Cette fille atteinte de trisomie 21 est refusée au mini-club de vacances à cause de sa condition - Recettes en Famille

Cette fille atteinte de trisomie 21 est refusée au mini-club de vacances à cause de sa condition

by Emma

Dû à leurs infirmités, les victimes de la trisomie 21 sont associées à des clichés qu’ils ne peuvent pas se débarrasser. Elles sont alors victimes de stéréotypes et des préjugées les plaçant dans des places considérant qu’ils sont sans objectifs, faibles, pas indépendant et sans désirs. Louise, une petite fille de 5 ans est une d’entre elles, et elle n’a pas pu faire partie d’un mini-club vacances à cause de cela. Cela a alors mis ses parents en colère.  

Louise est une petite fille aux cheveux bruns, des yeux de couleurs noisette, un sourire angélique et elle est malheureusement victime de la trisomie 21. Elle veut seulement s’intégrer parmi les enfants comme elle et de jouer et s’amuser avec eux. Ses parents l’ont alors pris pour jouer avec des enfants de son âge au mini-club, mais malheureusement, l’animatrice de ce club a refusé, cela les a mis en colère comme rapporté par « Le Figaro ».

Une injustice selon ses parents

Ses parents, Rémy et Caroline ont seulement souhaité donner un temps pour s’amuser à leur enfant en l’emmenant au mini-club. L’animatrice a, après un coup d’œil acceptée, et puis, elle a remarqué les couches que l’enfant portait et a dit : « Si elle n’est pas propre, cela ne va pas être possible ». La mère a essayé de faire comprendre que l’infirmité de sa fille ne devrait pas poser de problème, cependant, l’animatrice a pris ça autrement, elle a expliqué : « Trop compliqué pour le club pour enfants, et puis un moment d’inattention, les animateurs ne sont pas vraiment formés… ». Sa mère, à la fois attristé et en colère a montré qu’elle était déçue des préjugés que les gens montraient aux enfants infirmes.

Les parents ont déjà eu de nombreux refus et de « mais »

Ses parents ont été témoins de beaucoup de refus à cause de le handicap de leur fille. Ils ont toujours entendu des « mais » venant de beaucoup de responsables d’établissement car ils veulent montrer qu’ils ne peuvent pas accepter Louise dans leurs bâtiments, sa mère raconte : « On a rencontré le « mais ferme », le « mais triste », le « mais désolé », le « mais empathique », toute une variation sur le « mais » ».

Elle continue : «  « Mais » nous n’avons pas assez de personnel, « mais » nos encadrants ne sont pas assez formés, « mais » votre enfant ne parle pas assez bien. Autant d’excuses avancées pour ne pas accepter Louise ».

Actuellement, les parents combattent pour changer la mentalité et aussi aider les parents ayant des enfants qui sont face au même problème, des parents qui dont les journées ne sont pas du tout repos. Ils racontent ce que leur enfant a dû vivre chaque jour sur internet et aussi dans des bouquins que Caroline, la mère a écrite intitulée : « La vie réserve des surprises et L’effet Louise. »

S’occuper d’un enfant qui est victime de trisomie 21 n’est pas facile

Dans le territoire français, ce problème touche un enfant parmi 800. Les enfants présentant ce problème ont un problème dans la manière de s’exprimer et d’apprendre et on aussi un développement moins rapide intellectuellement, dans ses relations et les affections.

Faire face au fait qu’un enfant a la trisomie 21 est un combat dans la vie de tous les jours d’un parent. Les médecins d’une association trisomique expliquent que pour bien faire l’éducation de ces enfants ayant ses handicaps, le secret est de les aimer et de tenir à eux, tout le reste suivra naturellement. Le professeur Buckley, un de ces spécialistes explique : « Un trisomique est d’abord un être humain. Comme tout un chacun, l’attention et l’instruction qu’il reçoit ainsi que ses contacts sociaux ont une influence sur son développement ».

Les thérapeutes recommandent que les trisomiques doivent prendre part dans les activités familiales, les jeux et qu’ils devraient accéder à des programmes d’intervention précoces pour les aider à mieux développer leurs aptitudes. Ce programme devrait commencer juste après qu’ils soient nés et qu’un kinésithérapeute, un orthophoniste et un psychologue devraient y prendre part, pour aider l’enfant et ses parents.

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