93 000 visons seront forcément abattus pour avoir contracté le virus - Recettes en Famille

93 000 visons seront forcément abattus pour avoir contracté le virus

by Emma

En Espagne, l’autorité a dû prendre une décision lourde de conséquence pour ne pas engendrer une destruction de la race animale.

Des visons d’élevage au nombre de 93 000 dont 87 % des animaux ont contracté le coronavirus suite à un test dont ils ont fait objet. A titre de précaution, ils seront abattus selon une annonce déclarée le jeudi dans la région de l‘Aragon en Espagne.

« Nous parlons de l’abattage obligatoire de la totalité des animaux faisant partie de cette exploitation », peut-on lire sur le communiqué du responsable régional de l’élevage Joaquin Olona, lors d’une conférence de presse.

Donc, au total, plus de 92 700 races de visons, animaux qui aspirent profondément l’industrie textile à cause de la qualité de leur poil, vont être abattus pour cette exploitation.

Ladite exploitation est située à Puebla de Valverde et est en « immobilisation préventive » à partir du 22 mai dernier. En parallèle, les animaux ou produits dérivés ne sont pas autorisés à sortir.

Depuis que sept des employés sont testés positifs au coronavirus, l’autorité en Espagne a pris ces mesures sanitaires draconiennes tiques décidées après la contamination de sept employés de l’élevage, testés positifs au Covid-19.

Cette contamination inquiétante a persuadé les autorités à avoir recours à des tests PCR sur les animaux et résultat, tombé le 13 juillet, fut : 87 % d’entre eux sont malheureusement testés positifs au Covid-19.

C’est effectivement pour « éviter les risques pour la population » que cet abattage a été mise en place. A savoir que l’Espagne est le pays le plus touchés par le virus de Wuhan, dont 28 400 décès depuis le début de la pandémie.

Selon les estimations des autorités, il se peut qu’un employé infecté en dehors de la ferme ait transmis le virus à certains de ces collaborateurs, et le virus s’est par la suite transmis aux bêtes.

Cependant, cette présomption ne sert pas de preuve à ce stade de transmission de virus. Une ambiguïté demeure « s’il existe une transmission d’animaux à humains et vice versa », a accentue Joaquin Olona.

Une telle situation rappelle celle qui est survenue aux Pays-Bas il y a un près d’un mois. A ce moment, des dizaines de milliers de visons d’élevage, aussi contaminés par le Covid-19 ont été abattu pour prémunir la vie humane du fléau.

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