leur statistique, la fessée est loin de provoquer des résultats positifs.
Dans le recueil de cette recherche, on peut lire : « Les punitions physiques sont de plus en plus considérées comme une forme de violence qui nuit aux enfants … La cohérence de ces résultats indique que les punitions physiques sont préjudiciables aux enfants »
En 2018, l’Académie américaine de pédiatrie a affirmé au grand public que la fessée peut faire naitre une personne agressive et qui endure des changements cérébraux, l’addiction à la drogue en plus des comportements suicidaires une fois adulte.
Malheureusement, même encore aujourd’hui, la fessée est encore assez courante. Une étude de l’UNICEF de 2017 a révélé que 250 millions d’enfants (environ 6 sur 10) dans le monde sont victimes de punitions physiques.
Heureusement que de plus en plus de parents adoptent des punitions différentes de la fessée dans le sens d’espérer un résultat meilleur de leurs enfants. Comme le prouve une recherche parue en 2020 sur le JAMA Network, on constate une baisse du nombre de fessées, soit de 50 % en 1993 contre 35 % en 2017.
Selon l’Académie américaine de pédiatrie, les châtiments non physiques peuvent marcher tout aussi bien que les résultats de la fessée, sans causer d’effets néfastes plus tard. Les membres de cette entité préconisent alors d’autres alternatives de punitions, notamment :
- Il faut savoir fixer des règles strictes dans la maison ou en dehors du foyer ;
- De leur retirer les jouets préférés ;
- Limiter le temps passé devant la télé et les smartphones.