Depuis la nuit des temps, l’humanité s’interroge sur ce sujet sans pour autant trouver des éclaircissements probants. Dans ce sens, la science ne révèle aucun fait concret sur la vie après la mort. Reste à savoir alors s’il existe vraiment une vie après la mort. Un défunt est-il toujours doté d’une certaine conscience. Quoi qu’il en soit, certains signes interprètent qu’une éventualité subsisterait.
On a le droit de croire ou non à la vie après la mort selon son éducation, sa foi, sa religion ou encore ses croyances personnelles. Pour l’heure, aucun argument ne peut démontrer d’une manière certaine l’existence d’une autre vie après celle vécue sur terre.
Sans en être conscient, l’être humain, notamment lorsqu’il perd un proche, cherche par tous les moyens de détecter le moindre signe quel qu’il soit pour ressentir et percevoir sa présence.
La maman reçoit un signe de son fils mort
Suite à une tumeur du cerveau, Jack, âgé de 4 ans, a perdu la vie. Marie Robinson, sa maman aurait dû sans doute traverser le pire.
Très souvent, la maman d’originaire britannique rend visite à sa tombe et lui parle instinctivement, en espérant percevoir un signe de la présence de son fils. Le jour d’anniversaire de son enfant décédé, alors qu’elle lui rendant hommage sur son sépulture, un petit rouge-gorge s’est posé à ses côtés, c’est comme si Jack lui émettait un signe de sa présence. Ce n’était pas non plus la première fois qu’un oiseau se pose près d’elle depuis la disparition de son fils. L’autre nom de cet oiseau est similaire à leur nom de famille, sans compter que les rouges-gorges sont reconnus comme « messagers des défunts ».
Marie est persuadée que Jack était bel et bien là, lui prouvant réellement sa compagnie et son amour. Le débarquement du rouge-gorge était simplement un signe venant de son fils, d’après sa conviction.
« Cela m’a émue aux larmes. J’ai pris ça comme un signe de mon petit Jack », affirme la maman de Jack.
Réponse de la science sur la vie après la mort
La mort est un phénomène qui a toujours fasciné et interpellé l’humanité tout en sachant que plusieurs recherches se focalisent sur le sujet.
Parmi elles, une étude menée par l’Université de Southamton analysait des signaux cognitifs suite à un arrêt cardiaque. 2 060 personnes ont fait l‘objet de l’étude, dont 330 ont survécu et 140 ont pu discuter de manière cohérente des souvenirs de cet événement. Conclusion de la recherche ? 39% des patients ont expliqué une certaine prise de conscience de la période avant la réanimation, et donc lorsque le battement de leur cœur avait cessé.
Comme l’affirme le Docteur Parnia, auteur principal de l’étude, ces réactions peuvent seulement découler d’une lésion cérébrale ou des impacts des sédatifs administrés comme la kétamine. C’est un anesthésique dissociatif que les médecins utilisent pour l’anesthésie générale et qui fait en sorte que les sujets ressentent un détachement de leur corps. Cette sensation est relative à un certain sentiment de joie qui représente les mêmes expériences que la mort imminente.
Le spécialiste a déclaré, lors de son interview pour National Post que la fonction cérébrale s’arrête une fois que le cœur cesse de battre. Sauf que dans le cadre de l’étude précitée, la prise de conscience des sujets semble durer jusqu’à trois minutes au moment où les battements de cœur s’arrêtent. C’est le cas même si généralement, le cerveau cesse de fonctionner 20 à 30 secondes après l’arrêt du cœur.