Dans la vie, il n’existe pas de formule magique sur ce que nous devons affronter. Très souvent, nos enfants sont frustrés mais nous ne savons pas quoi faire. Dans cet article, apprenez à mieux gérer vos enfants de deux ans. D’ailleurs, c’est très important de fixer des limites. Une chose est sûre, la patience paie toujours. On vous en dit plus.
En tant que parent, tuteur ou enseignant, l’éducation de nos bouts de chou est une des choses les plus ardues. Lorsque vous essayez d’aider des enfants de deux ans, le processus peut être difficile tout en sachant qu’à cet âge, ils apprennent à explorer le monde qui l’entoure. Il est surtout question de les aider pendant leurs étapes de croissance, d’épanouissement sans nier les attentes de la société alors que vous devez maintenir une vie équilibrée.
Lorsque la maternité et la paternité sont dépourvues de paramètres de perfection et sans exigences importantes, les enfants sont tels qu’ils sont, ils sont uniques !
Les jeunes enfants dépendent de nous pour absolument tout. Ils ne sont pas en quête de la perfection, mais plutôt la sécurité, l’acceptation, l’affection et une personne qui leur apprend un peu de tout. De nombreux internautes suivent des profils qui informent sur les étapes de développement de l’enfant, sur les réseaux sociaux. La majorité admet que les enfants de 2 ans font partie du top 5 des plus grandes craintes des primo-parents.
La “phase du non” ou “crise des deux ans”, ou encore le “Terrible Two” est l’étape où les enfants ne sont plus des bébés. A ce stade, ils découvrent qu’ils n’ont tout simplement pas à prendre en considération ce que disent les adultes. Ils tiennent compte de leur volonté et de leur voix en tant qu’individu.
Contempler la croissance de votre bébé est simplement émerveillant, du moins dans un monde idéal où vous n’auriez pas à réveiller vos enfants très tôt pour l’école et pour que vous puissiez vous rendre au boulot. Cependant, nous sommes tenus de rallier l’attente de la société et les exigences d’un enfant qui se fie principalement à son instinct.
A force de devoir gérer des situations compliquées, certains parents cèdent à la violence, ce qui est loin d’être une issue. Selon des recherches, les enfants ayant tendance à subir des types de violence dans leur petite enfance ont souvent du mal à s’épanouir, à maintenir de bonnes relations avec les autres. De plus, ils sont susceptibles d’être sous l’emprise de troubles émotionnels.
Lorsque vous êtes confrontés à des moments tendus, dans quel cas vous devez respecter des horaires alors que vous êtes épuisés des heures de travail, mais que votre enfant vous impose ses caprices, il existe une solution.
Voici quelques conseils qui consistent à fixer des limites à vos enfants de 2 ans
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Prenez le temps de comprendre ses besoins
Un enfant insatisfait essaie toujours de le montrer par des actes. Heureusement que c’est bien possible de trouver les racines du souci. Si votre enfant a commencé à se débattre dans le siège auto à cause de son jouet tombé par terre, il a besoin de vous. Mais vous savez très bien que c’est impossible de s’arrêter en pleine route. Vous savez pertinemment de quoi je parle. Quoi qu’il en soit, il est temps d’essayer de faire une rétrospective en tentant de comprendre ce qui se passe réellement.
Il arrive que vous ayez sommeil à cause d’une exposition prolongée aux écrans et que l’heure du repas de votre enfant ait passé. Là encore, vous devez comprendre origine du problème. En réalité, il y a toujours une raison un peu plus profonde sous la surface qui explique plus précisément ce qui a pu activer cette « rage ou colère » prompte. Comprendre, c’est la première étape pour essayer de mettre en place une relation plus saine face au conflit et à la frustration.
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Évitez les cris, la confrontation et l’agression
Très souvent, la patience paraît disparaître à cause de tous les autres problèmes qui restent à résoudre. Inutile de confronter votre enfant dans ce moment de colère. Et même si votre enfant s’est projeté au sol du supermarché, même s’il a cassé un verre, même s’il a fait la chose que vous lui avez prohibé de faire pour la énième fois, crier et hurler ne servira à rien.
Pourquoi ce sermon impulsif d’adulte ne résout rien ?
C’est parce qu’un enfant de 2 ans, comme tout autre enfant n’ont pas un développement neurologique suffisant pour affronter les frustrations et les sentiments les plus complexes. Autrement dit, ils finissent par « se perdre » dans leurs émotions et ont des « crises de colère », ce qui est courant à cet âge. Si cela arrive, quittez la pièce pendant quelques secondes ou bien essayez de respirer profondément afin de contenir cette colère qui vous attaque.
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Soyez disponible pour les écouter
Un enfant frustré peut ne pas aimer le contact physique et peut être qu’il veut simplement de la consolation. Votre enfant a besoin que vous soyez disponible afin de l’aider à traverser ce moment pénible. A leur âge, les enfants de deux ans ont besoin d’aide et de soutien et ils ont besoin d’apprendre à gérer leurs sentiments. Le mieux est de leur montrer concrètement comment réagir.
Vous devez les faire comprendre que vous n’êtes pas contre leur frustration et que vous savez à quel point cela l’a blessé ou l’a attristé. Vous devez le rassurer que vous êtes là pour un câlin et pour le comprendre. Contrairement aux idées reçues, les câlins concourent au développement de l’enfant. Selon des études scientifiques, les soins et l’affection consolident plus rapidement l’indépendance de l’enfant, son autonomie ainsi que son estime de soi.
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La conversation doit suivre la colère
Dès que les pleurs et la confusion passent, à vous le relais. Il est temps d’ouvrir un dialogue entre vous et votre enfant en analysant la tranche d’âge pour permette d’ajuster le vocabulaire pour une meilleure compréhension. Soyez à l’écoute afin de découvrir ce qu’il a ressenti, ce qui a causé ce sentiment de colère ou encore de tristesse. Par la suite, expliquez précisément que vous pouvez également ressentir cela et que vous avez aussi du mal à régler ce sentiment.
Vous devez tenter de lui expliquer les raisons pour lesquelles ce n’est pas une bonne idée de se jeter au sol du supermarché, de briser des verres, de frapper ses camarades. Toutefois, évitez de faire des appels émotionnels du type : “maman était très triste, maman va pleurer.”
Gardez en tête que l’enfant n’a pas besoin de se sentir encore plus confus, encore moins de se sentir manipulé par des émotions. Il a besoin de comprendre que donner un coup à un camarade fait mal et que casser un verre expose les entourages à des risques.
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Essayez de répéter autant de fois que nécessaire
Il arrive que le même agissement de reproduise alors que vous avez déjà fait tout cela. Faites preuve de patience et répétez autant de fois que nécessaire. Il est aussi important de trouver des faits concrets de la vie quotidienne, par exemple des cas dans lesquels vous vous êtes sentis mal ou frustré. Montrez-lui comment vous avez réagi et que malgré la situation, vous êtes resté calme parce que c’est une bonne manière de traiter les gens et parce que nous vivons en société.
Les défis sont nombreux au cours des premières années de vie. Les enfants se posent une tonne de questions parce qu’ils apprennent vraiment tout. Ainsi, avant d’aller à la confrontation, rappelez-vous que cette réaction peut causer du tort aux autres. Dans la majorité des cas, un enfant se comporte de la sorte simplement car il pense que c’est la bonne manière, et c’est absolument pour cette raison que nous devons tenter de comprendre ce qui se passe avant de succomber à des comportements déraisonnables.
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Entretenez de bonnes relations avec vos enfants
Il importe d’établir une véritable relation avec vos enfants en se basant sur la confiance, la vérité et l’honnêteté. De plus, essayez d’adopter les comportements que vous aimez pour que vos enfants en fassent de même, un jour. Évitez à tout prix la manipulation, la confrontation et l’agression. Soyez honnête et expliquez clairement ce qui est bien et ce qui ne l’est pas. Si vous êtes disponible pour répondre à leurs craintes et à leurs questions, cela changera complètement la donne.
Pourquoi ne pas les faire participer aux ménages de la maison ? Cette habitude leur fait comprendre leur part de responsabilités et de tâches dans la vie. Faites-les comprendre à quel point cette routine est importante dans une vie en société.